2. La domination Ă  travers l’affiche. Ü Doc.3 p.93 : Affiche de propagande pour les Waffen S.S en Belgique . Ă  MĂ©thode pour l’étude d’une affiche : PrĂ©senter le ou le commanditaire (s) : · le Commandement des Waffen SS de Belgique Dater la conception et faire
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Affichede recrutement de la SS Accueil Vente d’objets militaires et de souvenirs historiques du XXeme siĂšcle Les armĂ©es de l’axe de la seconde guerre mondiale WAFFEN SS Affiche de recrutement de la SS WAFFEN SS AccĂšs limitĂ© Connectez-vous ou crĂ©ez un compte pour visualiser entiĂšrement le catalogue Lot n°786 Estimation : 80.00€ De nombreux Français ont travaillĂ© pour les divers services de sĂ©curitĂ© allemands. La Gestapo comportait en ses rangs 6 000 agents français 2 500 Allemands et 24 000 informateurs. Durant la mĂȘme pĂ©riode, la RĂ©sistance compta 150 000 membres permanents et 300 000 occasionnels. Parmi les aides de la Gestapo, on relĂšve le parcours invraisemblable d’Henri BarbĂ©. Ouvrier mĂ©tallurgiste, il adhĂšre Ă  15 ans aux Jeunesses socialistes. Partisan de l’adhĂ©sion Ă  la IIIe Internationale, il opte pour le Parti communiste. En 1926, il succĂšde Ă  Jacques Doriot comme secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral des Jeunesses communistes, avant d’accĂ©der au Bureau politique en 1927. En 1929, il remplace Pierre SĂ©mard Ă  la tĂȘte du PCF, dans une Ă©quipe qui comprend Ă©galement Maurice Thorez et Pierre CĂ©lor. En 1931, il est mis en cause au cours d’une rĂ©union du Bureau politique auquel participe le reprĂ©sentant de Moscou, Manouilsky. AccusĂ© de fractionnisme, il est Ă©liminĂ© du BP et remplacĂ© par Thorez. Il est rĂ©trogradĂ© au poste de secrĂ©taire du rayon de Saint-Ouen. Exclu du PCF en 1934, il rejoint Jacques Doriot et fonde avec lui le PPF dont il est secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de 1936 Ă  1939. Il rejoint le RNP de Marcel DĂ©at. CondamnĂ© aux travaux forcĂ©s Ă  la LibĂ©ration, il est libĂ©rĂ© fin 1949. Il participe alors Ă  la revue anticommuniste Est-Ouest. Il meurt en 1966. DĂšs l’étĂ© 1941, il Ă©tait devenu l’agent personnel de Karl Bömelburg, chef de la Gestapo Ă  Paris. En 1943, les nazis l’aident Ă  installer Radio-VĂ©ritĂ© oĂč il propage ses idĂ©es des figures les plus abjectes de la collaboration fut certainement Henri Chamberlin dit Henri Lafont. Issu d’un milieu populaire, il est condamnĂ©, adolescent, Ă  la maison de correction. En 1930, il est proxĂ©nĂšte et indicateur de police Ă  Marseille. En 1940, il est condamnĂ© pour insoumission. Au dĂ©but de l’Occupation, il fonde un bureau d’achats pour le compte de la Wehrmacht. Il recrute ses premiers hommes de main parmi les dĂ©tenus de Fresnes. Il obtient la nationalitĂ© allemande avec le grade de capitaine. Il livre Ă  la Gestapo Otto Lambrecht, un des chefs de la RĂ©sistance belge. Il le torture de ses propres mains. 600 membres du rĂ©seau tombent. Il est rapidement secondĂ© par le premier policier de France » Pierre Bonny qui avait Ă©tĂ© chassĂ© de la police en 1935 pour trafic d’influence et dĂ©tournement de fonds. Lafont pille des Ɠuvres d’art appartenant Ă  des familles juives. En aoĂ»t 1944 cache son trĂ©sor de guerre estimĂ© Ă  200 millions de francs un instituteur gagnait environ 1 000 francs par mois. Il se rĂ©fugie en Espagne. Il se rend sans rĂ©sister le 30 aoĂ»t. Bonny et Lafont sont condamnĂ©s Ă  mort. Au moment de mourir, Lafont dĂ©clare Ă  son avocate Je ne regrette rien, quatre annĂ©es au milieu des orchidĂ©es, des dahlias et des Bentley, ça se paie ! Dites Ă  mon fils qu’il ne faut jamais frĂ©quenter les caves ». Il tombe sous les balles du peloton d’exĂ©cution la cigarette aux lĂšvres. Il n’est pas exclu que la French Connection ait Ă©tĂ© financĂ©e par l’argent de la bande Lien fut un bel exemple de rĂ©sistant retournĂ© par les nazis. Agent de la SNCF, il fait la connaissance en novembre 1940. Il est arrĂȘtĂ© le 2 novembre 1941. Il accepte de travailler pour les nazis et leur donne des renseignements sur Frenay et Bertie Albrecht qui se suicidera par pendaison dans le quartier des droits communs de la prison de Fresnes. La collaboration de Lien dĂ©bouchera sur l’exĂ©cution de 420 rĂ©sistants. Le 20 juillet 1946, Lien est condamnĂ© Ă  mort et fusillĂ© le 30 000 Français se sont battus sous uniformes allemands contre les SoviĂ©tiques. Une loi votĂ©e le 22 juillet 1943 les y autorisait. Ce fut le cas de nombreux membres de la LVF endossant l’uniforme de la Waffen-SS. Pour eux, il n’y a plus qu’un ennemi le bolchevisme. Ces hommes placent trĂšs haut la discipline, le sens du sacrifice, le mĂ©pris de la mort ». L’Internationale SS compte 600 000 non Allemands. L’un d’entre eux Ă©crit Je veux rompre avec le monde bourgeois qui m’entoure, celui de ma famille. Je crois au mythe de la rĂ©volution fasciste. Cet engagement est pour moi une rupture avec le monde ancien ». Pour un autre, Le marĂ©chal PĂ©tain entretient notre esprit dans une mentalitĂ© de vaincus. Cela devient insupportable. Je dĂ©couvre en ville des affiches d’une grande beautĂ© esthĂ©tique appelant Ă  s’engager. On ne pourra pas me reprocher d’ĂȘtre un opportuniste la guerre semble ĂȘtre perdue par l’Allemagne. Je m’engage en 1944 dans cette nouvelle chevalerie du Graal. »Des mouvements hostiles Ă  la RĂ©publique française vont prendre le train nazi en marche. C’est le cas des 600 Ă  3 000 selon les sources autonomistes bretons. Certains rejoignent mĂȘme la Gestapo allemande sous le nom de Kommando de Landerneau. Issu d’une famille catholique d’extrĂȘme droite Parti social français, Edouard Leclerc, le fondateur des supermarchĂ©s, fut emprisonnĂ© six mois aprĂšs avoir Ă©tĂ© accusĂ© d’avoir donnĂ© plusieurs noms d’habitants de Landerneau. Il bĂ©nĂ©ficiera d’un non-lieu en fĂ©vrier supplĂ©tifs français dans la traque aux Juifs furent nombreux 1 200 personnes Ă  Paris et organisĂ©s sous l’égide de Xavier Vallat puis Louis Darquier de Pellepoix qui dirigĂšrent le Commissariat gĂ©nĂ©ral aux questions juives dont l’une des fonctions Ă©tait d’aryaniser les biens des Juifs dĂ©noncĂ©s aux Allemands. Alphonse de ChĂąteaubriant rien Ă  voir avec le grand Ă©crivain rallia Ă  sa suite 42 000 individus dans le Groupe collaboration avant de mourir dans un monastĂšre du Tyrol. Marc Augier, pĂšre du journaliste-animateur Sylvain Augier, anima les jeunes du Groupe collaboration. Avant la guerre, proche de LĂ©o Lagrange, il avait organisĂ© le mouvement des Auberges de jeunesse et avait Ă©tĂ© l’ami de la communiste DaniĂšle Casanova. Il s’engagea dans la LVF, passa par Sigmaringen avant de se rĂ©fugier en AmĂ©rique latine et d’apprendre le ski Ă  Evita Peron. Sous le pseudonyme de Saint-Loup, il Ă©crivit de nombreux ouvrages, dont certains consacrĂ©s aux SS, et rata de peu le Goncourt, juste avant qu’on ne dĂ©couvre qui il Ă©tait vraiment. À noter Ă©galement le Parti national français collectiviste de Pierre ClĂ©menti et Robert Hersant, futur magnat de la presse française Le Figaro, La Voix du Nord, quotidien d’abord rĂ©sistant et socialiste, cinq fois réélu dĂ©putĂ© sous cinq Ă©tiquettes diffĂ©rentes que le pompidolisme et le giscardisme couvrirent d’honneurs et de puis il y a la collaboration Ă©conomique dont l’auteur dĂ©plore qu’elle soit survolĂ©e dans ce fichier 245 noms seulement. Cela dit 100% de l’industrie aĂ©ronautique, 100% de la grosse forge, 80% des bĂątiments des travaux publics, 60% de l’industrie du caoutchouc produisent Ă  destination de l’Allemagne. » Louis Renault que ses ayants droit ont longtemps tentĂ© de faire rĂ©habiliter fournit 34 000 vĂ©hicules Ă  l’armĂ©e allemande. TrĂšs peu de dirigeants Ă©conomiques seront condamnĂ©s Ă  la LibĂ©ration. On note l’exception de 23 des 48 grandes maisons de nĂ©goce de vin de Bordeaux. Il faut Ă©voquer la contiguĂŻtĂ© quasi incestueuse de mouvements fascistes menĂ©s par EugĂšne Deloncle CSAR, OSAR, Cagoule avec les parfumeurs de L’OrĂ©al d’EugĂšne Schueller, le pĂšre de Liliane Bettencourt. Monsavon finança la LVF. Mais le petit enfant de la publicitĂ© pour BĂ©bĂ© Cadum Ă©tait un Juif, français d’origine roumaine, dĂ©chu de sa nationalitĂ©, qui rejoignit la RĂ©sistance !Le fichier des collaborateurs compte 82 148 hommes et 14 344 Femmes. L’aristocratie française y est surreprĂ©sentĂ©e 1 357 entrĂ©es. Mais assurĂ©ment pas la haute Fonction publique, les corps constituĂ©s en gĂ©nĂ©ral. En revanche, on trouve en pagaille des petits commerçants, des instituteurs, des curĂ©s de campagne, des GENSANE Paris Le Cherche Midi, Partie
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Affichede la Légion des volontaires français contre le bolchevisme Légende : Affiche intitulée "Sous les plis du drapeau, la LVF combat pour l'Europe", imprimée par la Légion des volontaires français contre le bolchévisme (LVF) pour favoriser le recrutement, août 1941
9 mai 2014 5 09 /05 /mai /2014 1447 L'idĂ©ologie des combattants volontaires des lĂ©gions nazies contre le judĂ©o-bolchevisme» a alimentĂ© les idĂ©es de l’extrĂȘme droite radicale d’aprĂšs-guerre et lui a donnĂ© la capacitĂ© de se rĂ©organiser. publiĂ© le 08/05/2014 Ă  14h40, mis Ă  jour le 08/05/2014 Ă  21h01 En faisant du 8 mai un jour fĂ©riĂ©, le PrĂ©sident François Mitterrand a voulu souligner comment la victoire contre le nazisme Ă©tait celle de l’ensemble des Français. Il prolongeait ainsi le rĂ©cit gaullo-communiste, opposant une France de la RĂ©sistance Ă  un gouvernement de Vichy qui n’eĂ»t Ă©tĂ© que trahison de quelques Ă©lites. A dire vrai, la dĂ©faite de l’Axe fut aussi celle de certains Français. En effet, sur ses membres en 1944, la Waffen-SS Ă©tait composĂ©e pour moitiĂ© de non-Allemands. Ce que l’extrĂȘme droite radicale nomme la grande armĂ©e europĂ©enne» avait attirĂ© son lot de Français, acquis Ă  l’édification du Nouvel ordre europĂ©en» promis par la propagande nazie. Quelles Ă©taient ces unitĂ©s françaises ? Quels hommes y trouvait-on ? Avec l'ouverture du front de l’Est le 22 juin 1941, la propagande du IIIe Reich abandonne le nationalisme grand-allemand et affirme prendre la tĂȘte d'une croisade pour la sauvegarde de l'Europe. Pour la propagande pro-germanique, l'Alliance des Anglais, des AmĂ©ricains et des SoviĂ©tiques implique bientĂŽt de dĂ©signer l'unitĂ© europĂ©enne comme prise entre les mĂąchoires d'un ennemi unique. Capitalisme et communisme seraient les deux Ă©lĂ©ments matĂ©rialistes dĂ©sagrĂ©geant les nations et les Ăąmes des peuples au profit de l'instauration d'une ploutocratie juive planĂ©taire. Le discours sur l’anĂ©antissement» du judĂ©o-bolchevisme» dĂ©signe dorĂ©navant un monstre judĂ©o-amĂ©ricano-soviĂ©tique dont l’impĂ©rialisme» agresserait l’Europe. En France, dĂšs l'ouverture du front oriental, les principaux groupements collaborationnistes lancent ensemble la LĂ©gion des Volontaires Français contre le bolchevisme LVF qui constitue le 638e rĂ©giment de la 7e division de la Wehrmacht hommes. Un des cadres de l'Institut des Questions Juives envisage de donner pour symbole Ă  la nouvelle troupe
 une croix gammĂ©e bleu-blanc-rouge
 Le cardinal Baudrillart apporte sa bĂ©nĂ©diction Ă  la LVF en considĂ©rant que cette lĂ©gion constitue une chevalerie nouvelle. Ces lĂ©gionnaires sont les croisĂ©s du XXe siĂšcle». Les volontaires prĂȘtent serment Ă  Hitler le 12 octobre 1941. Les CroisĂ©s contre le bolchevisme Deux des chefs politiques collaborationnistes font le pas de l’engagement Jacques Doriot et Pierre ClĂ©menti. Le premier est issu du communisme et est le leader du Parti Populaire Français, un parti adepte d’un conservatisme de choc habillĂ© d’un style fasciste. L’engagement europĂ©en mĂšne Ă  une radicalisation de Doriot et du PPF, qui en 1943 n’hĂ©sitent plus Ă  se revendiquer totalitaire» et europĂ©en». L’engagement de Doriot lui permet d’accroitre son aura auprĂšs des plus ardents collaborationnistes, mais attire force antipathie au PPF. Pour guider le parti durant ses absences, il le confie Ă  Victor BarthĂ©lĂ©my futur secrĂ©taire-gĂ©nĂ©ral du Front national. Il est abattu en Allemagne en 1945. Le second leader Ă  prendre l’uniforme de la LVF est Pierre ClĂ©menti. Son Parti Français National-Collectiviste il s’appelait national-communiste mais l’Occupant lui a demandĂ© de changer de nom est bien plus modeste et, malgrĂ© son nom, relĂšve d’une extrĂȘme droite assez classique. Quoique condamnĂ© Ă  mort Ă  la LibĂ©ration, il sera ensuite de tous les coups de l’extrĂȘme droite radicale europĂ©enne, en particulier au sein d’une Internationale, le Nouveau ordre europĂ©en, fondĂ©e en 1951 par l’ex-trotskyste, ex-stalinien et ex Waffen-SS RenĂ© Binet. L’anticommunisme est bien le ciment de cet engagement. Il s’agit d’un thĂšme populaire, apte Ă  entraĂźner le soutien de masses et Ă  susciter des vocations. En 1942, sous l'impulsion des services de propagande allemands, le ComitĂ© d'Action Antibolchevique produit une exposition Le Bolchevisme contre l'Europe», parrainĂ©e par les pays europĂ©ens de l'Axe. Elle reçoit visiteurs Ă  Paris, Ă  Lille, et encore prĂšs de Ă  Toulouse oĂč elle se trouve entre le 6 mai et 8 juin 1944. Affiche pour le recrutement des Français. Non datĂ©e. Image RMN La LVF dispose de son propre organe de propagande pour mobiliser ses membres Le Combattant europĂ©en. Il est dirigĂ© par Marc Augier, ancien militant de gauche et futur Ă©crivain Ă  succĂšs sous le pseudonyme de Saint-Loup. Saint-Loup popularisera dans les annĂ©es 1960-1970 une vision pop» de la SS, lui inventant une fraction Ă©sotĂ©rique prĂȘte au coup de force pour imposer une Europe des rĂ©gions. Mais, dĂšs la guerre, il a le goĂ»t de la romance
 Qu’importe que l’action militaire de la LVF soit tout Ă  fait mĂ©diocre, Augier excelle Ă  transformer le rĂ©cit de sa faiblesse combattante en drame Ă©pique. Il sait donner une perspective. Membre du Groupe Collaboration», il a dirigĂ© sa branche des Jeunes de l’Europe Nouvelle. Ses militants diffusent en France, La Jeune Europe, un journal destinĂ© aux jeunes intellectuels, publiant dans ses colonnes toute l’intelligentsia de l’extrĂȘme droite europĂ©enne, lancĂ© en 12 langues en 1942 afin de reprĂ©senter la concorde continentale naissant avec la SS europĂ©enne. Les militants passent ensuite pour l'essentiel Ă  la Milice ou Ă  la brigade SS Frankreich. La Milice est quant Ă  elle fondĂ©e en janvier 1943 afin de soutenir l'effort allemand dans le cadre de la rĂ©pression de la RĂ©sistance. Pour la Milice, il n’y a pas de diffĂ©rence entre front de l’Est et guerre civile intĂ©rieure elle ne voit lĂ  qu’un seul ennemi. Son chef Joseph Darnand souhaite la transformer en parti unique, et en formation armĂ©e unique absorbant la LVF qui combat Ă  l'Est. En aoĂ»t, il renforce sa position en jurant fidĂ©litĂ© Ă  Hitler et intĂ©grant la Waffen-SS. Avec ses miliciens, dont un grand nombre inactifs, il escompte radicaliser le rĂ©gime de Vichy pour l'entraĂźner de l'autoritarisme vers le totalitarisme. Il sera exĂ©cutĂ© Ă  la LibĂ©ration. La Waffen-SS française En 1943, le IIIe Reich accorde aux Français le droit de rejoindre la Waffen-SS au sein de la brigade Frankreich hommes. Les brochures promouvant l'engagement alternent l'argumentaire idĂ©ologique magnifiant l'union de la jeunesse europĂ©enne contre le nihilisme bolcheviste» et un descriptif sportif les SS Ă  la plage, Ă  cheval, en motocyclette, etc. et alimentaire avec composition des menus... soit un argument de poids en son contexte. Les hommes de la Frankreich, de la LVF et des Miliciens sont enfin versĂ©s dans la Division Charlemagne de la Waffen-SS en novembre 1944 moins de hommes. Selon François Duprat, cadre mais aussi historien des extrĂȘmes droites, le tout premier Français acceptĂ© dans la SS fut Jean-Marie Balestre. Il Ă©tait avant-guerre membre du service d’ordre de la Ligue Internationale contre l’AntisĂ©mitisme, mais dĂšs l’étĂ© 1940, proche de ClĂ©menti, on le trouve impliquĂ© dans des violences antisĂ©mites en compagnie de son ami Robert Hersant. Dans Devenir, le journal des SS francophones, Balestre trace les grands traits d’une idĂ©ologie qui a plus Ă  voir avec celle de l’extrĂȘme droite radicale d’aprĂšs-guerre qu’avec le nationalisme grand-allemand. Le futur prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration Internationale du Sport Automobile de 1978 Ă  1991 certifie alors que les SS français savent qu’Hitler les conduira au triomphe total, et ils savent aussi que, grĂące Ă  eux, la France y aura participé». Dans les pages de Devenir, on est trĂšs loin de l’état d’esprit des croisĂ©s de 1941 – d’oĂč d’ailleurs quelques tensions dans la Charlemagne. Ici, on applaudit Ă  la mort des nations grĂące Ă  l’homme nordique qui renaĂźt aujourd’hui», enraciné» et dĂ©fait de l’orientalisme» chrĂ©tien. L’écrivain Lucien Rebatet qui participe aprĂšs-guerre Ă  la presse d’extrĂȘme droite, y salue les Allemands nazis, les Roumains de la Garde de Fer, les antisĂ©mites des Etats-Unis, les nationalistes argentins, tous ceux qui ont l’esprit europĂ©en, l’esprit aryen, l’esprit rĂ©volutionnaire». Et de conclure que les engagĂ©s du front de l’Est sont l’élite de cette Internationale aryenne qui refera demain le monde sans Juifs, sans dĂ©mocrates, sans trusts. Camarades SS de 18 nations, je vous adresse, le bras tendu, notre salut, le salut aryen. Mort aux juifs !» Les dĂ©combres La sortie de guerre est particuliĂšrement dĂ©licate pour ces hommes. Ils ont franchi le Rubicon et, jusqu’au bout souvent, veulent y croire. Ainsi, le SS Marcel Lhomet Ă©crit-il dans une lettre en date du 30 mars 1944 C'est un SS qui t'Ă©cris. C'est la formation SS qui parle. Nous sommes un ordre de chevalerie, un ordre de soldats, nos lois sont dures. Notre voie est toute droite, sans compromis, et notre but est la victoire europĂ©enne, de la Race. [Hitler est] l'homme qui seul est capable de façonner les destinĂ©es de l'Occident et de la France ». La Charlemagne est prise dans les tourments de la fin du conflit. Certains de ses hommes sont Ă  Berlin lors de sa chute. D’autres ont Ă©tĂ© faits prisonniers par les Russes sur le front de l’Est, tel Jean Castrillo, qui s’y dĂ©couvre slavophile, s’y convertit Ă  l’orthodoxie, et participera aprĂšs-guerre aux dĂ©buts de la Nouvelle droite et sera un cadre du FN. Il sera alors toujours auprĂšs de Pierre Bousquet. Face Ă  la dĂ©bĂącle, Bousquet est lui parvenu Ă  se faire passer pour un Français du Service du Travail Obligatoire auprĂšs de l’armĂ©e amĂ©ricaine. Le voici engagĂ© par les AmĂ©ricains pour organiser l’arrestation puis le renvoi vers la France des collaborationnistes... Il compte dans l’extrĂȘme droite d’aprĂšs-guerre. Revenu Ă  Paris, il participe en 1946 Ă  un groupe clandestin d’ex Waffen-SS qui tente de placer ses membres dans les mouvements anticommunistes pour pouvoir les manƓuvrer. Lorsqu’en 1972 survient la crĂ©ation du Front National, Bousquet n’est pas enthousiaste. C’est alors Georges Bidault, l’ancien prĂ©sident du Conseil National de la RĂ©sistance avec lequel il s’est liĂ©, qui l’invite Ă  y participer, mĂȘme si lui-mĂȘme prĂ©fĂšre demeurer en retrait. C’est avec Bousquet que Jean-Marie le Pen va dĂ©poser les statuts du jeune Front National, dont l’ancien de la Charlemagne est le premier trĂ©sorier. MĂȘme si lui et Castrillo quittent le FN fin 1980 en considĂ©rant que, depuis l’assassinat de Duprat, IsraĂ«l tiendrait Jean-Marie le Pen, de nombreux membres de la Nouvelle droite et du FN seront Ă  ses obsĂšques en 1991. En termes militaires, l’apport des Français Ă  la SS n’a pas eu de grande importance. Mais, en termes politiques, les anciens SS jouent aprĂšs-guerre un rĂŽle essentiel dans la reconstruction des extrĂȘmes droites, y faisant montre de capacitĂ©s d’élaboration idĂ©ologique et organisationnelle. Nicolas Lebourg Published by Nicolas Lebourg - dans Histoire
Lettre- Lettre du bureau de recrutement pour la Waffen SS au maire de Nomain. - 2012.7.10 Nom de l'objet Lettre
Sujet Images de propagande , Ă©ditĂ©es durant la seconde guerre mondiale . Lu 9240 fois 0 Membres et 1 InvitĂ© sur ce sujet AFFICHE N° 86AUCH DU ...! Toi aussi ! Les jeunes de la " Hitlerjugend " Jeunesse hitlĂ©rienne pouvaient demander Ă  ĂȘtre volontaires dans la Waffen SS Ă  partir de 17 ans . Hitler a d' abord encouragĂ© ce recrutement pour des raisons idĂ©ologiques , il se proposait de substituer insensiblement Ă  sa vieille armĂ©e , rĂ©actionnaire et aristocratique , une nouvelle armĂ©e nationale - socialiste . Puis , lorsque les armĂ©es alliĂ©es menaçant le territoire mĂȘme de l'Allemagne , c' est parce qu' il a besoin de mobiliser toutes les forces vives de l' Allemagne pour l ' ultime rĂ©sistance qu' il envoie au combat des garçons de 15 ans . ********************AFFICHE N° 87BISERTA in mano francese e una pistola puntata contro la SICILIA .Bizerte au mains des Français , est un pistolet braquĂ© contre la Sicile !Les alliĂ©s sont Ă  Bizerte lrut prochain objectif est la Sicile , dont ils ont prĂ©parĂ© le plan d' invasion avant mĂȘme la fin de la campagne de Tunisie . . L'Italie n'ignore pas que l' intĂ©gritĂ© de son territoire est dĂ©sormais menacĂ©e puisqu' avant le seconde guerre mondiale la propagande fasciste prenait argument de la valeur stratĂ©gique de Bizerte pour revendiquer l' annexion de la base française ainsi que celle de la Tunisie tout entiĂšre . Si la France n'a pas su se servir de l'arme qu' elle possĂ©dait en 1940 , les Anglais , et les amĂ©ricains s'en sot emparĂ©s en 1943 pour viser l'Italie au coeur !!!! ****************************************AFFICHE N°88Rush British armsto british hands ....Ju de mots intraduisible en français ! aussi bien que par !Cette affiche anglaise est une réédition d'une affiche soviĂ©tique parue en 1941 , et publiĂ©e par " La fenĂȘtre de l' agence TASS .La poigne de mains anglo- soviĂ©tique , qui Ă©trangle Hitler est devenue une rĂ©alitĂ© en 1943 ....mais , si avant la conclusion des accords , la propagande menait grand bruit en URSS , autour des succĂšs qu' on pouvait attendre de l' alliance avec les pays capitalistes , les dĂ©clarations officielles ne font plus la moindre allusion aux fournitures occidentales depuis qu'elles arrivent en quantitĂ© vraiment importantes en Union SoviĂ©tique .... ********************************************* Ă  Suivre ....... IP archivĂ©e Les faits sont sacrĂ©s , les commentaires sont libres . S/O. ADN 40 . Et de prĂ©fĂ©rence pas avec les doigts dans le nez mais plutĂŽt avec une K7, capito ?La charitĂ© chrĂ©tienne n'a pas de prix. Quelques autres seront rĂ©cupĂ©rĂ©s par la CIA, en gĂ©nĂ©ral des officiers de renseignements avec leurs fichiers, les "moins pires" ! Cela a permis, entre autre, de former l'organisation Gehlen. Mais finalement, tout anti-communiste fĂ©roce Ă©tait le bienvenu pour les encore des "chimistes" comme Werner von Braun, lĂ , on l'a Ă©chappĂ© belle !C'est ce haut gradĂ© des SS SturmbannfĂŒhrer, qui a encore fait travailler les prisonniers et travailleurs forcĂ©s, Ă  une Ă©poque Ă  laquelle il Ă©tait dĂ©finitivement acquis que le rĂ©gime s'Ă©croulera. On se rappelle du camp Dora, oĂč les Français Ă©taient les bienvenus. On doit rendre hommage Ă  la maniĂšre dont il s' est montrĂ© capable de faire de chaque fils d' immigrants Ecossais , irlandais , allemand , scandinave , italien , espagnol slave , grec voire japonais , un patriote , qu' elles que soient sa classe , sa race , sa religion . Sous son impulsion , l' armĂ©e amĂ©ricaine s' acquitte brillamment de la mission libĂ©ratrice qui lui a Ă©tĂ© confiĂ©e .Je me permets quand-mĂȘme d'exclure ceux ayant les yeux bridĂ©s, car ils ont Ă©tĂ© internĂ©s dans des camps. IP archivĂ©e Affiche 80Bonne analyse, c'est effectivement avec le soutien de cette crapule patentĂ©e de von Papen qu'Hitler accĂ©da au pouvoirAcquittĂ© Ă  Nuremberg, il vĂ©cut encore assez longtemps au sud de Bade et eut le temps d'ouvrir un compte Ă  l'Ă©tablissement financier de BĂąle oĂč je travaillaisTombĂ© sur son dossier, je regarde mon chef et lui demande c'est .... ? Il a juste acquiescĂ© en hochant la tĂȘte ! Ceci n'est qu'une anecdote ...Et ce que j'ai dĂ©couvert aussi, c'est que le futur pape Jean XXIII alors Roncalli qui intercĂ©da en sa faveur pour qu'il recouvre sa "dignitĂ©" de chambellanOn ne prĂȘte qu'aux riches !Que tu veut tu certains de ces crapules de sont bien tirĂ© d'affaire, enfin un de cela Ă  Ă©tĂ© bien retrouvĂ© dans un coffre Ă  Mulhouse, lui qui Ă©tait pendantla 2Ăšme guerre mondiale parait-il qu'il Ă©tait l'un des responsable de la politique d'extermination en TchĂ©coslovaquie IP archivĂ©e Affiche 80Bonne analyse, c'est effectivement avec le soutien de cette crapule patentĂ©e de von Papen qu'Hitler accĂ©da au pouvoirAcquittĂ© Ă  Nuremberg, il vĂ©cut encore assez longtemps au sud de Bade et eut le temps d'ouvrir un compte Ă  l'Ă©tablissement financier de BĂąle oĂč je travaillaisTombĂ© sur son dossier, je regarde mon chef et lui demande c'est .... ? Il a juste acquiescĂ© en hochant la tĂȘte ! Ceci n'est qu'une anecdote ...Et ce que j'ai dĂ©couvert aussi, c'est que le futur pape Jean XXIII alors Roncalli qui intercĂ©da en sa faveur pour qu'il recouvre sa "dignitĂ©" de chambellanOn ne prĂȘte qu'aux riches !Que tu veut tu certains de ces crapules de sont bien tirĂ© d'affaire, enfin un de cela Ă  Ă©tĂ© bien retrouvĂ© dans un coffre Ă  Mulhouse, lui qui Ă©tait pendantla 2Ăšme guerre mondiale parait-il qu'il Ă©tait l'un des responsable de la politique d'extermination en TchĂ©coslovaquieTu veus parler de ceci Benny ???? IP archivĂ©e Les faits sont sacrĂ©s , les commentaires sont libres . S/O. ADN 40 . IP archivĂ©e Merci et bon appĂ©tit !!!! IP archivĂ©e Les faits sont sacrĂ©s , les commentaires sont libres . S/O. ADN 40 . AFFICHE N° 89>Lorsqu' elle veut frapper les foules , L' URSS matĂ©rialiste marxiste reprend le langage de l' Evangile qui des siĂšcles durant a façonnĂ© l' esprit du peuple russe . En faisant sienne la phrase du Christ au mont des Oliviers , elle s' identifie avec l' innocence et le bon droit bafouĂ© par les mĂ©chants . Mais l' Ă©pĂ©e qui tranche les mains avides des dirigeants nazis , s' orne de l' Ă©toile rouge , ainsi que de la faucille et du marteau , et les cheminĂ©es qui fument sont celles de villes industrielles du Caucase dont Hitler n'a pu s'emparer . ****************************************AFFICHE N° 90AUSTELLUNG UNSER KAMPF ZUR SEE .EXPOSONS NOTRE COMBAT SUR MER !!!!!AFFICHE annonçant l'exposition consacrĂ©e Ă  la guerre sur mer par le Kaiser Friedrich MusĂ©um de BERLIN du 13 juin au 30 septembre 1942 , L'Attraction y est un U-BOOT livrĂ© Ă  la curiositĂ© des visiteurs . C' est Ă  juste titre que l'Allemagne admire ses sous marins , exalte l'hĂ©roĂŻsme de ses Ă©quipages . ******************************AFFICHE N° 92......Because somebody talked !......Parce que quelqu' un a parlĂ© !!!!!L' Action des sous marins allemands contre les convois alliĂ©s est si prĂ©cise que le Haut Commandement anglo - saxon soupçonne des " fuites " !!! La trahison seule peut expliquer les embuscades tendues par douze Ă  seize submersibles au point le plus favorable du parcours de chaque convoi . Inlassablement on rappelle donc Ă  l'opinion la grande consigne du secret militaire Recommandations inutile puisque le " service B " de la marine allemande continue malgrĂ© toutes ces prĂ©cautions prises , Ă  dĂ©crypter les communications ennemies et que durant 3 ans DÖNITZ lit , pour ainsi dire par dessus l'Ă©paule de ses adversaires . ********************************************************************************* Ă  SUIVRE ...... IP archivĂ©e Les faits sont sacrĂ©s , les commentaires sont libres . S/O. ADN 40 . AFFICHE 86Et pas seulement des gamins de 15 ans, mais mĂȘme des Alsaciens n o n volontaires mais dont le physique faisait "profil" et mĂȘme, au diable l'avarice, des Bosniaques musulmans Division SS Handschar lesquels ne se firent pas beaucoup d'amis en Serbie, ce qui explique - partiellement - les retours de flammes lors de l'Ă©croulement de la Yougoslavie encore une rĂ©ussite du traitĂ© de Versailles et autres obliger Ă  coexister des personnes aux cultures diffĂ©rentes et qui n'avaient surtout rien demandĂ© !! IP archivĂ©e Et pour changer un peu , tout en restant dans le sujet .....Dans le garage de mon fils au milieu de son immense bric Ă  brac ..... ICI LONDRES ..... ICI LONDRES ... Les Français parlent au Français .... Les Français parlent au Français ..... Ă  BientĂŽt . ADN 40 IP archivĂ©e Les faits sont sacrĂ©s , les commentaires sont libres . S/O. ADN 40 . Vivement les marchĂ©s aux puces !Il fut un temps avec deux de mes fils, on les faisait tous, le dimanche ... moi surtout pour les bouquins dont mes annuaires ! IP archivĂ©e Gehlen Ă©tait chargĂ© de fournir Ă  Hitler tous renseignements utiles sur l'armĂ©e russe. Quand ça ne convenait pas au caporal fureur, il hurlait et finalement a limogĂ© le petit gĂ©nĂ©ral de brigade comme Charlie, mais ce dernier Ă  titre temporaire ... ! Grand bien lui fit, il Ă©chappa aux investigations aprĂšs l'attentat du 20 juillet 44 et sauva sa peauLe garçon a mis tous ses papiers Ă  l'abri et - fait prisonnier - les a finalement refilĂ©s aux AmĂ©ricains pour qui tout ce qui touchait les Russes en matiĂšre militaire Ă©tait du pain bĂ©niLe SchreibtischtĂ€ter scribouillard d'Ă©tat-major fut renvoyĂ© dans ses foyers avec pour mission de continuer d'espionner les "amis", ce qu'il fit trĂšs bienPendant la guerre d'AlgĂ©rie, il s'occupait bien aussi du FLN qui cherchait Ă  se procurer des armes en RFA. Les relations De Gaulle - Adenauer l'amĂšneront Ă  mettre la pĂ©dale douce de ce cĂŽtĂ©-lĂ  ... peut-on supposer ... et encore ! IP archivĂ©e AFFICHE N° 9TERNER DURO !tenez bon .!A mesure que la menace d'un dĂ©barquement alliĂ© en Italie se prĂ©cise , , les slogans fascistes appellent plus impĂ©rieusement Ă  lamobilisation gĂ©nĂ©rale de la population contre les anglo -saxons., ennemis de l' Europe rĂȘvĂ©e par Hitler et Mussolini . Mais derriĂšre ce raidissement apparent , le rĂ©gime est Ă©branlĂ© ; les dignitaires fascistes se partagennt entre deux courants ceux qui avec Grandi , Clano et Bottai veulent Ă  tout prix retirer l'Italie de la guerre , et ceux comme Farinacci veulent la consolider Ă  la vie Ă  la mort avec l' Allemagne . ************************AFFICHE N° 93NON MOLLEREMO !Nous ne cĂ©derons pas !Affiche Ă©ditĂ© par la fĂ©dĂ©ration fasciste de Rome pour informer la population de la rĂ©ponse faite par le Duce Ă  l' exigence de capitulation sans condition imposĂ©e par les puissances de L'AXE par Churchill et Rosswelt Ă  l'issue de la confĂ©rence de Casablanca .Mais malgrĂ© les slogans bellicistes , l'invasion de la Sicile voit la dĂ©bandade des dirigeants italiens et la redditionde nombreux gĂ©nĂ©raux aprĂšs un simulacre de dĂ©fense . ROMMEL Ă  qui on demande s' il connaĂźt un leader fasciste capable de galvaniser la rĂ©sistance et de sauver la coopĂ©ration italo - allemande rĂ©pond ! ******************************AFFICHE N° 94ECCO IL NEMICO !Voici l' ennemi !Quelques minutes aprĂšs la proclamation radiodiffusĂ©e de l' armistice italien , HITLER dĂ©clenche l' opĂ©ration ACHSE les troupes italiennes sont dĂ©sarmĂ©es , , celles qui rĂ©sistent sont dĂ©truites . Les Allemands rĂ©organisent la PĂ©ninsule ! Le haut- Adige , et la VĂ©nĂ©tie - Julienne sont placĂ©es sous l' autoritĂ© de Gauleiter . Le reste du pays est divisĂ© en une zone opĂ©rationnelle soumise aux commandements des armĂ©es , et en une zone d' occupation .L' ancien alliĂ© devient alors le plus implacable des adversaires , multipliant les exĂ©cutions sommaires de tous ceux qui appliquent les consignes du gouvernement Badoglio ou de la rĂ©sistance italienne . ************************** Ă  SUIVRE ...... IP archivĂ©e Les faits sont sacrĂ©s , les commentaires sont libres . S/O. ADN 40 . Affiche 94 ou l'art de retourner la veste et le pantalon, Ă  la prochaine rĂ©volution, comme chantait Dutronc Par la mĂȘme occasion, Ă©vĂ©nement peu connu, malgrĂ© la "tendresse qui le liait Ă  Benito ! , le caporal Fureur en profite pour "remettre de l'ordre" dans son ancienne patrie le Haut-Adige redevient le Tyrol du SudBizarrement, aujourd'hui, ses habitants sont satisfaits de leur statut et ne veulent plus en changer, ce qui prouve que les Italiens savent aussi nĂ©gocierUne visite dans la rĂ©gion est, aujourd'hui, des plus agrĂ©ables, pas comme en 1943 ! IP archivĂ©e AFFICHE N° 95 Tout ce qui est tombĂ© de la charrette est fichu . Les slogans rĂ©vĂšlent profondĂ©ment l' Ăąme d' un peuple , car ils sont faits de mots qui peuvent le mieux la toucher . Ce dicton rural plein de malice et de bonhomie , appliquĂ© avec humour Ă  l' arme la plus rĂ©volutionnaire de la seconde guerre mondiale , les parachutistes , montre bien que le peuple soviĂ©tique pensait avant tout Ă  son " isba " natale lorsqu' il se battait comme l' a Ă©crit Erhenbourg . ImprĂ©gnĂ© de verve terrienne , l' Ă©crivain soviĂ©tique utilise d' ailleurs les mots d' un campagnard pour exprimer l' incomprĂ©hension des jeunes gens devant la longueur de la Guerre . !!!!! **********************AFFICHE N° 96PANZER ... , deine Waffe !Les BlindĂ©s .... ton arme ! .L' armĂ©e blindĂ©e allemande sur laquelle Hitler fait reposer la dĂ©cision de la guerre , reçoit une puissante impulsion lorsque en janvier 1943 ,Guderian en devient le grand maĂźtre En Juillet le FĂ»hrer , la lance inconsidĂ©rĂ©ment dans une offensive que GudĂ©rian dĂ©sapprouve car il redoute qu' elle se heurte aux blindĂ©s soviĂ©tiques utilisĂ©s dĂ©fensivement . C ' est ce qui se produit Ă  KOURSK oĂč se dĂ©roule la plus grande bataille de chars de la deuxiĂšme guerre mondiale . elle met aux prises plus de 4500 engins blindĂ©s et chenillĂ©s . **************************AFFICHE N°97Wuen ??? It's up to You !Quand ??? C' est votre affaire .!Depuis Juillet 1942 , les Etats Unis accomplissent d' immenses prĂ©paratifs en Angleterre en vue d' effectuer des bombardements diurnes sur l' Allemagne . Dans le mĂȘme temps le Bomber Command britannique multiplie les raids nocturnes sans toutefois parvenir Ă  remplir l' objectif que les alliĂ©s se sont assignĂ© paralyser le III Ăšme Reich .De la coordination de leur action dĂ©pend l' exĂ©cution du plan de guerre pour 1943 , dĂ©veloppĂ© Ă  Casablanca jeter une quantitĂ© toujours plus considĂ©rable de bombes sur le territoire ennemi et parvenir grĂące Ă  l ' emploi de procĂ©dĂ©s scientifiques Ă  une prĂ©cision absolue dans la destruction des centres industriels . *************************** Ă  SUIVRE ...... IP archivĂ©e Les faits sont sacrĂ©s , les commentaires sont libres . S/O. ADN 40 . Dresde, c'Ă©tait un "centre industriel" ? Il n'y avait que des musĂ©es ...ou bienun crime de guerre ? IP archivĂ©e AFFICHE N° 98Der Feind sieht Dein LICHT !!!!Verdunkeln !L'ennemi voit ta lumiĂšre ...Cache-la !!!!!!Une affiche de propagande du Docteur GOEBBELS exhorte la population civile Ă  respecter les consignes d' obscurcissement des lumiĂšres . Mais l' aviation alliĂ©e n'a pas besoin d' y voir clair pour frapper . Les nouveaux radars H 2S qui Ă©quipent les appareils amĂ©ricains puis britanniques projettent sur l' Ă©cran une image de terrain semblable Ă  une carte gĂ©ographique fluorescente , quels que soient les circonstances mĂ©tĂ©orologiques et les conditions de visibilitĂ© au sol *******************************************AFFICHE N° 99TRIM that Lamp !Give that coal for Victory !PrĂ©parez cette lampe !Fournissez ce charbon pour la victoire .!Les " Gueules noires " travaillant obscurĂ©ment dans les fosses d' extraction tiennent secrĂštement entre leurs mains les destinĂ©es de l' industrie de leur pays . Cette affiche qui sollicite leur contribution Ă  l' effort de guerre reconnait la primautĂ© de leur action ., et en souligne le caractĂšre librement consenti et contraste flagrant avec la soumission aveugle de la population nippone envers ses chefs !!!! ***************************AFFICHE N° 100BONDS build Ships !!!Buy more Bonds !Les bons construisent les navires ! Achetez plus de bons ! ! En vertu de cette considĂ©ration du GĂ©nĂ©ral Marshall , le Carnot amĂ©ricain , les Etas Unis entreprennent un gigantesque effort de construction navales et d' organisation logistique .L'industrie amĂ©ricaine imagine des centaines de moyens nouveaux pour rĂ©soudre les problĂšmes de la Maintenance Lleet ! l' US NAVY rĂ©ussit ce tour de force inconnu dans le passĂ© , d' 000000ĂȘtre de plus en plus puissante au fur et Ă  mesure que ses lignes de communications s' allongent . ************************** Ă  SUIVRE ...... IP archivĂ©e Les faits sont sacrĂ©s , les commentaires sont libres . S/O. ADN 40 . AFFICHE N° 101 La CROIX BRISEE ....Parmi les alliĂ©s qui donnent un dernier assaut Ă  la forteresse allemande , la France joue un grand rĂŽle militaire importanten engageant 12 divisions . Elle mĂ©ritera bien de signer la reddition de l' ensemble de l' armĂ©e allemande , aux cĂŽtĂ©s des AmĂ©ricains , SoviĂ©tiques , et Britanniques . Mis il aura fallu beaucoup de courage et de dĂ©termination pour le faire admettre , mĂȘme aux amis !!!!! ***********************************AFFICHE N° 102 .FRONDSTADT , FRANKFURT WIRD GEHALTEN !Francfort , ville de front Tiendra !Autour de Francfort , l' une des capitales Ă©conomiques de l' Allemagne occidentale , les dĂ©fenseurs du Reich font un effort dĂ©sespĂ©rĂ© . C'est la route la plus courte pour couper l'Allemane en deux , en se portant au devant des SoviĂ©tiques . Pour les soutenir dans leur tĂąche , ils appellent aux armes , la population civile de la citĂ© qui garde le confluent du Rhin et du Main . ****************************************AFFICHE N° 103La victoire des Nations Unies est maintenant certaine .En donnant l' ordre de pratiquer , la politique de la terre brĂ»lĂ©e , c' est a dire la destruction de tous les biens Ă  l' approche de l' ennemi , HITLER veut que le peuple allemand infĂ©rieur Ă  la haute mission qu' il a rĂȘvĂ© pour lui , disparaisse dans la dĂ©faite .En prĂ©sence d'une dĂ©cision aussi dĂ©sespĂ©rĂ©e que monstrueuse , les alliĂ©s comprennent vite que la fin du III Ăšme Reich est proche . *********************************** Ă  SUIVRE ....... IP archivĂ©e Les faits sont sacrĂ©s , les commentaires sont libres . S/O. ADN 40 . AFFICHE N° 103La victoire des Nations Unies est maintenant certaine .Nous noterons l'absence du drapeau de l'URSS. Certes, les Nations Unies » et les alliĂ©s », ce n'est pas la mĂȘme chose. Mais si l'on se rĂ©fĂšre au premier terme, il faudrait aussi ajouter le drapeau de l'Allemagne. IP archivĂ©e AFFICHE N° 103La victoire des Nations Unies est maintenant certaine .Nous noterons l'absence du drapeau de l'URSS. Certes, les Nations Unies » et les alliĂ©s », ce n'est pas la mĂȘme chose. Mais si l'on se rĂ©fĂšre au premier terme, il faudrait aussi ajouter le drapeau de l'Allemagne. Et en plus c'est vrai ça !!!! chĂšre Bliz , ça ne m'avait pas interpellĂ© plus que ça .Merci de tes commentaires Bonne journĂ©e Ă  toi ..... ADN 40 IP archivĂ©e Les faits sont sacrĂ©s , les commentaires sont libres . S/O. ADN 40 . affiche 101Si la France Ă©tait intervenue en 1936 pour renvoyer chez elles quelques brigades de l'armĂ©e allemande en voie de reconstitution et si elle avait empĂȘchĂ© la conscription en Allemagne, si elle avait fait respecter son mauvais traitĂ© de Versailles, elle se serait Ă©vitĂ©, accessoirement, bien des humiliations, et elle aurait contribuĂ© Ă  Ă©viter Ă  quelques millions d'innocents de perdre la vieIl existe une loi rĂ©primant la nĂ©gligence, le refus d'assistance Ă  personne en danger, je crois ... D'autant plus que les "dirigeants" avaient Ă©tĂ© informĂ©s par la voie hiĂ©rarchique, non ?Alors, aprĂšs, mendier timidement une place Ă  la table des vainqueurs, c'est pathĂ©tique ! IP archivĂ©e
Viewsold price and similar items: Affiche de la Loi du 22 juillet 1943 pour l’engagement des volontaires français dans la Waffen SS. En papier, sur fond blanc avec une bande tricolore (bleu/blanc/rouge). Texte en français de la loi du 22 juillet 1943 concernant l’engagement des from Caen Encheres on Invalid date CET.
Les SS français auraient Ă©tĂ© les derniers dĂ©fenseurs » du bunker, le Bataillon Charlemagne ayant Ă©tĂ© la seule unitĂ© encore prĂ©sente jusqu'au 2 mai, afin d'empĂȘcher les SoviĂ©tiques de le prendre pour la fĂȘte du 1er mai Jusque dans les annĂ©es 1990, les pensions Ă©taient versĂ©es par le gouvernement allemand aux anciens combattants français de la division SS Charlemagne. L'un des derniers combattants français INTRODUCTION "Ne soyez pas effrayĂ©s si nous sommes si peu nombreux. A travers l'histoire, depuis des temps immĂ©moriaux, c'est toujours une poignĂ©e d'hommes qui a forcĂ© le destin" Joseph Darnand. Jean Marie Balestre Avec la guerre, commence la pĂ©riode la plus trouble et contradictoire de la biographie de Jean-Marie Balestre. En 1939 et 1940, il Ă©crit rĂ©guliĂšrement comme journaliste militant dans Le Droit de vivre, journal de la Ligue Internationale contre l’AntisĂ©mitisme que dirige Bernard Lecache2 et dont il est membre du service d'ordre avant la guerre. Dans un de ses articles intitulĂ© Il n'y a plus de mĂ©tĂšques, en dĂ©cembre 1939, il Ă©crit cette barbarie qu'est le racisme ». Il devient marĂ©chaliste et, en 1940, rĂ©fugiĂ© Ă  Toulouse, adhĂšre aux organisations d'extrĂȘme droite Jeunes du MarĂ©chal » puis Jeune Front », oĂč il fait la rencontre deRobert Hersant qui en est l'un des dirigeants. Il est Ă©galement proche de Pierre ClĂ©menti. DĂšs l'Ă©tĂ© 1940, on le trouve impliquĂ© dans des violences antisĂ©mites en compagnie de Robert Hersant. En 1941 et 42, il codirige avec ce dernier le Centre de jeunesse marĂ©chal PĂ©tain de BrĂ©vannes, un camp d'embrigadement aux principes vichystes En mars 1944, dans le Journal de la communautĂ© europĂ©enne, Devenir, il Ă©crit un article intitulĂ© Les soldats du FĂŒhrer » dans lequel il Ă©nonce Les jeunes Français ont endossĂ© leur uniforme de la Waffen SS, ils dĂ©fendent son drapeau et son prestige ; ils ont embrassĂ© un idĂ©al intransigeant et appartiennent maintenant Ă  un Ordre que l'on ne quitte que par la mort... Ils sont les soldats du FĂŒhrer, ils sont les soldats fanatiques et fidĂšles d'Adolf Hitler qui leur a accordĂ© par deux fois le plus grand des honneurs. » Ces faits rĂ©vĂ©lĂ©s par le journaliste Pierre Dubreuil dans son ouvrage Des bolides en or paru en 1984 ne seront pas dĂ©mentis par le principal intĂ©ressĂ© qui explique toutefois avoir agi en tant qu'agent infiltre pour les faux rĂ©seaux de rĂ©sistance En mai 1944, il est arrĂȘtĂ© par la Gestapo parce que, d'aprĂšs ses dires, il prĂ©parait un attentat. Des rĂ©sistants affirment qu'il a Ă©tĂ© pris la main dans le sac Ă  truquer des factures d'imprimerie, Ă  revendre du papier journal contingentĂ© et que, d'autre part, il s'Ă©tait livrĂ© au marchĂ© noir. Il est mis au secret Ă  Fresnes puis, le 17 aoĂ»t 1944, au moment de la dĂ©bĂącle allemande, est transfĂ©rĂ© dans le dernier convoi en partance pour l'Allemagne, comme droit commun et non comme prisonnier politique, puis internĂ© dans le camp Dantzig, Oranienburg, Dachau et Hersbruck. Il est dĂ©livrĂ© par les AmĂ©ricains en avril 1945, et dĂšs son retour en France, rejoint les rangs de la rĂ©sistance française, mais est dĂ©noncĂ© comme ancien SS par les membres de la communautĂ© juive. AprĂšs son incarcĂ©ration Ă  la prison de Fresnes, le 16 juin 1945 pour atteinte Ă  la sĂ»retĂ© de l'État, un non-lieu est rendu le 16 mai 1947. Par dĂ©cision ministĂ©rielle du 7 avril 1954, le soldat Jean-Marie Balestre se voit dĂ©cerner le certificat et la mĂ©daille d'appartenance Ă  la RĂ©sistance intĂ©rieure française pour service accomplis dans la RĂ©sistance du 1er avril 1942 au 4 mai 1945. En juin 1957, le ministre des Anciens Combattants et Victimes de guerre lui attribue le titre, la carte et la mĂ©daille de dĂ©portĂ© rĂ©sistant Il est fait chevalier de la LĂ©gion d’honneur en dĂ©montre l'existence et les faux rĂ©seaux de maquis montes par le rĂ©gime de Vichy Le noyau de la DCER implique dans un vaste scandale de faux papiers de la rĂ©sistance et dĂ©portation Paris le 22 Mars 1958 Le CSM Comite Secret Militaire qui fut Ă  l'origine le BCRA Bureau central de Renseignement et d'Action ancĂȘtre de la trop fumeuse DGRE de l'homme de confiance du GĂ©nĂ©ral de Gaule l'Ex colonel Passy a donne lieu Ă  un retentissant scandale Le CSM dĂ©livrait de faux papiers de rĂ©sistance dont certains furent homologuĂ©s par des services officiels comme pour Monsieur Balestre Par la loi du 22 juillet 1943, le PrĂ©sident Laval, avec l'assentiment du Chef de l'Etat, Monsieur le MarĂ©chal PĂ©tain, a reconnu Ă  tous les français le droit de s'engager dans les formations de laWaffen SS Ă  l'Est, afin d'y prendre part aux combats pour l'existence et l'avenir de l'Europe. En vertu de cette loi, les volontaires pour la Waffen-SS jouissent du mĂȘme statut lĂ©gal que les membres de la le gouvernement français a ainsi montrĂ© qu'il apprĂ©ciait l'offre faite par le FĂŒhrer et qu'il est prĂȘt Ă  prendre sa part des devoirs que commandent des heures dĂ©cisives pour le sort de l'Europe. Il est Ă©vident que la constitution d'une unitĂ© de volontaires français au sein de la Waffen-SS reprĂ©sente un nouveau pas trĂšs important, dans l'union de la Jeunesse europĂ©enne contre le nihilisme bolcheviste. Le fait est que l'afflux des volontaires de presque tous les pays de l'Europe qui, cĂŽte Ă  cĂŽte avec leurs camarades allemands, se sont distinguĂ©s par leurs vaillance au front de l'Est, la SS, fondement essentiel du Parti National-Socialiste, qui n'avait, Ă  l'origine, qu'une valeur politique interne allemande, s'est transformĂ©e aujourd'hui en une communautĂ© indissoluble de la Jeunesse europĂ©enne luttant pour le maintien de ses valeurs culturelles et de sa civilisation. Que la Jeunesse française ait d'instinct compris la portĂ©e de ce nouveau pas, est dĂ©montrĂ© par le fait qu'en quelques jours et sans la moindre propagande, plus de volontaires se sont prĂ©sentĂ©s. Le premier bataillon existe et bientĂŽt le premier RĂ©giment SS français sera en mesure de faire la preuve de la permanence des hautes traditions militaires françaises et de l'esprit combatif de sa Jeunesse. La SS se fera un point d'honneur et considĂ©rera comme une tĂąche essentielle d'employer les qualitĂ©s militaires et la volontĂ© de combat de chaque Français disposĂ© Ă  engager sa vie dans la lutte pour l'existence et l'avenir de l'Europe, contre le bolchevisme pour la justice sociale, pour la victoire ! Photo prise Ă  l'Ersatzkommando Frankreich der Waffen-SS Ă  Paris. Plusieurs vĂ©tĂ©rans y travaillent comme Jean Balestre qui aurait fourni Ă  la rĂ©sistance, selon la rumeur, une longue liste comportant le nom et l'adresse des volontaires français. Curieusement il ne sera jamais inquiĂ©tĂ© Ă  la libĂ©ration malgrĂ© ses articles Ă©logieux au national-socialisme dans le journal "Devenir". Alphonse Godin est un ancien sous-officier de carriĂšre de l'armĂ©e française. Il combat en Pologne en 1920 dans les rangs de l'armĂ©e Weygand. Il obtient la barrette du ruban de l'ordre de la Pologne restaurĂ©e mais aussi le ruban de la mĂ©daille militaire. Ensuite il se tourne vers la Cagoule d'EugĂšne Deloncle et milite au MSR. Il s'engage dans la LVF puis devient recruteur Ă  la Waffen SS. Lui aussi travaille Ă  l'ErsatzkommandoFrankreich der Waffen-SS Conditions d'engagement A l'exception de juifs et de ceux qui ont encouru une condamnation infamante, tous les français, cĂ©libataires ou mariĂ©s, normalement dĂ©veloppĂ©s, aptes aux exigences d'une instruction militaire, peuvent s'engager Ă  la Waffen-SS - Age de 17 Ă  40 ans. Taille minima m Conditions d'avancement dans la Waffen-SS. Les volontaires simples soldats lors de leur engagement, qui prĂ©senteront les aptitudes requises, pourront ĂȘtre admis dans les Ă©coles de sous-officiers ou d'officiers de la Waffen SS. L'admission dans ces Ă©coles ne sera pas dĂ©terminĂ©es par les diplĂŽmes ou les titres universitaires des candidats mais seulement par les qualitĂ©s personnelles dont ils auront fait preuve et par leur aptitude au commandement sous l'uniforme allemand, Henri Fenet, un chef de bataillon, est mort en septembre 2002. Il avait reçu la croix de chevalier de la Croix de fer, dĂ©coration allemande portant la croix gammĂ©e, en avril 1945 sous l'heure d' division sera la derniĂšre a dĂ©fendre Hitler a Berlin Par la loi du 22 juillet 1943, le PrĂ©sident Laval avec l’assentiment du Chef de l’Etat, Monsieur le MarĂ©chal PĂ©tain, a reconnu Ă  tous les Français le droit de s’engager dans les formations de la Waffen-SS Ă  l’Est, afin d’y prendre part aux combats pour l’existence et l’avenir de l’Europe. En vertu de cette loi, les volontaires pour la Waffen-SS jouissent du mĂȘme statut lĂ©gal que les membres de la L. V. F. Le Gouvernement français a ainsi montrĂ© qu’il apprĂ©ciait l’offre faite par le FĂŒhrer et qu’il est prĂȘt Ă  prendre sa part des devoirs que commandent des heures dĂ©cisives pour le sort de l’Europe. Il est Ă©vident que la constitution d’une unitĂ© de volontaires français au sein de la Waffen-SS reprĂ©sente un nouveau pas trĂšs important dans l’union de la jeunesse europĂ©enne contre le nihilisme bolcheviste. Le fait est que par l’afflux des volontaires de presque tous les pays de l’Europe qui, cĂŽte Ă  cĂŽte avec leurs camarades allemands, se sont distinguĂ©s par leur vaillance au front de l’Est, la SS, fondement essentiel du Parti national-socialiste, qui n’avait, Ă  l’origine, qu’une valeur politique interne allemande, s’est transformĂ©e aujourd’hui en une communautĂ© indissoluble de la jeunesse europĂ©enne luttant pour le maintien de ses valeurs culturelles et de sa civilisation. Que la jeunesse française ait d’instinct compris la portĂ©e de ce nouveau pas est dĂ©montrĂ© par le fait que, en quelques jours et sans la moindre propagande, plus de quinze cents volontaires se sont prĂ©sentĂ©s. Les deux premiers bataillons existent, et bientĂŽt le premier rĂ©giment SS français sera en mesure de faire la preuve de la permanence des hautes traditions militaires françaises et de l’esprit combatif de sa jeunesse. La SS se fera un point d’honneur et considĂ©rera comme une tĂąche essentielle d’employer les qualitĂ©s militaires et la volontĂ© de combat de chaque Français disposĂ© Ă  engager sa vie dans la lutte pour l’existence et l’avenir de l’Europe, contre le bolchevisme, pour la justice sociale, pour la victoire Les Grandes Enigmes de l’Occupation ‟Les Waffen-SS français” Ed. de CrĂ©millĂ©, 1970. Par Jean MABIRE L'acte de naissance officiel d'une unitĂ© française de la Waffen-SS 1 date du 22 juillet 1943. Pierre LAVAL, chef du gouvernement, la mĂšche en bataille, l'Ă©ternel mĂ©got collĂ© sous la moustache, signa lui-mĂȘme cette loi, aprĂšs avoir entendu, pour la forme, le conseil de cabinet. Trois articles, d'une sĂ©cheresse tout administrative ARTICLE PREMIER. - Les Français peuvent contracter un engagement volontaire pour combattre le bolchevisme hors du territoire dans les formations constituĂ©es par le gouvernement allemand Waffen-SS, pour y ĂȘtre groupĂ©s dans une unitĂ© française. ARTICLE II. - Ceux qui, appartenant Ă  cette unitĂ©, combattront effectivement hors du territoire bĂ©nĂ©ficieront des avantages prĂ©vus par les lois et rĂšglements relatifs Ă  la LĂ©gion des volontaires français2 contre le bolchevisme. ARTICLE III. - Le prĂ©sent dĂ©cret sera publiĂ© au Journal officiel et exĂ©cutĂ© comme loi de l'Etat. Quelques jours plus tard, c'est Ă  Paris, et non plus Ă  Vichy, que fut tirĂ©e, au cours d'une confĂ©rence de presse, la morale » de cette dĂ©cision Le gouvernement français a ainsi montrĂ© qu'il apprĂ©ciait l'offre faite par le FĂŒhrer et qu'il est prĂȘt Ă  prendre sa part des devoirs que commandent des heures dĂ©cisives pour le sort de l'Europe. » Ce n'Ă©tait certes pas de gaietĂ© de cƓur que les dirigeants officiels de l'Etat cautionnaient l'engagement de jeunes Français dans cette force de frappe militaire du mouvement national-socialiste la Waffen-SS. On ne peut s'empĂȘcher ici de penser Ă  un mot du poĂšte Jean COCTEAU Puisque ces Ă©vĂ©nements nous dĂ©passent, feignons d'en ĂȘtre les organisateurs... » PrĂšs de quarante mille Français volontaires dans les armĂ©es de Hitler En effet, depuis le dĂ©but de la guerre Ă  l'Est, d'assez nombreux jeunes Français s'Ă©taient engagĂ©s dans les armĂ©es du IIIe Reich. Le tempĂ©rament individualiste des Français et la minutie organisatrice des Allemands les avaient regroupĂ©s en unitĂ©s homogĂšnes ou, au contraire, dispersĂ©s dans de multiples formations. Trente ans plus tard, il est bien difficile de donner un chiffre d'ensemble, qui apparaĂźt de l'ordre de trente mille Ă  quarante mille hommes, pour les seules forces combattantes sur le front de la guerre rĂ©guliĂšre, hors du territoire français. Les premiers furent, dĂšs l'Ă©tĂ© 1941, ceux de la Wehrmacht, oĂč ils formaient le rĂ©giment 638, plus connu sous le nom de LVF, et qui vit passer plus de six mille hommes. Le gouvernement de Vichy tenta par la suite une opĂ©ration de rĂ©cupĂ©ration de cette unitĂ©, qui porta un temps le nom de LĂ©gion tricolore et dont certains cadres rejoignirent la Phalange africaine combattant, avec l’Afrika-Korps, sur le front de Tunisie. Des Français, parfois dĂ©serteurs de la LVF, s'engagĂšrent Ă  titre individuel dans diffĂ©rentes divisions de la Wehrmacht qui remontaient vers le front et acceptaient de les prendre en charge, souvent Ă  titre temporaire, notamment Ă  la Gross-Deutschland. On estime Ă  environ cinq mille le nombre des Français qui servirent dans les Schutz-Kommandos3 de l'Organisation Todt, oĂč ils encadraient des travailleurs recrutĂ©s bon grĂ© mal grĂ©, dans toute l'Europe, pour construire le Mur de l'Atlantique ». D'autres avaient prĂ©fĂ©rĂ©, dans cette mĂȘme Organisation Todt, la brigade Speer, qui avait des tĂąches plus militaires qu'architecturales. La Kriegsmarine tenta de deux mille Ă  trois mille Français. Ils subirent leur entraĂźnement militaire et leur endoctrinement politique... en Alsace, puis furent rĂ©partis par petits groupes, dĂ©passant rarement une demidouzaine de volontaires, Ă  bord de vedettes lance-torpilles, de dragueurs de mines et mĂȘme, pour quelques rares spĂ©cialistes, de sous-marins. Quant Ă  la Brandenburg, troupe opĂ©rationnelle des services secrets de l'Abwehr dont les tĂąches peuvent s'apparenter Ă  celles du bataillon de choc de l'armĂ©e française, elle passa de l'effectif d'un bataillon au dĂ©but de la guerre Ă  celui d'une division. On y trouvait de nombreux Ă©lĂ©ments Ă©trangers, dont, bien entendu des Français. Il y eut, au fur et Ă  mesure que de nouvelles unitĂ©s du IIIe Reich recrutaient des volontaires Ă©trangers, des Français partout conducteurs, tĂ©lĂ©phonistes, artilleurs de batteries cĂŽtiĂšres ou de batteries antiaĂ©riennes parmi ces derniers, on compta mĂȘme un certain nombre de jeunes filles françaises, puisque, Ă  la fin de la guerre, mĂȘme des femmes servirent dans la Flak4 pour essayer d'enrayer les raids, de plus en plus nombreux, contre les villes europĂ©ennes. On trouva des infirmiĂšres françaises dans les hĂŽpitaux militaires allemands et, au fin fond de l'Europe en guerre, on pouvait rencontrer quelques mariniers français qui avaient quittĂ© leurs pĂ©niches pour servir sur des remorqueurs armĂ©s, naviguant sur le Danube... Au mois de juillet 1942, un an aprĂšs la crĂ©ation de la LVF, un contingent d'environ deux mille Français s'engagea dans la Luftwaffe, oĂč ils furent regroupĂ©s au sein d'une formation de la NSKK5 . Certains d'entre eux devaient jouer un rĂŽle dĂ©terminant dans la crĂ©ation d'une unitĂ© française de la Waffen-SS. En effet, la NSKK constituait, comme la SS, une formation politique allemande devenue, avec la guerre, une unitĂ© militaire internationale. Créée en 1931 par Adolf HÜHNLEIN, cette troupe avait pour rĂŽle, dans les annĂ©es qui prĂ©cĂ©dĂšrent la prise du pouvoir par les nationaux-socialistes, de transporter les militants du parti et spĂ©cialement les hommes des sections d'assaut. A la fois train des Ă©quipages et unitĂ© de choc quand le besoin s'en faisait sentir, la NSKK Ă©tait, avec la SA6 et la SS, une des formations paramilitaires essentielles du mouvement nazi. La guerre devait faire de ces prĂ©toriens » des soldats. Mais ils restaient des soldats politiques, liĂ©s davantage au parti qu'Ă  l'armĂ©e. PlutĂŽt que de s'engager Ă  la LVF, qui vivait, sur le front de l'est, l'antagonisme de l'esprit cocardier français et du rigide militarisme prussien, de jeunes Français avaient prĂ©fĂ©rĂ© la NSKK, armĂ©e politique et unitĂ© internationale. Ils partirent Ă  l'entraĂźnement au camp de Schotten, prĂšs d'Anvers. Deux compagnies françaises furent engagĂ©es par la suite en Russie, trois en Italie et deux en Hongrie. Au mois de juillet 1943, une trentaine de volontaires, qui se trouvaient Ă  l'entraĂźnement, dĂ©sertĂšrent et vinrent se prĂ©senter au bureau de recrutement de la Waffen-SS d'Anvers, pour s'y faire engager. Depuis quelques mois, des Français avaient dĂ©jĂ  rĂ©ussi Ă  entrer dans la Waffen-SS, mais Ă  titre individuel. Il y en eut ainsi dans des formations purement allemandes comme le rĂ©giment Der FĂŒhrer ou la division Totenkopf. D'autres rejoignirent des unitĂ©s Ă  recrutement national, telle la brigade Wallonie. Par la suite, d'autres Français entrĂšrent dans le rĂ©giment Kurt EGGERS, unitĂ© des correspondants de guerre de la Waffen-SS. Un de ces journalistes sera tuĂ© sur le front de Normandie ; un autre recevra la croix de fer de premiĂšre classe, pour avoir pris spontanĂ©ment la tĂȘte d'une formation antichar et dĂ©truit plusieurs blindĂ©s soviĂ©tiques il effectuait un reportage dans le secteur de la Baltique quand survint une percĂ©e russe et il rĂ©agit en artilleur plus qu'en Ă©crivain... Origines de la Waffen-SS » Le dĂ©cret du 22 juillet 1943 ne faisait donc qu'officialiser un processus inĂ©vitable et tentait de regrouper les Français fascinĂ©s par le redoutable creuset que leur proposait la Waffen-SS. En cette annĂ©e 1943, la SS, Etat dans l'Etat, et dans une certaine mesure nation au-dessus des nations, incarnait le mythe de l'Europe combattante d'Adolf HITLER. Son organisation politique et guerriĂšre, la Waffen-SS, Ă©clipsait, par la magie de la propagande, le souvenir de la Wehrmacht, nationaliste et traditionnelle, des premiĂšres annĂ©es quarante. La Waffen-SS n'Ă©tait plus, Ă  en croire ses recruteurs, une force uniquement allemande. Elle se disait et se voulait internationale. Tous les murs du continent se couvraient d'une mĂȘme affiche, oĂč dĂ©filaient des soldats armĂ©s et casquĂ©s, portant au col les deux lettres runiques. La lĂ©gende proclamait, en des langues diffĂ©rentes selon les pays de recrutement AVEC TES CAMARADES EUROPEENS SOUS LE SIGNE SS TU VAINCRAS ! Plus d'un million d'hommes furent ainsi appelĂ©s Ă  vivre une aventure politique et guerriĂšre qui n'avait pas eu d'Ă©quivalent dans l'histoire - si ce n'est lors de la premiĂšre campagne de Russie, lorsque NAPOLEON avait IncorporĂ©, dans le cadre de sa Grande ArmĂ©e, pour prĂšs de la moitiĂ©, des combattants Ă©trangers, venus de la plupart des pays d'Europe. Mais, cette fois, on proposait aux volontaires de rejoindre la garde impĂ©riale ellemĂȘme. Dans les premiĂšres annĂ©es du mouvement national-socialiste, quelques militants issus de la SA avaient prĂȘtĂ© un serment personnel Ă  Adolf HITLER et prirent le nom de Stabwache7 . L'unitĂ© deviendra ensuite la Stosstruppe8 Adolf HITLER. A sa sortie de prison, aprĂšs l'Ă©chec du coup d'Etat de Munich de 1923, le FĂŒhrer dĂ©cida, parallĂšlement Ă  l'action politique, de dĂ©velopper deux organisations paramilitaires la SA, troupe de masse, et la SS, unitĂ© d'Ă©lite. Je me disais Ă  l'Ă©poque, Ă©crira-t-il, que j'avais besoin d'une troupe de gardes du corps ; elle pouvait ĂȘtre peu nombreuse, mais il fallait qu'elle me fĂ»t entiĂšrement dĂ©vouĂ©e. Mieux vaut n'avoir dans une ville que vingt hommes Ă  soi sur lesquels on puisse compter absolument que d'avoir la confiance de la masse versatile. Le 21 septembre 1925, chaque section du parti national-socialiste reçut l'ordre de crĂ©er une Schutzstaffel. Les premiers SS n'Ă©taient pas plus de dix dans chaque ville seul Berlin en possĂ©dait vingt. Ils portaient alors la chemise brune, comme les SA, mais arboraient, sur une casquette noire, la tĂȘte de mort des vieux rĂ©giments de hussards impĂ©riaux. En 1926, les SS reçurent la garde du drapeau du sang », celui des nazis tuĂ©s le 9 novembre 1923, lors du putsch avortĂ© de Munich. En butte aux coups des adversaires et au mĂ©pris de la SA - la vieille jalousie entre les troupes de ligne et la garde - la SS adopta pour premiĂšre devise Noblesse se tait. Elle ne comprenait encore que deux cent quatre-vingts hommes, quand, le 6 janvier 1929, Adolf HITLER plaça Ă  sa tĂȘte un garçon de vingt-huit ans, qui voulait devenir officier, puis ingĂ©nieur agronome. C'Ă©tait lui qui portait la banniĂšre du mouvement nationaliste, la Reichskriegflagge, lors du putsch de Munich. Il se nommait Heinrich HIMMLER. Au dĂ©but de 1930, les SS comptaient deux mille hommes, qui devinrent cinquante-deux mille lors de la prise du pouvoir et deux cent cinquante mille Ă  la veille de la guerre. Tandis que se dĂ©veloppait l'Allgemeine-SS, ou SS gĂ©nĂ©rale, se constituaient d'autres branches, de l'organisation. DĂšs 1931, deux ans avant la prise du pouvoir, Himmler avait créé le SD9 , service officiel de renseignement du parti national-socialiste. En 1936, HIMMLER devint le chef de la police allemande et reçut le titre de ReichfĂŒhrer SS. DĂšs la prise du pouvoir, la SS-Stabwache, sous la direction de Sepp DIETRICH, forma la garde personnelle d'Adolf Hitler, pour prendre, peu aprĂšs, le nom de Leibstandarte Adolf HITLER et devenir le noyau de la premiĂšre division de la Waffen-SS. Lors du rĂ©tablissement du service militaire obligatoire, en 1935, il fut créé des unitĂ©s permanentes les SS-VerfĂŒgungstruppe10 VT, qui furent entraĂźnĂ©es au combat aussi bien, et mĂȘme souvent mieux, que des unitĂ©s militaires. Il y eut ainsi deux rĂ©giments de VT. Ils servirent de noyau Ă  la deuxiĂšme division de la Waffen-SS, la division bas Reich. Par ailleurs, il existait des formations de SS encasernĂ©es les SS-TotenkopfverbĂ€nde, chargĂ©es de la garde des prisonniers du rĂ©gime, qui comprenaient quatre rĂ©giments en 1938 et douze en 1939, et contribuĂšrent Ă  la formation de la troisiĂšme division de la Waffen-SS, la division Totenkopf11 . HIMMLER tenait Ă  ce que les hommes de la SS, choisis selon des critĂšres physiques et moraux draconiens, ne soient pas des planquĂ©s » dans un conflit futur, mais deviennent les meilleurs soldats du front. De cette idĂ©e naquit la Waffen-SS. A la fin de la campagne de Pologne, il existait dĂ©jĂ  quatre divisions de la Waffen-SS dont une division de police. DĂšs le printemps 1940 se constitua le noyau d'une cinquiĂšme unitĂ©, la division Wiking. Son originalitĂ© Ă©tait d'admettre dans ses rangs des volontaires germaniques » Danois, NorvĂ©giens, Hollandais ou Flamands. Le moins qu'on puisse dire est que la Wehrmacht traditionnelle ne voyait pas d'un bon Ɠil la constitution de troupes d'Ă©lite Ă©chappant totalement Ă  son contrĂŽle. Si la valeur militaire des SS apparaissait incontestable, leur fanatisme politique, leur recrutement international et leur rĂ©putation impitoyable ne pouvaient qu'inquiĂ©ter les militaires allemands classiques». Aussi le GruppenfĂčhrer1 Gottlob BERGER, bras droit de HIMMLER pour tout ce qui concernait la WaffenSS et ses problĂšmes de personnel, eut-il un certain mal Ă  recruter des hommes en Allemagne mĂȘme. La Wehrmacht ne tolĂ©rait guĂšre l'Ă©crĂ©mage de son recrutement. C'est ainsi que, par la force des choses, qui compte autant parfois que l'idĂ©ologie, les Waffen-SS formĂšrent leurs divisions avec de jeunes Allemands rĂ©sidant hors des frontiĂšres du Reich les Volksdeutsche et de jeunes Ă©trangers sĂ©duits par le national-socialisme. Deux cent mille non-Allemands dans la Waffen-SS » Finalement la Waffen-SS compta dans ses rangs, au cours de la guerre, quatre cent mille Allemands natifs, trois cent mille Volksdeutsche dont de nombreux Alsaciens, cinquante mille Germaniques» et au moins deux cent mille EuropĂ©ens. Plus de trois cent mille hommes de la Waffen-SS devaient trouver la mort au combat. La politique d'intĂ©gration totale d'Ă©lĂ©ments non germaniques » dans la Waffen-SS posait un certain nombre de problĂšmes, notamment sur le plan linguistique, et aussi psychologique, par rapport aux gouvernements ou aux partis politiques des diffĂ©rentes nations europĂ©ennes. Si on continua Ă  encourager les engagements individuels, certains chefs estimĂšrent nĂ©cessaire d'opĂ©rer un regroupement par nationalitĂ©. Le dĂ©but de la guerre Ă  l'est, en juin 1941, donna un nouveau coup de fouet au recrutement l'idĂ©e de la lutte commune contre le bolchĂ©visme vint prendre la relĂšve de l'idĂ©e raciale germanique. Ainsi naquirent des rĂ©giments, des brigades et mĂȘme des divisions nationaux ». Le chef du Germanische Leitstelle13 de la Waffen-SS, l’ObersturmbannfĂ»hrer RIEDWEG, un chirurgien militaire d'origine suisse, fit beaucoup pour cette europĂ©anisation », rompant pour cela quelques lances avec les tenants du pangermanisme classique. Au moment oĂč les Français furent autorisĂ©s officiellement Ă  former une unitĂ© de la Waffen-SS, on y comptait dĂ©jĂ  des formations nationales » de Danois, de NorvĂ©giens, de Hollandais, de Flamands, de Finlandais, de Croates, d'Ukrainiens, de Bosniaques, de Lettons, d'Estoniens et de Wallons. Les originaires des pays neutres, Suisses ou SuĂ©dois, se trouvaient rĂ©partis selon leurs affinitĂ©s, tandis que des Luxembourgeois, des TchĂšques, des Lituaniens ou des Polonais avaient Ă©tĂ© enrĂŽlĂ©s dans des unitĂ©s allemandes ou multinationales. AprĂšs les Français devaient ĂȘtre formĂ©es d'autres unitĂ©s nationales avec les Albanais, les SlovĂšnes, les Hongrois, les RuthĂšnes, les Italiens, les Serbes, les Cosaques, les Roumains, les Bulgares, les Tyroliens, les Grecs et surtout les Russes. Il y eut mĂȘme un dĂ©tachement de Britanniques. Quant aux Espagnols auxquels se joignirent un certain nombre de Portugais, ils restĂšrent dans la Wehrmacht, oĂč ils formaient la division Azul. Dans les derniers mois de la guerre, on vit naĂźtre des formations caucasiennes, asiatiques, arabes et indiennes. Plus de trente nations fournirent ainsi des contingents de volontaires. En juillet 1943, l'idĂ©e de la Waffen-SS connaissait son apogĂ©e. Ce n'Ă©tait plus la troupe victorieuse de la guerre Ă©clair, mais pas encore la poignĂ©e des fanatiques du dernier carrĂ©. On venait de former une nouvelle division de la Waffen-SS, la division Hitlerjugend15 avec dix mille volontaires, ĂągĂ©s de dix-sept ou mĂȘme de seize ans. CommandĂ©e par un StandartenfĂŒhrer16 de trente-cinq ans, Fritz WITT, qui sera tuĂ© au combat le 12 juin 1944, prĂšs de Caen, cette unitĂ© de benjamins montrait que l'Allemagne Ă©tait dĂ©cidĂ©e Ă  exiger de sa propre jeunesse les plus grands sacrifices. Les divisions de la Waffen-SS se battaient trĂšs durement sur tous les fronts et jouaient une partie que l'on devinait dĂ©cisive. La situation Ă©tait sĂ©rieuse pour le IIIe Reich. Lorsque de jeunes Français s'engagĂšrent alors dans la Waffen-SS, ce n'Ă©tait certes pas pour voler au secours de la victoire. Le 10 juillet 1943, les AlliĂ©s avaient dĂ©barquĂ© en Sicile et, le 24, Benito MUSSOLINI avait Ă©tĂ© dĂ©missionnĂ© » par le Grand Conseil fasciste. Il se trouvait prisonnier et il semblait que l'Italie allait changer de camp. Rome avait tentĂ© de se soulever contre les Allemands. Sur le front de l'est, la plus grande bataille de chars de la guerre, engagĂ©e le 5 juillet dans la rĂ©gion de Koursk, tournait Ă  la dĂ©faite en une dizaine de jours ; pour les Allemands, c'Ă©tait un dĂ©sastre peut-ĂȘtre plus grave que Stalingrad. La retraite commençait devant le rouleau compresseur » de l'armĂ©e rouge. En aoĂ»t, Orel, Bielgorod et Kharkov devaient ĂȘtre repris par les Russes. La guerre aĂ©rienne contre les Anglo-amĂ©ricains Ă©tait perdue. La guerre sous-marine dans l'Atlantique se rĂ©vĂ©lait un autre Ă©chec. Les Italiens capitulaient le 8 septembre, mais, quatre jours plus tard, MUSSOLINI, gardĂ© prisonnier dans un hĂŽtel perdu en pleine montagne, dans les Abruzzes, Ă©tait dĂ©livrĂ© par un commando parachutiste dirigĂ© par un officier de la Waffen-SS Otto SKORZENY. Plus que jamais, l'arme Ă  laquelle SKORZENY appartenait Ă©tait l'arme des hommes dĂ©cidĂ©s Ă  se battre jusqu'au bout. 8 JUILLET 1941 AprĂšs l'invasion de la Russie par la Wehrmacht, le MarĂ©chal PĂ©tain autorise la crĂ©ation en France, sur la demande de plusieurs partis d'extrĂȘme-droite notamment du Rassemblement National Populaire de Marcel DĂ©at et du Parti Populaire Français de Jacques Doriot, de la LĂ©gion des Volontaires Français contre le Bolchevisme» Cette unitĂ© sous commandement allemand avec encadrement français porte la tenue vert de gris, les bottes et le casque allemand et un Ă©cusson bleu blanc rouge sur le bras. C'est une association, loi de 1901. La raison principale est que la France n'a pas dĂ©clarĂ© la guerre Ă  l' Par consĂ©quent les membres de la qui seraient pris par les soviĂ©tiques seraient considĂ©rĂ©s comme des francs-tireurs et pas comme des prisonniers de guerre et pourraient ainsi ĂȘtre fusillĂ©s sans la protection des conventions de GenĂšve. Elle recrute, entr'autre, parmi les anticommunistes, les chĂŽmeurs, les anciens militaires et aussi des aventuriers ou des membres de divers mouvements politiques français d'extrĂȘme-droite Francisme de Bucard, Ligue Française de Costantini, Parti Populaire Français de Doriot et Rassemblement National Populaire de DĂ©at. EugĂšne Deloncle ancien Camelot du Roi, leader de la Cagoule fondĂ©e le 6 fĂ©vrier 34, en est le premier PrĂ©sident. L'Ă©tat-major siĂ©gera au 12 rue Auber dans les anciens locaux de l'Intourist soviĂ©tique. 21 AOÛT 1941 Les premiers volontaires sont dirigĂ©s sur trois bataillons regroupĂ©s dans la caserne BORGNIS-DESBORDES Ă  Versailles. Les Ă©changes postaux de cette courte pĂ©riode sont ceux de la poste civile, avec dans la caserne de recrutement, un vaguemestre. Les plis postĂ©s Ă  la caserne bĂ©nĂ©ficieront de la Franchise Postale Ă  partir du 13 septembre. Photo prise Ă  l'Ersatzkommando Frankreich der Waffen-SS Ă  Paris. Plusieurs vĂ©tĂ©rans y travaillent comme Jean Balestre qui aurait fourni Ă  la rĂ©sistance, selon la rumeur, une longue liste comportant le nom et l'adresse des volontaires français. Curieusement il ne sera jamais inquiĂ©tĂ© Ă  la libĂ©ration malgrĂ© ses articles Ă©logieux au national-socialisme dans le journal "Devenir". Alphonse Godin est un ancien sous-officier de carriĂšre de l'armĂ©e française. Il combat en Pologne en 1920 dans les rangs de l'armĂ©e Weygand. Il obtient la barrette du ruban de l'ordre de la Pologne restaurĂ©e mais aussi le ruban de la mĂ©daille militaire. Ensuite il se tourne vers la Cagoule d'EugĂšne Deloncle et milite au MSR. Il s'engage dans la LVF puis devient recruteur Ă  la Waffen SS. Lui aussi travaille Ă  l'ErsatzkommandoFrankreich der Waffen-SS Conditions d'engagement A l'exception de juifs et de ceux qui ont encouru une condamnation infamante, tous les français, cĂ©libataires ou mariĂ©s, normalement dĂ©veloppĂ©s, aptes aux exigences d'une instruction militaire, peuvent s'engager Ă  la Waffen-SS - Age de 17 Ă  40 ans. Taille minima m Conditions d'avancement dans la Waffen-SS. Les volontaires simples soldats lors de leur engagement, qui prĂ©senteront les aptitudes requises, pourront ĂȘtre admis dans les Ă©coles de sous-officiers ou d'officiers de la Waffen SS. L'admission dans ces Ă©coles ne sera pas dĂ©terminĂ©es par les diplĂŽmes ou les titres universitaires des candidats mais seulement par les qualitĂ©s personnelles dont ils auront fait preuve et par leur aptitude au commandement. CONDITIONS MATÉRIELLES - I. SOLDE. - La solde est payĂ©e directement Ă  chaque volontaire, conformĂ©ment au barĂšme ci-dessous Francs SS-Mann et Sturmmann - soldat................... 600. » Rottenfubrer Unterscharfuhrer Scharfuhrer Oberscharft~hrer Hauptscharfuhrer Sturmscharfuhrer Untersturmfiihrer Obersturmfuhrer Hauptsturrnfuhrer Sturmbannfuhrer - caporal.................. - sergent.................. - sergent de carriĂšre



.. - sergent-chef











. - adjudant













... - adjudant-chef 








.. - sous-lieutenant





... - lieutenant







...... - capitaine













. - commandant






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.. 720. » 840. » 900. » » » » » » » » En outre tous les volontaires, quel que soit leur grade, reçoivent un supplĂ©ment de Frs 20. par jour tant qu’ils se trouvent en premiĂšre ligne. Tous les officiers reçoivent une indemnitĂ© mensuelle d’habillement de Frs 600. ». SOUTIEN FAMILIAL. — A. Soutien de la femme. L’allocation est basĂ©e sur le revenu net antĂ©rieur du volontaire, suivant une Ă©chelle dĂ©gressive, Ă  savoir jusqu’à Frs » l’allocation s’élĂšve Ă  Frs » » - » » - » » - » » - » 7000. » - 3600. » » - » - » - » - » - » au-delĂ  de - » B. IndemnitĂ© aux enfants. — Outre l’allocation Ă  la femme, il sera allouĂ© pour chaque enfant de moins de I6 ans a demeurant avec la femme ou les parents du volontaire Frs 400. » b ne demeurant pas avec la femme ou les parents du volontaire Frs 600. » C. IndemnitĂ© aux parents. — Il est accordĂ© au pĂšre ou Ă  la mĂšre du volontaire une allocation spĂ©ciale dans le cas oĂč celui-ci intervenait pour au moins un quart dans le revenu de la famille. L’allocation est calculĂ©e suivant le barĂšme ci~dessous I parent francs 2 parents francs Pour une aide de Frs 700. » au moins 700. » - 701. » Ă  » » - » Ă  » » - plus de » » Il est admis que l’aide apportĂ©e par le volontaire ne saurait dĂ©passer les deux tiers de son propre revenu, un tiers Ă©tant considĂ©rĂ© comme nĂ©cessaire Ă  ses propres besoins. En outre, il est accordĂ© pour chaque frĂšre ou sƓur de moins de I6 ans une allocation de Frs 200. ». D. IndemnitĂ© de loyer. — En supplĂ©ment Ă  l’allocation prĂ©vue ci-dessus au § II A et B il est versĂ© une indemnitĂ© Ă©gale au loyer effectivement payĂ© par la femme du volontaire. Si le volontaire ou sa femme sont propriĂ©taires d’une habitation, il est allouĂ© une indemnitĂ© basĂ©e sur la valeur locative de l’habitation. II n’est pas allouĂ© d’indemnitĂ© de loyer aux parents du volontaire § II C. III. ALLOCATiON AUX CELIBATAIRES Les volontaires cĂ©libataires n’ayant ni enfants ni parents Ă  soutenir reçoivent une allocation suivant le barĂšme ci-dessous. Cette allocation est versĂ©e directement mais crĂ©ditĂ©e Ă  leur compte. Il leur est loisible de faire venir en France des sommes Ă  valoir sur ce compte. francs francs SS Mann et Sturmmann. » HauptscharfĂŒhrer...... » RottenfĂ»hrer......... » SturmscharfĂŒhrer...... » Unterscharfuhrer..... » UntersturmfĂŒhrer...... » Scharfubrer.......... » ObersturmfĂŒhrer....... » Oberscharftjhrer..... » HauptsturmfĂŒhrer...... » SturmbannfĂŒhrer



 » IV. PENSIONS En ce qui concerne les pensions d’invaliditĂ© et les pensions aux ayantsdroit des volontaires disparus, le rĂ©gime est identique Ă  celui de tous les membres de l’armĂ©e allemande. Il est notoire que celui-ci garantit aux invalides des conditions trĂšs libĂ©rales. V. La fixation et le rĂšglement des diffĂ©rentes allocations familiales sont effectuĂ©s par le FĂŒrsorgeoffizier der Waffen-SS, qui examinera tous les cas spĂ©ciaux non prĂ©vus dans l’exposĂ© ci-dessus. Le FĂŒrsorgeoffizier est Ă©galement compĂ©tent pour assurer la dĂ©fense des droits des volontaires ou de leur famille sous tous les points de vue. Voici trois frĂšres, trois volontaires nĂ©erlandais de la Waffen-SS Suis leur exemple, n’attends pas plus longtemps, prĂ©sente-toi dĂšs aujourd’hui. A PARIS, Ă  l’Ersatzkommando Frankreich der Waffen-SS, 24, avenue Recteur-PoincarĂ© mĂ©tro Ranelagh ; en PROVINCE, Ă  la Police allemande Kommando der Ordnungspolizei au siĂšge des PrĂ©fectures rĂ©gionales adresses ci-dessous ; en Allemagne Ă  l’ErgĂ€nzungstelle der Waffen-SS la plus proche. LISTE DES KOMMANDOS PARIS




















 Erzatzkommando Frankreich der Waffen-SS. 24, Avenue Recteur-PoincarĂ©. 28, Rue Lu BoĂ©tie. RENNES I-et-V.









. Kommando der Ordnungspolizei. 8. Boulevard Volney. MARSEILLE Kommando der Ordnungspolizei. 4. Boulevard Rivet. LIMOGES Hte-Vienne





. Kommando der Ordnungspolizei. 15. Rue Montalembert. BRIVE CorrĂšze







... Kommando der Ordnungspolizei. 11, Rue de l’HĂŽtel-de-Ville POITIERS Vienne.......... Kommando der Ordnungspolizei, 12. Avenue de Bordeaux. SAINT-QUENTIN Aisne



. Kommando der Ordnungspolizei, 2. Rue Charles-Picard. ROUEN Seine-Inf.......... Kommando der Ordnungspolizei. 53. rue de Reims. Rue Alain-Blanchard. ANGERS Maine-et-Loire


. Kommando der Ordnungspolizei, 19. Rue de la PrĂ©fecture. 40 Rue Saint-Julien. DIJON CĂŽte-d’Or






.. Kommando der Ordnungspolizei. 13, Cours du Parc. HĂŽtel Morot. 3 bis, Avenue du MarĂ©chal-Foch. GRENOBLE IsĂšre........... Kommando der Ordnungspolizei. HĂŽtel de Savoie. BORDEAUX Gironde......... Kommando der Ordnungspolizei, 328, Av. du MarĂ©chal-PĂ©tajn, Le Bouscat. 25, AllĂ©es de Tourny. CHALONS-SUR-MARNE Marne
. Kommando der Ordnungspolizei, 57, AllĂ©e Paul-Doumer, 16, AllĂ©e Paul-Doumer ORLEANS Loiret





 
. Kommando der Ordnungspolizei. 31, Rue Jules-LemaĂźtre. 9, Rue du Grenier-Ă -SeL CLERMONT-FERRAND Kommando der Ordnungspolizei. 63, Avenue du MarĂ©chal-PĂ©tain,. PERIGUEUX Dordogne....... Kommando der Ordnungspolizei. HĂŽtel RĂ©gina. MONTPELLIER HĂ©rault...
.. Kommando der Ordnungspolizei 25, Avenue Bouisson-Bertrand. TOULOUSE Haute-Garonne

. Kommando der Ordnungspolizei. 1, Rue Boulingrin. BESANÇON Doubs........... Kommando der Ordnungspolizei Promenade de Chamars. NANCY Meurthe-et-Moselle
 Kommando der Ordnungspolizei. 31, Boulevard Aibert-Ier.
RMENH432 – RECRUTEMENT DE WAFFEN SS 2Ăšme Guerre mondiale 1943 affiche de recrutement de propagande de langue française «sous les SS europĂ©ens, vous gagnez» pour l'armĂ©e militaire allemande SS seconde Guerre mondiale ï»żTaille et bordure Largeur motif, cm Hauteur motif, cm Cadre photo Moyen et brancard Verre et Passepartout verre y compris le panneau arriĂšre Divers & Extras Enregistrer / comparer la configuration RĂ©sumĂ© GemĂ€ldeVeredelungKeilrahmenMuseumslizenz inkl. 20% MwSt dans le panier ExpĂ©dition dans le monde entier Produktionszeit 2-4 Werktage BildschĂ€rfe PERFEKT Sousl’Occupation, il a participĂ© Ă  la fondation de la Jeunesse nationale mais a refusĂ© de s’engager, contre la pression de son oncle, dans la Waffen-SS. Le 14 aoĂ»t 1944, il entre mĂȘme Ă  l’état‐major des Forces françaises de l’intĂ©rieur (FFI) et se bat sous les ordres du colonel Lize qu’il a connu sous l’Occupation. Jusqu’en juin 1945, Gastaut sert dans les services Carte mentaleÉlargissez votre recherche dans Universalis Occupation et collaborationsLa France occupĂ©e est sous l'administration militaire du MilitĂ€rbefehlshaber in Frankreich DĂ©pendant de l'Ă©tat-major de la Wehrmacht il contrĂŽle le rĂ©seau des Feldkommandanturen, soit 24 000 Ă  30 000 hommes, en plus des troupes d'opĂ©ration dont les effectifs fluctuent, selon les pĂ©riodes, entre 100 000 hommes au dĂ©but de l'occupation Ă  peut-ĂȘtre un million en 1944. Le doit composer avec d'autres services, qui reflĂštent la polycratie nazie et ses rivalitĂ©s. La commission d'armistice de Wiesbaden, sa branche Ă©conomique et ses bureaux d'achats partagent le contrĂŽle des ressources françaises avec de multiples organismes, dont l'organisation Todt qui dĂ©pend du ministĂšre de l'Armement, et, de plus en plus, l'administration de Fritz Sauckel, chargĂ©e du recrutement de travailleurs pour l'Allemagne. Le pillage des Ɠuvres d'art relĂšve d'Hermann Goering, la pĂ©nĂ©tration des industries culturelles notamment le cinĂ©ma de Joseph Goebbels dont les services la Propaganda Staffel cherchent Ă  Ă©touffer la culture française plus de deux mille livres interdits, alors que l'ambassadeur, Otto Abetz, ancien prĂ©sident du ComitĂ© France-Allemagne, fort de ses liens avec les intellectuels, veut la mettre au service de la collaboration. Abetz, sur lequel Laval s'appuie, reste trĂšs influent jusqu'au printemps de 1942. On assiste alors Ă  la montĂ©e en puissance de la SS et de son bras policier, la Sipo-SD Sicherheitspolizei-Sicherheitsdienst ou police de sĂ©curitĂ©, dont l'un des services, la Gestapo le service IV, devient, pour les Français, le synonyme de la » rĂ©pression allemande. Le s'est d'abord engagĂ© dans des exĂ©cutions massives d'otages, surtout communistes, Ă  l'automne de 1941 98 fusillĂ©s en octobre, dont 27 Ă  ChĂąteaubriant, aprĂšs les attentats de Bordeaux et Nantes, avant de leur prĂ©fĂ©rer d'autres formes de rĂ©pression. Mais, en dĂ©pit de la sĂ©vĂ©ritĂ© de ses tribunaux et bien que les dĂ©portations aient commencĂ© pour les opposants Ă  l'occupation nazie et les ennemis du Reich dĂ©cret Nuit et brouillard », 7 dĂ©cembre 1941, il est trouvĂ© trop peu efficace par Hitler. La SS joue dĂšs lors un rĂŽle dĂ©terminant dans la lutte contre la RĂ©sistance, comme dans la mise en place de la solution finale ». À la suite de la confĂ©rence de Wannsee 20 janvier 1942, les dĂ©portations ont Ă©tĂ© Ă©tendues aux internĂ©s juifs un millier de dĂ©parts en mars et juin 1942, mais elles prennent une autre portĂ©e avec la signature des accords du 2 juillet entre Karl Oberg, chef de la SS en France, et RenĂ© Bousquet, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral au maintien de l'ordre, reprĂ©sentant Laval, qui permettent la rafle de trente mille juifs Ă©trangers par la police française, le 16 juillet, Ă  Paris rafle du VĂ©l' d'Hiv' » et la livraison » de ceux de zone Sud en service allemand possĂšde sa clientĂšle collaborationniste. Celle-ci est composĂ©e de rĂ©volutionnaires » d'extrĂȘme droite, que l'on trouve dans des groupuscules comme le Parti franciste de Marcel Bucard ou au Parti populaire français ou de militants issus de la gauche pacifiste ou fascinĂ©s par le socialisme » nazi, comme Marcel DĂ©at ou l'Ă©quipe du journal La France socialiste. Tous militent pour l'alignement, idĂ©ologique et militaire, sur le vainqueur afin de rĂ©gĂ©nĂ©rer le pays. Ce collaborationnisme, dont les bases sont en rĂ©gion parisienne, est utilisĂ© par les Allemands pour Ă©tendre leur influence et pour peser sur Vichy. Il conduit quelques jeunes hommes Ă  l'engagement militaire, d'abord dans la LĂ©gion des volontaires français contre le bolchevisme la n'alignera jamais plus de 3 500 hommes, créée en juillet 1941, puis dans la Waffen SS en 1943. Il fournit aux polices allemandes une partie de leurs agents et de leurs indicateurs. Il rĂšgne sur la propagande grĂące Ă  Radio-Paris et aux journaux autorisĂ©s, dont l'hebdomadaire Je suis partout, recréé par Brasillach en fĂ©vrier 1941, est le plus notoire. Il rĂ©gente la culture. Il contrĂŽle la vie politique Ă  travers des partis dont le principal est le Parti populaire français créé en 1936, prĂ©sent dans les deux zones et en AlgĂ©rie, et soutenu par la SS. Son [...]1 2 3 4 5 
pour nos abonnĂ©s, l’article se compose de 10 pagesAfficher les 11 mĂ©dias de l'articleÉcrit par professeur Ă©mĂ©rite des UniversitĂ©sClassificationHistoireHistoire chronologieHistoire, xxe s. et xxie Guerre mondialeHistoireHistoire chronologieHistoire, xxe s. et xxie Guerre mondialeMouvements de rĂ©sistance, Seconde Guerre mondialeHistoireHistoire par rĂ©gions et paysHistoire de l'Europe occidentaleAllemagne, histoireHistoireHistoire par rĂ©gions et paysHistoire de l'Europe occidentaleFrance, histoireAutres rĂ©fĂ©rences OCCUPATION, France » est Ă©galement traitĂ© dans OCCUPATION FRANCE - MĂ©moires et dĂ©batsÉcrit par Laurent DOUZOU ‱ 3 876 mots ‱ 3 mĂ©diasC'est un fait, quelque soixante-dix ans aprĂšs la LibĂ©ration, l'histoire de la pĂ©riode de l'Occupation en France a Ă©tĂ© surabondamment Ă©voquĂ©e, Ă©tudiĂ©e, scrutĂ©e sous tous ses aspects. Des ouvrages scientifiques aux souvenirs des acteurs, sans oublier les livres de vulgarisation et les romans de Joseph Kessel Ă  Patrick Modiano, en passant par Roger Vailland, François Maspero et les pages posthumes d [
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International Belgique Des dĂ©putĂ©s demandent aux autoritĂ©s allemandes de leur fournir la liste de ces bĂ©nĂ©ficiaires, qui ont fait partie de la Wehrmacht ou de la Waffen-SS. Un brin mĂ©dusĂ©e, la Belgique a dĂ©couvert, mardi 19 fĂ©vrier, que prĂšs de trois quarts de siĂšcle aprĂšs la fin de la seconde guerre mondiale, vingt-deux de ses ressortissants, ou leur veuve, bĂ©nĂ©ficiaient encore d’une pension de retraite versĂ©e par l’Allemagne alors qu’ils avaient Ă©tĂ© jugĂ©s pour collaboration avec le rĂ©gime nazi. Sur proposition d’Olivier Maingain, prĂ©sident du parti centriste DĂ©fi, les dĂ©putĂ©s de cinq formations, membres de la commission des affaires Ă©trangĂšres, ont adoptĂ© une rĂ©solution demandant aux autoritĂ©s allemandes de leur fournir la liste de ces bĂ©nĂ©ficiaires afin qu’il soit mis un terme Ă  une situation aussi mĂ©connue que scandaleuse. L’ambassade d’Allemagne Ă  Bruxelles possĂ©derait la liste en question, mais Berlin s’est, jusqu’ici, refusĂ© Ă  rĂ©pondre Ă  la demande des dĂ©putĂ©s, et il y a peu de chances que les Ă©lus belges puissent rĂ©gler rapidement cette affaire leur assemblĂ©e sera dissoute dans quelques semaines en vue des Ă©lections lĂ©gislatives du 26 mai et le gouvernement du libĂ©ral Charles Michel, dĂ©sormais rĂ©duit Ă  la gestion des affaires courantes, ne se lancera certainement pas dans une polĂ©mique avec l’Allemagne. D’autant que celle-ci n’a pas rĂ©pondu Ă  une premiĂšre requĂȘte, qui lui a Ă©tĂ© adressĂ©e en 2018. Un dĂ©cret de 1941 Les bĂ©nĂ©ficiaires de cette pension, dont le montant oscillerait entre 400 et 1 300 euros, ont fait partie de la Wehrmacht ou de la Waffen-SS. Cette derniĂšre aurait recrutĂ© quelque 10 000 Ă©trangers. C’est un dĂ©cret adoptĂ© en 1941 par le rĂ©gime hitlĂ©rien qui leur a garanti une pension Ă  vie ces collaborateurs militaires en zone occupĂ©e Ă©taient considĂ©rĂ©s comme des soldats allemands et il s’agissait de rĂ©compenser leur loyautĂ©, leur fidĂ©litĂ© et leur obĂ©issance », selon ces dispositions. En 1998, l’indemnitĂ© versĂ©e aux veuves d’auteurs de crimes de guerre a certes Ă©tĂ© supprimĂ©e, mais cela n’aurait concernĂ© qu’une centaine d’anciens nazis. Le calcul de la pension versĂ©e par l’Allemagne se base sur le nombre d’annĂ©es que les collaborateurs militaires ont passĂ© en dĂ©tention aprĂšs leur condamnation en Belgique. A titre de comparaison, l’indemnitĂ© mensuelle versĂ©e aux Belges contraints au travail forcĂ© en Allemagne a Ă©tĂ© fixĂ©e Ă  50 euros par mois. Des gens qui ont commis des crimes ne mĂ©ritent pas cela », fulmine le dĂ©putĂ© socialiste nĂ©erlandophone Dirk Van Der Maelen. D’autres Ă©lus de la droite flamande se sont montrĂ©s beaucoup plus discrets, par crainte sans doute de ranimer de vieux dĂ©bats sur la collaboration et l’amnistie en faveur d’anciens collaborateurs, qui concernerait quelque 80 000 Belges au total. Ce thĂšme oppose de maniĂšre rĂ©currente Flamands et Wallons, mĂȘme s’il est dĂ©sormais avĂ©rĂ© que la collaboration, y compris avec la SS, a concernĂ© tant la Wallonie que la Flandre. Une vingtaine de bĂ©nĂ©ficiaires encore concernĂ©s En 2018, l’ambassadeur d’Allemagne Ă  Bruxelles a expliquĂ© Ă  un site flamand d’informations qu’une enquĂȘte serait diligentĂ©e pour dĂ©terminer quel rĂŽle exact avait jouĂ© la vingtaine de bĂ©nĂ©ficiaires belges encore concernĂ©s. On ignore si elle a rĂ©ellement eu lieu, mais des spĂ©cialistes de la seconde guerre mondiale confirment qu’ils ne disposent que de quelques fragments d’informations. Les dĂ©putĂ©s rĂ©clament dĂšs lors la crĂ©ation d’un comitĂ© scientifique belgo-allemand chargĂ© d’éclaircir cette trĂšs sombre affaire. Lire aussi Article rĂ©servĂ© Ă  nos abonnĂ©s En Belgique, un passĂ© collabo qui ne passe pas Dans une rĂ©action Ă  la radio Deutsche Welle, la dĂ©putĂ©e allemande Ulla Jelpke, membre de Die Linke gauche radicale, a Ă©voquĂ© une situation inacceptable ». L’historien Martin Göllnitz, de l’universitĂ© Johannes Gutenberg de Mayence, confie lui ses doutes quant Ă  toute modification du statut des bĂ©nĂ©ficiaires le gouvernement allemand n’accepte pas le principe d’un examen individuel des dossiers, et les rĂšgles du systĂšme de SĂ©curitĂ© sociale sont indĂ©pendantes d’éventuelles procĂ©dures pĂ©nales. Jean-Pierre StroobantsBruxelles, Correspondant Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

5 montrez que cette affiche révÚle le point de vue des nazis à l'égard de l'urss. «l'affiche allemande de recrutement pour la waffen ss (1943)» Total de réponses: 1 Montrez les réponses, Une autre question sur Histoire. Histoire, 24.10.2019 02:52. Boujours je voudrais savoir ce qui c'est passé pendnat la bataille de marignant et la cause de la bataille merci. Answers: 1.

L’Europe sous la domination nazie 1942 – 1945 Objectifs notionnels Ordre nouveau »* Oppression // Exploitation// Collaboration° [ RĂ©sistance° [ Gestapo Einseintzgruppen° [ Camps de concentration* Camps d’extermination* ProblĂ©matique Par quels moyens l’Allemagne nazie a-t-elle Ă©tabli sur l’Europe ? Quelle fut la typologie les aspects et la graduation de cette domination ? Quelles en sont les victimes? Quelles attitudes suscita-t-elle ? I°. Insertion dans le sujet 1°. La domination vue Ă  travers les textes Ü texte de Dans ce texte de type fonctionnel, Goering rappelle l’objectif de l’occupation allemande l’exploitation Ă©conomique des territoires. Ă  Type de domination et thĂšme La domination par l’exploitation Ă©conomique Ü TĂ©moignage d’une rescapĂ©e d’Auschwitz Ce texte de type privĂ© et littĂ©raire a valeur de tĂ©moignage. L’auteur, Charlote Delbo est une rescapĂ©e du camp de concentration d’Auschwitz. Elle dĂ©crit la souffrance psychologique et physique des prisonniers d’Auschwitz face Ă  la violence et Ă  la terreur des Nazis. Ă  Type de domination et thĂšme La domination sur les hommes l’oppression nazie 2°. La domination Ă  travers l’affiche Ü Affiche de propagande pour les Waffen en Belgique Ă  MĂ©thode pour l’étude d’une affiche Œ PrĂ©senter le ou le commanditaire s le Commandement des Waffen SS de Belgique  Dater la conception et faire la contextualisation historique 1943, apogĂ©e de la domination nazie en Europe occidentale, mais c'est aussi l'annĂ©e du reflux sur le front Est Stalingrad Ž PrĂ©ciser le lieu contextualisation gĂ©ographique La Belgique , occupĂ©e par l’Allemagne  L’Objet de l’affiche son pourquoi, son but, sa fonction Favoriser le recrutement de Waffen SS chez les Belges  Son contenu analytique les personnages, les messages Ă©crits § Le dragon rouge l’ennemi, reprĂ©sente l’URSS les communistes de façon gĂ©nĂ©rale et les Juifs. Synonyme de mort et de dĂ©solation, il se terre dans les tĂ©nĂšbres § Le Waffen SS § Le symbole des SS sous forme d’éclair § L’aube qui se lĂšve ‘ Le message explicite ou implicite § En signant chez les Waffen SS, les Belges contribueront Ă  vaincre l’ennemi communiste et notamment soviĂ©tique ’ La finalitĂ© de l’affiche § Amener la population belge Ă  soutenir le combat de l’Allemagne nazie contre l’URSS et donc Ă  collaborer La Waffen-SS littĂ©ralement arme de l'escadron de protection » fut la branche militaire de la Schutzstaffel SS, dont elle constitua l'une des composantes avec l'Allgemeine SS et le Sicherheitsdienst SD. Elle fut conçue Ă  l'origine par Heinrich Himmler comme une armĂ©e politique, uniquement constituĂ©e de nationaux-socialistes convaincus, soumis Ă  de sĂ©vĂšres critĂšres de sĂ©lection notamment basĂ©s sur les thĂ©ories raciales nazies. Au fil du temps, et surtout Ă  partir de la fin de l'annĂ©e 1942, elle intĂ©gra des troupes de toutes origines, des Volksdeutsche personnes d'origine germanique mais hors du Reich et des malgrĂ©-nous » Alsaciens et Mosellans dans une premiĂšre phase, puis des personnes essentiellement issues des pays occupĂ©s, de la Belgique Ă  l'Albanie, du Danemark Ă  l'Ukraine, sans se soucier de leur Ă©ventuelle origine germanique. Ces unitĂ©s non-allemandes furent largement majoritaires Ă  partir de 1944, avec prĂšs de 700 000 hommes sur un total de prĂšs d'un million de membres de la Waffen-SS pendant toute la durĂ©e du conflit. Avec des motivations diverses, allant de l'engagement nazi aux conflits ethniques locaux, les unitĂ©s Ă©trangĂšres de la Waffen-SS furent un appoint important aux opĂ©rations militaires allemandes. PrĂ©sentes sur tous les fronts de 1939 Ă  1945, Ă  l'exception de l'Afrique du Nord, les unitĂ©s de la Waffen-SS se rĂ©vĂ©lĂšrent de qualitĂ© variable nombre d'entre elles firent preuve d'une grande combativitĂ©, essentiellement sur le front de l'Est, Ă  partir de 1943. Elles se singularisĂšrent par le nombre de leurs exactions et de leurs crimes sur tous leurs théùtres d'opĂ©rations.

bureaude recrutement de la lĂ©gion des volontaires français . affiche de recrutement pour la lĂ©gion des volontaires français . soldats de la LVF . timbres aux thĂšmes de la lĂ©gion des volontaires français . Créé le 8 juillet 1941. Chefs de parti LVF 1941. par Marcel DĂ©at (1894-1955) marcel dĂ©at . dĂ©at. elle est prĂ©sidĂ©e par EugĂšne Deloncle (1890-1944) deloncle. Identification Letter ; Lettre du bureau de recrutement pour la Waffen SS au maire de Nomain. Iconographic description Lettre du bureau de recrutement pour la Waffen SS au maire de Nomain concernant la rĂ©glementation de diffusion et collage des afffiches de la Waffen SS dans la municipalitĂ©. Subject/theme Second World War ; Occupation ; Poster ; Waffen SS ; Recruiting Creation/ProductionAuthor/Conceptor BUREAU DU RECRUTEMENT POUR LA WAFFEN SS NameBUREAU DU RECRUTEMENT POUR LA WAFFEN SS Author Conservation site MusĂ©e de la RĂ©sistance, Bondues Category Communication ; Administrative life Citation j'ai fini de taper un article sur la classe de sous-marin Ă  propulsion classique russe KILO et sur l'aĂ©roglisseur gĂ©ant russe POMORNICK, mais j'ai pas encore de cherche. vous pourriez me contactez Ă  l'adresse suivante pour savoir 2 ou 3 trucs Ă  propos des articles d'Air DĂ©fense.net: y.hellcat@hotmail.fr. merci, @+. Eh eh si tu plonges dans le bordel bureaucratique du IIIe Reich tu ne t'en sortiras jamais... L'appareil sĂ©curitaire du IIIe Reich Ă©tait tentaculaire, avec de nombreuses administrations, d'innombrables polices, Wehrmacht c'est l'armĂ©e allemande classiqueLa SS c'est un terme trĂšs vaste qui dĂ©signe l'Etat dans l'Etat qu'a constituĂ© l'appareil sĂ©curitaire du parti nazi il ne faut pas oublier que l'Etat et le Parti ne font plus qu'un. Au dĂ©but c'Ă©tait les gardes du corps personnels d'Hitler mais ils ont rapidement grandit en importance et en compĂ©tences jusqu'Ă  devenir tout l'appareil sĂ©curitaire du Reich et a avoir leur propre armĂ©e. Waffen-SS, SS tĂȘte de mort, SD, Gestapo, RHSA office central de sĂ©curitĂ© du Reich, KriPo la police criminelle etc.,tout ça c'est la SS. Alors bien sĂ»r il y a des subtilitĂ©s. Ainsi les divisions de la Waffen-SS sont des SS, mais ils sont soumis Ă  la hiĂ©rarchie militaire de la Einsatzgruppen sont officiellement des groupes de police militarisĂ©e, donc composĂ© en majoritĂ© de policiers de la SS ainsi que de collabos, chargĂ© d'appliquer la politique criminelle du Reich derriĂšre les divisions rĂ©guliĂšres qui mettent bien souvent la "main Ă  la pĂąte" momra.
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