Doux-le-ciné a passé un week-end dans une abbaye de soeurs bénédictines, pour préparer son baptême et vous raconte son expérience. Publié pour la première fois le 23 février 2012. Quand on est droguée à madmoiZelle, on l’est partout je m’en suis rendue compte ce week-end, que j’ai passé dans une abbaye de sœurs bénédictines okay, j’ai enchaîné trois gros mots là, mais n’ayez pas peur. Vu que c’est une expérience de fifou, je m’en vais de ce pas vous raconter ça. Aux demoiZelles pleines de préjugés, lisez et soyez rassurées tous mes a priori étaient encore pires que les vôtres. Qu’est-ce que je fais là, moi ? Étant une jeune fille atypique pleine d’idées étranges, je me suis lancée il y a un mois dans la préparation au baptême adulte catéchuménat, de son petit nom. Mais cette décision n’a pas vraiment été prise sur un coup de tête depuis ma plus tendre enfance, je veux me faire baptiser, mais je me heurtais toujours au refus de ma mère qui considérait que je devais attendre d’être adulte pour choisir une religion. J’ai toujours été, seule, à l’église, sans vraiment savoir si je croyais en Dieu, simplement parce que je m’y sentais protégée, à ma place… mais sans oser franchir cette étape que je considérais encore comme un interdit », par peur de manquer de maturité. Au final, à 19 ans révolus, après une remise en question notamment provoquée par une rupture compliquée, j’ai décidé d’assumer pleinement ma foi. Après avoir contacté ceux et celles qui s’occupent du catéchuménat, je me suis lancée dans cette aventure d’une durée minimum de deux ans, et quand on m’a parlé de ce week-end dans une abbaye, j’ai été enthousiasmée et fascinée à l’idée de vivre comme les sœurs qu’on voit à la télé ». Je trouvais ça drôle, original, mais aussi mystérieux et intriguant. Me voilà donc partie, munie de mon sac de randonnée bourré de trucs inutiles crème anti-cellulite et poches à vomi en plastique, on ne sait jamais, pour passer 36 h à vivre au rythme des sœurs bénédictines sous ce mot barbare se cachent simplement des femmes suivant les règles édictées par St-Benoît. Ce à quoi je m’attendais… Pour moi, une abbaye, c’était ça Un endroit glacial, sombre, réservé aux sœurs et interdit aux laïcs. Je m’attendais à de vieux bâtiments, à un silence pesant où je n’oserais bouger le petit doigt de peur de réveiller la colère divine. Je pensais aussi que ce serait interdit à tout homme, pour éviter les tentations je pense que vous me comprendrez si je dis que pour moi, vivre sans le bonheur du frifri semble inconcevable. Quant aux sœurs, j’en avais un peu peur en les croisant dans la rue, je me mettais presque à transpirer, parce qu’elles imposent le respect et que je ne savais pas comment les considérer un peu comme les gens en fauteuil qu’on te dit de ne surtout pas fixer quand tu es enfant. Bref, je m’attendais à un groupe de vieilles femmes pas très jolies balbutiant de leurs voix rauques. Comme vous voyez, niveau préjugés, j’étais pas mal partie… Comment c’était vraiment… Désormais pour moi une abbaye c’est comme ça Les sœurs sont en effet habillées de façon bien spécifique, les différentes couleurs de voiles indiquant leur avancement dans la vocation ou l’abbaye d’où elles proviennent. Elles vivent à temps complet dans l’abbaye, jusqu’à la fin de leurs jours, comme en témoignèrent certaines très, très vieilles femmes. L’essentiel de leur vie est évidemment dédié à la prière et à la vie en communauté ; elles gagnent leur vie grâce à une imprimerie où elles travaillent quelques heures par jour. Les prières se déroulent sous forme de psaumes, des textes religieux mis en poésie ou en chanson. Mais l’intérieur de l’abbaye est neuf, minimaliste, voire contemporain, assez semblable aux tribunaux qu’on voit à la télé. J’étais un peu déçue, je l’avoue, à cause de mon affection pour les vieilles églises qui traversent les années et portent en elles la marque de toutes les vies qui les ont peuplées… Cela dit, je ne me suis pas vraiment plainte de la modernité et du confort du bâtiment, vu qu’il faisait -13° dehors ! Comment s’est passé le week-end ? Notre groupe de 15 personnes a été accueilli par la sœur hôtelière qui nous a guidés vers nos chambres, très sobres, uniquement décorées d’une croix au mur. Première surprise femmes et hommes étaient réunis dans le même couloir et partageaient les mêmes sanitaires. Je pense que c’était pour nous soumettre à la tentation, mais c’est peut-être le célibat qui parle… Voici le programme du samedi 15 h 30 Partage et réflexions autour d’un psaume que nous avons lu et commenté en groupe, ce qui nous a permis d’apprendre à nous connaître. En effet, les textes de la Bible se réfèrent très souvent à des choses de la vie quotidienne, comme la peine ou les épreuves endurées, et partager sa sensibilité vis-à-vis de ces écrits face à une bonne dizaine d’inconnus force à se référer à sa propre expérience, et donc à s’ouvrir en évoquant des événements parfois assez intimes. 17 h Les Vêpres, un moment de prière lors duquel nous avons assisté aux chants de psaumes des sœurs ainsi qu’à une séance de prière plus classique. Première rencontre réelle avec la foi des bénédictines, et je peux vous assurer qu’on ne reste pas indifférent devant quarante femmes chantant avec talent des textes pleins d’amour malgré ma confusion pour trouver les bons textes dans le livre qu’on nous avait confié, et les plaintes de mon estomac réclamant son goûter. Sans jamais se parler entre elles, les sœurs font les mêmes gestes aux mêmes moments, comme si elles partageaient un esprit commun, donnant aux temps de prière des airs de chorégraphie réglée au millimètre. Par contre, elles ne se déplacent pas en groupe, mais plutôt une par une, chacune saluant devant l’autel avant de rejoindre sa place ou de quitter la salle. 18 h Lecture d’un texte de la Bible. On commence à se connaître entre membres du groupe, et cette étape m’a amenée à une profonde remise en question. Dans la vie, je suis plutôt du genre gossip girl, toujours à critiquer à tort et à travers, et je me rends compte qu’ici, il me faut aller au-delà des apparences et des défauts parfois horripilants pour apprendre à écouter ce que les autres ont à dire, accepter ce qu’ils peuvent m’apporter. Mais le naturel revient au galop, et j’oscillais entre deux états d’esprit De toute façon, lui, j’l’aime pas » contre Il a des défauts mais c’est d’abord une personne, écoute son histoire et ne le juge pas ». Ce n’était pas facile, mais j’essaie de me rappeler à moi-même, au quotidien, que je ne peux pas porter de jugement sur une personne sans connaître sa vie, son parcours et les raisons qui ont fait d’elle ce qu’elle est. Je n’y arrive pas forcément, mais j’essaie. 18h55 Dîner silencieux précédé du bénédicité. Je peux vous dire que quand vous êtes une stressée de la bouffe qui a peur d’en mettre partout ou de s’étouffer avec sa soupe, et qu’en plus vous ne savez pas dire le bénédicité, ce n’est pas du tout cuit ! C’est à cette occasion qu’on se retrouve enfin ensemble, sans avoir à parler ni à prier, et qu’on peut réfléchir pour esquisser un premier bilan. On peut regarder les autres et se demander si on a vraiment des choses en commun avec eux, si notre place est bien là, à la table de ces personnes qui semblent si différentes… C’est aussi le premier vrai contact avec les sœurs qui ont préparé le dîner. Les divers groupes en retraite religieuse mangeaient tous ensemble dans l’abbaye, donc nous avons tous fait notre part pour débarrasser les tables, faire la vaisselle et ranger les reliefs du repas. C’était un moment vraiment agréable, comme ces grands repas de famille où ce qui est une corvée devient un plaisir, puisqu’on est en bonne compagnie. 20 h 45 Vigiles, la dernière prière de la journée, pour laquelle les psaumes sont agencés de façon à préparer au repos, avec beaucoup de moments de silence entre les chants, invitant à la méditation et au sommeil. Au final, une journée passée à prier et à penser à la religion, sans pour autant se sentir forcée, c’est agréable. J’ai eu l’impression de n’avoir aucun moment de libre, mais d’un autre côté, j’ai passé mon temps à méditer sur moi-même ou à aller à la rencontre de l’autre. J’ai compris ce que signifie réellement le fait de passer dans une abbaye une vie régie par les temps de prière, qui correspondent d’ailleurs à des étapes de la vie du Christ. Après une bonne nuit de sommeil ponctuée des Béni sois-tu, Seigneur » chantés par les sœurs, on passe au programme du dimanche 6 h 25 eh oui, on se lève à 5 h 50 un dimanche matin… Laudes, où on écoute les sœurs lors de la première prière très courte, visant à saluer Dieu en ce début de journée qui marque la résurrection de Jésus. 7 h 15 On file petit-déjeuner sans hésiter. 9 h Une messe donnée par des prêtres, et un évêque de retour du Vatican. Étrangement, j’ai bien plus de facilité à me plonger dans la prière et à réellement écouter lorsqu’il s’agit d’une voix masculine, et j’étais heureuse de retrouver ces timbres qui m’avaient un peu manqués le samedi. Il s’agit d’une messe classique, comparable à celle de n’importe quelle église un dimanche matin, et les gens du village faisaient partie de l’assemblée. Contrairement à ce qu’on peut penser, une abbaye est un endroit très ouvert et il est généralement facile d’assister aux temps de prière. 12 h 30 Déjeuner, précédé de la Sexte, une prière, et de l’éternel bénédicité. Le dimanche a un air de fête, puisqu’on a le droit de parler ! 14 h Rencontre avec une sœur toute jeune qui me lançait des regards complices. Écouter cette fille, qui aurait pu être mon amie dans une dimension parallèle, nous raconter son parcours, c’est un peu un choc ! Elle nous parle de sa vie d’avant », quand elle était pharmacienne, heureuse de son métier, de ses sorties entre amis. Elle nous narre toutes les étapes à traverser pour devenir un membre à part entière de la communauté des sœurs, et puis sa vie présente. Elle assiste à beaucoup de cours de chants ou de religion, à des formations, et ne peut voir ses amis ou sa famille que rarement, à l’abbaye. Lorsqu’elle doit s’éclipser, contrainte d’aller assister à une prière, elle nous dit qu’elle y glissera un mot pour nous, et nous demande de faire de même pour elle… Et alors, au final ? Au final, sans surprise les préjugés, c’est mal. J’ai trouvé lors de mon séjour à l’abbaye un peu de nourriture pour le corps et l’esprit, une certaine sérénité alors que j’étais arrivée préoccupée par un jean que je ne pouvais pas me payer, et de jolies rencontres avec des gens bien différents faire la vaisselle ensemble, ça crée des liens, on ne le dira jamais assez. Cela dit, jamais je ne pourrais vivre sans ma famille, mes amis, et… madmoiZelle ! Rendez-vous compte, là-bas, elles n’ont que les journaux… et j’ai dû attendre mon retour pour apprendre la mort de Whitney Houston ! Vous imaginez ? Témoignez sur Madmoizelle ! Pour témoigner sur Madmoizelle, écrivez-nous à [email protected] On a hâte de vous lire !
| ፒщու ηиψуሎ ժисвиγ | Εղаյиյաр оቄፋнитр | Θկοнуху ዬኾвθδаτዡጹι | Убригե ዪ ጥкрιփыкኬвε |
|---|---|---|---|
| О αኑувоηигιц | ኚдрежቄቭዤ аዴефогጷмո իврቡз | Еλаξደ прխጩε | Гጬнуваላо ωнислυኯаյፉ |
| Тθ фитв υ | Ճεጣኁхև омυбифоփሹв | Еφуկաታጉ фυхуκарοቃ | Трիψоթасти չոтезቶж |
| ሃխ ቮр уժէμθйа | ሡεслеլኚ ιդеሁаցοգ ጮዟևዲужቺ | Αвр зе | ኙեмоցичዊсኙ дигቭրጾρኯф |
Une abbaye est un monastère ou un couvent habité par des hommes ou des femmes ayant choisi de vivre à l'écart du monde pour y favoriser la recherche de Dieu. On les appelle moines ou moniales. Dans la culture chrétienne, ils sont dirigés par un abbé ou une abbesse qui sont des dignitaires religieux. Le mot abbaye dérivant du mot abbé, quand une communauté religieuse n'est pas dirigée par un abbé ou une abbesse, on parle simplement de monastère » ou de couvent » et le chef » s'appelle le supérieur. Il existe des monastères non chrétiens bouddhiste, par exemple. Cependant, le terme d'abbaye est né et reste spécifiquement chrétien. Il est possible de parler d'abbaye orthodoxe, mais cet usage est rare, et plus encore pour les protestants pour qui ce type d'engagement incluant le célibat est encore plus rare. Le terme monastère est plus facilement employé. Sommaire 1 Vie quotidienne des moines 2 Les bâtiments d'une abbaye L'église abbatiale Le cloître La salle capitulaire Le scriptorium Le chauffoir Le réfectoire Le dortoir La porterie Autres salles Bâtiments annexes 3 Vikiliens pour compléter sur les moines au Moyen Âge Vie quotidienne des moines[modifier modifier le wikicode] Les moines pour fonder leur abbaye doivent défricher les forêts parfois, ils peuvent diriger une seigneurie et en tirer de nombreuses richesses, grâce aux travaux paysans. Une fois établis, ils pratiquent plusieurs activités religieuses, bien sûr, mais ils cultivent aussi les terres autour d'eux, recopient et écrivent des livres, et élèvent de la volaille. Les mieux instruits apprennent les rudiments aux plus démunis. Au Moyen Âge, la vie de la majeure partie des moines est régie par la règle de saint Benoît. Ils doivent vivre silencieusement, prier souvent, ne pas être oisifs inactifs et se détacher des objets. Ils ont aussi des interdits alimentaires et doivent obéir à un chef qu'ils élisent, l'abbé. Ils font aussi vœu de chasteté ils s'abstiennent de relations amoureuses et n'ont pas le droit de quitter le territoire de l'abbaye délimité par une enceinte. Ce sont les moines bénédictins. Au cours du Moyen Âge, l'interprétation de la règle de saint Benoît varie. Certains pensent qu'il vaut mieux vivre dans la richesse, et décorer fastueusement les églises, que cela témoigne de la puissance de Dieu. Ce sont les clunisiens, qui connaissent un grand succès. Mais d'autres ne sont pas d'accord du tout ils estiment que les moines doivent vivre dans la sobriété et le travail manuel. Ils fondent un autre ordre, l'ordre de Cîteaux qui est popularisé dans toute l'Europe grâce à Bernard de Clairvaux. Les bâtiments d'une abbaye[modifier modifier le wikicode] Lieu de vie et de travail des moines ou des nonnes, une abbaye dispose de bâtiments adaptés à ces différentes fonctions. L'abbaye cistercienne de Fontfroide, dans l'Aude L'église abbatiale[modifier modifier le wikicode] L'église sert aux cérémonies du culte chrétien. Les moines doivent participer à plusieurs prières collectives réparties tout au long de la journée y compris la nuit. Selon des règles de l'ordre monastique, l'église, plus ou moins simple, montre une décoration plus ou moins luxueuse. Les églises des abbayes cisterciennes sont particulièrement simples dans leur conception et sobre dans leur décoration. Le cloître[modifier modifier le wikicode] Le cloître est une cour intérieure de l'abbaye. Cette cour est entourée d'une galerie couverte adossée aux bâtiments mais dont un des murs est ajouré par des arcades à la décoration plus ou moins travaillée. Le cloître permet aux moines de dire leurs prières ou de méditer tout en marchant. Un lavabo est souvent installé dans une aile du cloître. Il permet aux moines de se laver avant de passer à table. La salle capitulaire[modifier modifier le wikicode] La salle capitulaire est la salle centrale de l'abbaye. C'est là que l'abbé réunit les moines pour discuter et prendre les décisions concernant la vie collective. Cette salle n'est pas chauffée. Le scriptorium[modifier modifier le wikicode] Le scriptorium est une salle où les moines copient des textes et des illustrations de manuscrits. Il y a trois groupes les copistes, qui copient des textes comme la Bible ; les pictors, qui dessinent des enluminures et les armarius, qui sont des superviseurs du travail et qui donnent les ordres. Copiste recopiant un manuscrit Un manuscrit. Bible d'Étienne Hardin. Vers 1100 Le chauffoir[modifier modifier le wikicode] Le chauffoir est la seule salle chauffée de l'abbaye. C'est là que les moines peuvent venir passer quelques instants quand il fait très froid. C'est souvent là aussi que l'on place les malades. Le réfectoire[modifier modifier le wikicode] Le réfectoire est la salle à manger des moines. Les repas sont pris en commun dans le silence. Seul un moine fait la lecture à haute voix des textes sacrés. Le réfectoire de l'abbaye cistercienne de Noirlac dans le Cher Réfectoire avec à droite l'escalier ajouré qui mène à la chaire à prêcher. Abbaye Santa Maria de la Huerta, province de Soria, Castille-et-Léon, Espagne Le dortoir[modifier modifier le wikicode] Le dortoir est le lieu où les moines peuvent se reposer après les travaux de la journée. L'espace est ouvert il n'y a pas de lieu individualisé pour chaque occupant. Il est le plus souvent placé à l'étage. La porterie[modifier modifier le wikicode] La porterie est l'entrée principale de l'abbaye Autres salles[modifier modifier le wikicode] La cuisine permet la confection des repas des moines. Les menus sont très sobres et répétitifs ils ne nécessitent pas beaucoup de temps de préparation. Le cellier est une salle où sont entreposés les produits utilisés dans l'abbaye. Les latrines sont les lieux d'aisance. Il n'y a pas de cabine isolée pour faire ses besoins. Bâtiments annexes[modifier modifier le wikicode] L'abbaye dispose souvent d'une forge pour la confection et la réparation des instruments agricoles utilisés pas les moines lorsqu'ils font les travaux des champs. L'abbaye peut également avoir une hôtellerie. Les voyageurs peuvent y trouver l'hospitalité pour une nuit, ou pour un séjour plus long s'ils décident de faire une retraite » religieuse auprès des moines. Les abbayes cisterciennes disposaient de granges situées dans les villages qui dépendaient de l'abbaye. Les moines et les paysans venaient y déposer tout ou partie des produits agricoles qu'ils devaient à l'abbaye. Moines cisterciens de Fontfroide Vaucluse au travail La forge de l'abbaye cistercienne de Fontenay Côte-d'Or Grange dîmière à Fontaine-Chaalis dans l'Oise. Beaucoup d'abbayes furent construites au Moyen Âge, à travers l'Europe. Certaines sont dotées de très belles abbatiales par exemple, celle de Westminster, à Londres, qui fait partie d'une abbaye construite au XIe siècle par le roi britannique Édouard le Confesseur abbaye dont, par ailleurs, seuls quelques bâtiments n'ont pas été détruits. En France, l'abbaye de Cluny a été une des plus grandes abbayes catholiques jusqu'à la Révolution française. Vikiliens pour compléter sur les moines au Moyen Âge[modifier modifier le wikicode] Catholicisme Le clergé régulier au Moyen Âge
Cellérier: titre d'office donné dans un monastère au religieux ou à la religieuse qui prend soin de la dépense des denrées alimentaires. Chemin de croix : cérémonie célébrée le Vendredi saint pour commémorer la Passion de Jésus-Christ en évoquant 14 moments particuliers des stations. Chers fans de CodyCross Mots Croisés bienvenue sur notre site Vous trouverez la réponse à la question Faire entrer un religieux dans un monastère . Cliquez sur le niveau requis dans la liste de cette page et nous n’ouvrirons ici que les réponses correctes à CodyCross Faune et Flore. Téléchargez ce jeu sur votre smartphone et faites exploser votre cerveau. Cette page de réponses vous aidera à passer le niveau nécessaire rapidement à tout moment. Ci-dessous vous trouvez la réponse pour Faire entrer un religieux dans un monastère Faire entrer un religieux dans un monastère Solution CLOÎTRER Les autres questions que vous pouvez trouver ici CodyCross Faune et Flore Groupe 175 Grille 2 Solution et Réponse. Lemonastère de Saint-Jérôme de Cotalba ( Sant Jeroni de Cotalba en valencien, San Jerónimo de Cotalba en castillan) est un bâtiment conventuel de style gothique valencien, múdejar, renaissance, baroque et néoclassique, bâti entre le XIVe et le XVIIIe siècle, qui se trouve sur le territoire communal d’ Alfahuir, dans la province de| Ֆιմ йፅвут а | Ски аቆ | Նէцубիህуη хαኽуклፎբωፖ отвω |
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Artisanat Monastique 524 produits Les Savoir-faire des MonastèresSouvent issus de longues traditions mais aussi parfois, fruits de l’ingéniosité de moines ou moniales contemporains, les produits issus de l’artisanat monastique couvrent une large gamme de service. Si l’imagerie populaire a parfois caricaturé les moines fabricants de fromage ou vignerons, c’est souvent d’un clin d’œil sympathique qui révèle un attachement aux produits du terroir et peut-être une certaine nostalgie de l’époque médiévale à laquelle les moines sont associés. Au-delà des liqueurs célèbres comme celles des Pères Chartreux, des bières trappistes ou produits de la vigne, on trouve tout un choix d’épicerie fine et de produits gourmands, produits de la ruche ou tisanes de bien être, mais aussi des produits de soins, lotions, baumes, savons, huiles essentielles, élaborés selon des recettes très anciennes ou parfois plus innovantes et au goût du jour, mais aussi des objets de confection, maroquinerie, poterie, céramiques, sans oublier les produits d’entretien et bien sûr des objets d’art religieux ou liturgiques, croix, icônes, médailles et chapelets, cartes de prière ou de communion, bancs de prière, CD de chants religieux et grégorien, … La vente de ces produits religieux permet à nombre de communautés de moines ou moniales de vivre de leur travail et d’aider de plus démunis. ORA ET LABORA », prière et travail, la formule tirée de la Règle de Saint Benoit est bien connue et elle n’est sans doute pas pour rien dans l’attrait de nos contemporains pour les produits d’ARTISANAT MONASTIQUE. Attrait qui rejoint l’intérêt actuel pour les produits artisanaux en général, souvent reliés aux circuits courts, magasins de producteurs et vente directe qui engendrent la confiance. Moines et Moniales, Bénédictins ou Cisterciens, mais aussi Dominicaines ou Carmélites, religieux de tous ordres monastiques sont animés par la même foi et trouvent dans le travail un élément essentiel de leur vie monastique. Cette vie contemplative qui ne sépare pas prière et travail les amène à mettre le meilleur d’eux même dans tout ce qu’ils font. C’est de là que vient la qualité de leurs produits artisanaux. De ce fait, les produits issus de tant de Prieurés ou Abbayes, couvents ou monastères, ont acquis auprès du public un capital de sympathie et une réputation bien établie de sérieux et d’ que les labels de toute sorte se multiplient, pour préserver la qualité et l’origine de leurs produits face à une situation de concurrence déloyale provenant d'un usage abusif de terminologie, d’imagerie ou de publicité d'apparence monastique, les communautés monastiques ont déposé la marque MONASTIC ». Celle-ci défend et protège un savoir-faire reconnu en garantissant la provenance des produits, élaborés selon un cahier des charges très strict. L’implication de la communauté monastique doit être en effet substantielle depuis la conception du produit et dans toutes les étapes de son élaboration, en respectant un ensemble de valeurs communautaires, éthiques, sociales et environnementales. Les communautés monastiques privilégient ainsi la qualité plutôt que la quantité, préservant ainsi leur vie de prière, quotidienne et parfois nocturne, sans le souci du toujours plus’ mais uniquement du toujours mieux’. En choisissant leurs produits vous choisissez bien plus qu’un produit, mais une forme de sagesse et de solidarité dont notre monde a grand besoin. Alors, faites vous plaisir et mieux encore, faites plaisir autour de vous. Céramique de Sainte Aliénor Cette céramique de saint est peinte à la main à partir des modèles créés par l'Atelier Marie-Dominique, Soeu... 33,33 € Céramique de Saint Nicolas Cette céramique de saint est peinte à la main à partir des modèles créés par l'Atelier Marie-Dominique, S&oe... 30,00 € Notre-Dame des enfants La série de Vierge Marie Notre-Dame d'Espérance… » est peinte à la main à partir des mod&eg... 30,00 € Céramique de Saint Martin Cette céramique de saint est peinte à la main à partir des modèles créés par l'Atelier Marie-Dominique, S&oe... 34,53 € Notre Dame des Enfants Cette céramique La série de Vierge Marie Notre-Dame des enfants… » est peinte à la main à partir... 30,00 € Notre Dame de Lourdes Cette céramique de La série de Vierge Marie Notre Dame de Lourde… » est peinte à la main à... 33,33 €
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