UnMaestro en couple qui fait chavirer les téléspectatrices. Simon a pratiqué le rugby pendant 20 ans. "C'est familial surtout.Mon papa y jouait ainsi que mon grand-pÚre", a-t-il expliqué à
PubliĂ© le vendredi 21 Octobre 2016 Ă  17h28 C’est une sordide affaire qui vient d’ĂȘtre jugĂ©e en Sicile. Veronica Panarello a en effet Ă©tĂ© accusĂ©e du meurtre de Loris, son fils de huit ans, aprĂšs que celui-ci ait dĂ©couvert qu’elle entretenait une liaison avec le pĂšre de son mari. Veronica Panarello a Ă©tranglĂ© son fils Loris Stival avec des cĂąbles Ă©lectriques, puis a abandonnĂ© son corps dans un ravin, non loin de Santa Croce, en Sicile. Panarello avait essayĂ© de faire semblant que son fils avait Ă©tĂ© enlevĂ©, mais la police, sur base d’images d’une camĂ©ra-surveillance placĂ©e Ă  son Ă©cole, avait dĂ©montĂ© son affirmation. Les soupçons se sont alors posĂ©s sur elle, explique Daily Mail. Lorsque Panarello a avouĂ© que son fils avait Ă©tĂ© tuĂ©, elle a essayĂ© de faire porter l’accusation sur le pĂšre de son mari, Andrea Stival. Elle a dit devant le tribunal que celui-ci avait assassinĂ© Loris parce que l’enfant les avait surpris en pleines relations sexuelles. Stival a menacĂ© de poursuivre sa belle-fille pour diffamation.
Duhaut de ses 4 ans, et avec son papa, elle a dĂ©cidĂ© de reprendre ce tableau trĂšs complexe. Le pĂšre et sa fille ont donc relevĂ© le dĂ©fi et ont publiĂ© la vidĂ©o sur le Web. ï»żFRANÇAIS Mon nom est Stella et j’ai 25 ans. Je commençais Ă  avoir un sentiment Ă©rotique pour mon pĂšre quand j’étais ĂągĂ©e de 21 ans, Ă  l’universitĂ©. Mes parents se sont mariĂ©s Ă  un trĂšs jeune Ăąge, et nous avons grandi avec eux. Je suis la prĂ©fĂ©rĂ© de papa et je l’aimais le nombre d’enfants que mes parents avaient, mon pĂšre Ă©tait toujours Ă  la recherche de charme, grand, un physique trĂšs sexy et surtout, trĂšs riche. Je suis si attachĂ© Ă  mon pĂšre tout comme un enfant, mais quand je suis devenu un adulte, les sentiments sont devenus plus forts. Je vivais toute seule dans une maison composĂ©e de trois chambres tout seuleEn ce jour fatidique; mon pĂšre m’a rendu visite depuis qu’il Ă©tait dans le quartier. J’ai eu l’imagination drĂŽle d’ĂȘtre au lit avec mon pĂšre et prier pour avoir au moins une occasion de satisfaire mon dĂ©sir de avait dĂ©jĂ  appelĂ© une heure avance m’informant qu’il serait lĂ . Ce qui m’a permit de mettre en place mon plan de le sĂ©duire ce jour-lĂ . Finalement, il est arrivĂ© et nous avons Ă©changĂ©. Au cours de nos discussions il s’était confortablement installĂ© sur l’un des coussins du salon, je me suis assis prĂšs de lui avec ma tĂȘte sur son Ă©paule pendant que nous j’ai commencĂ© Ă  batifoler avec la poitrine de mon pĂšre, en le caressant pendant qu’il parlait. Au dĂ©but, il ne comprenait pas ce que je faisais jusqu’à ce que ma main a atteint sa zone de virilitĂ©. Il me repoussa avec force et a demandĂ© quel Ă©tait cette attitude. J’ai commencĂ© Ă  pleurer. Surpris par mon Ă©tat d’arme, mon pĂšre, pour me calmer s’est rapidement excusĂ© d’avoir Ă©tĂ© si dur pour il parlait, je n’écoutais pas vraiment ce qu’il disait, mes yeux Ă©tĂ© simplement fixĂ©s sur son visage et je pensais rien qu’au sentiment d’amour que j’avais pour m’a attirĂ© contre son Ă©paule pour m’apaiser quand je l’ai rapidement embrassĂ©. Il est devenu tellement furieux et demanda en criant, Stella, est-tu devenue folle ? “Pourquoi cet acte Ă©trange? Je lui ai rĂ©pondu en lui confirmant que j’éprouvais des sentiments pour lui depuis l’ai dit Papa, je sais c’est un peu bizarre, mais je suis fou de toi, Je t’aime papa, je suis profondĂ©ment amoureuse de toi. Je ne peux pas arrĂȘter de penser Ă  toi ». Je ne savais pas comment m’approcher de toi Ă  la maison Ă  cause de maman et je n’avais pas assez de courage pour le faire. Mais quand tu m’as appelĂ© pour m’informer pour me faire pas de ta visite chez moi, je me suis dĂ©cidĂ©e Ă  te montrer de par mes actions ce que je ressens pour toi “.Ce qui a d’ailleurs mit mon pĂšre dans tout son Ă©tat. AprĂšs cette confession Ă  mon pĂšre, qui semble ĂȘtre sourd et n’a pas entendu un mot de ce que je disais, a ramassĂ© son tĂ©lĂ©phone prend le chemin de sorti. J’ai commencĂ© Ă  pleurer ce qui Ă©tait son point faible. Il n’aime pas me voir pleurer. Il m’a fait assis sur ses genoux et m’a demandĂ© de rĂ©pĂ©ter ce que je viens de dire. Je lui ai dit de nous laisser une chance d’essayer parce que, Ă©videmment je me disais que non sentiment Ă©tait rĂ©ciproque. Je lui ai donc promis que ce sera notre plus sombre secret, et maman ne pourra jamais en parlant, mes mains Ă©taient dĂ©jĂ  en train d’ouvrir la fermeture de son pantalon. La seconde suivante, son pĂ©nis Ă©tait dĂ©jĂ  dans ma bouche avant qu’il ne s’en rendre compte. Je lui ai bien sucĂ© et l’affaiblit complĂštement cars je sais que ma mĂšre n’est jamais arrivĂ© Ă  bien le satisfait. Je continuais Ă  lui taillĂ© la pipe faisant en sorte qu’il ne me rĂ©sister plus pour longtemps. Je l’ai rapidement dĂ©shabillĂ© et assis sur luiJ’étais dĂ©jĂ  mouillĂ© et prĂȘte Ă  ĂȘtre pĂ©nĂ©trer. C’est Ă  Ă©tĂ© effectivement le cas. J’ai fait l’amour avec lui comme je ne l’ai jamais fait pendant un bon moment. À ce stade, sa bouche Ă©tait dĂ©jĂ  sur mes seins somptueux. Il s’est donc a smooched mes seins si dur pendant que je lui donnait le plaisir de sa vie. Mon pĂšre a tout. Sa queue Ă©tait comme 6 pieds de long; il est presque arrivĂ© Ă  mon nombril. Il m’a ”niasse” si fort comme personne ne l’a jamais fait, mĂȘme mon jeune sais que c’est un acte abominable, mais Ă  ce moment-lĂ , j’en avais vraiment rien Ă  foutre. AprĂšs des heures d’un amour dĂ©cision rugueux, il a donnĂ© une libĂ©ration dur Ă  l’intĂ©rieur de moi et nous avons Ă©tĂ© tous les deux Ă©puisĂ©s. Il me sourit et me dit que je suis la femme la plus douce qu’il avait jamais jamais connue de toute sa vie; mĂȘme ma mĂšre ne pouvait pas rĂ©pondre Ă  un match avec moi. Disait-ilIl m’a ainsi demandĂ© d’accepter faire avec lui mais gardant le secret. Mon pĂšre a commencĂ© donc pas me rendre visite chaque a mĂȘme provoquĂ© une rupture entre mon petit ami et moi. Michael m’a demandĂ© Ă  mettre fin Ă  notre relation puisqu’il estime que je ne suis plus attentionnĂ© Ă  pĂšre me donnais tout ce que je voulais. Il m’a couvert de cadeaux et m’a mĂȘme offrit de voitures. Une fois mes Ă©tudes terminĂ©e , il m’a achetĂ© une maison dans l’un des domaines privĂ©s, malgrĂ© les plaint de ma mĂšre lui demandant de ne pas le pĂšre a organisĂ© un voyage Ă  DubaĂŻ juste pour lui et moi sans avoir mit ma mĂšre au courant de ce qui se passait. Nous avons passĂ© une semaine Ă  faire l’amour dans notre chambre dl’hĂŽtel. C’était la meilleure semaine de mois aprĂšs notre retour de DubaĂŻ, je me sentais faible et malade. Au dĂ©but, je pensais que c’était le paludisme jusqu’à ce que je me rends Ă  la clinique et effectuĂ© un lĂ  j’ai dĂ©couvert la bombe choquant de toute ma vie, j’étais enceinte de mon pĂšre de passage le week-end comme d’habitude a appris la nouvelle et a insistĂ© que je garde le bĂ©bĂ© malgrĂ© que je lui ai demandĂ© de me permettre d’avortĂ© la grossesse.. Je commencĂ© Ă  faire des plans pour quitter le pays mais mon pĂšre a utilisĂ© ses ressources pour me je suis enceinte de 6 mois et obligĂ© de rester cacher Ă  cause de ma mĂšre, qui en entendant cette nouvelle pourrait se vous plaĂźt, aider moi, Comment fait pour convaincre mon pĂšre Ă  me laisser me dĂ©barrasser de cette faire? Comment puis-je me sortir de cette situation ? GuillaumeAlbert Vladimir Alexandre Apollinaire de Kostrowitzky [1], dit Guillaume Apollinaire, est un poĂšte et Ă©crivain français, critique et thĂ©oricien d'art qui serait [Note 1] nĂ© sujet polonais de
Par dans Amour et sĂ©duction Mis Ă  jour le 24 juillet 2017 , Lu 4332 fois Le journal amĂ©ricain New York Magazine publie un article insolite qui affirme qu’une jeune fille de 18 ans s’apprĂȘte Ă  se marier avec son propre pĂšre. C’est merdique mais c’est le fait, et nous sommes lĂ  pour le rapporter. Le pĂšre et la mĂšre de la fille se sont rencontrĂ©s au lycĂ©e quand ils avaient 18 ans. Quant Ă  la fille, elle a Ă©tĂ© conçue le soir du bal de fin d’annĂ©e. Le pĂšre qui Ă©tait si jeune pour prendre des responsabilitĂ©s a abandonnĂ© la mĂšre pendant que cette derniĂšre Ă©tait enceinte. Il a vu sa fille pour la premiĂšre fois quand elle avait deux ans, la deuxiĂšme fois quand elle avait trois ans, la troisiĂšme fois quand elle avait cinq ans. Depuis lĂ , pĂšre et fille ne se voyaient plus. Quand la fille avait 16 ans, elle eut la grande surprise de rencontrer son pĂšre sur Facebook. A 17 ans, le couple pĂšre et fille finit par faire un voyage au septiĂšme ciel aprĂšs avoir passĂ© cinq jours ensemble. Aujourd’hui ils sont fous amoureux l’un de l’autre et ils envisagent se marier.
RĂȘverde faire l’amour avec un homme que l’on connaĂźt ou rĂȘver de faire l’amour avec une femme qu’on connaĂźt peut ĂȘtre surprenant, surtout si l’homme ou la femme en question est votre ex.Si vous avez eu un rĂȘve Ă©rotique avec votre ex, c'est un signe que vous devez vivre davantage le moment prĂ©sent.En effet, ces rĂȘves sont associĂ©s Ă  un attachement au passĂ©, et
Bonjour, Ca fait longtemps, mais.. Je fait du mentalisme et ce que je peux voir dans le comportement sexuel des jeunes fille, n'est pas ce qu'Ă©crit la bible.. Marie n'Ă©tait pas vierge, fĂ©condĂ© par un rayon de soleil, elle avait 13 ans, la cinquiĂšme femme de josef 70 ans.. Comme c'Ă©tait courant Ă  l'Ă©poque, et encore d'actualitĂ© aujourd'hui, au Maghreb.. L'humain est polygame masculin, puisqu'il se prostitue, ce qui es le pire de la polygamie, et des fĂ©tus ce masturbe, sur des Ă©chographies, donc, la sexualitĂ© commence tout de suite.. Moi, ce que je relĂšve, c'est une sexualitĂ© plutĂŽt chimpanzĂ©, que bonobo, avec une lĂ©gĂšre polygamie, de 4% des Ă©lite, et une prostitution de 4% des pauvre.. Comme, les autres animaux, les filles sont prĂȘte Ă  l’accouplement, dĂšs le premiĂšre rĂšgles, mais c'est bien d'attendre un peut, pour avoir un enfant.. L'inceste, n'est que gĂ©nĂ©tique, ce qu'il faut diffĂ©rencier de la familliogogie.. Et, si t'es deux parent, sont Ă©loignĂ© gĂ©nĂ©tiquement, cela fait disparaitre la barriĂšre de l’inceste. Et, si dans ta tĂȘte, c'est pas ton pĂšre, parce qu'il ta faite trop top, etc.. "C'est pas ton pĂšre..", "d'ailleur, tu as du trouvĂ© en un homme qui est mariĂ©, et qui est stable pour toi.. Quand, tu as passĂ© ce stade avec ton "gĂ©niteur", difficile de retourner en arriĂšre, ce que tu as imaginer, vue que tu as pris ton pied, c'est faire l'amour avec lui, et si tu ne le fait pas, ça sera pire.. "Il y en Ă  qui ce tape, leur chien aprĂšs.." Ce que tu as imaginĂ©, c'est de la prĂ©mĂ©diation, ensuite, il y la prĂ©voyance, et si t'y met le temps, "quand, ça devait ce passer", c'est que tu as dĂ©cider de le faire, "c'est tes envies", et c'est pas aux autres, de dĂ©cider de ce que tu as envie.. A notre Ă©poque, c'est courant, vue les migration "mĂȘme que de 100Km, Ă  l'intĂ©rieur des pays", qui son actuel.. La chose Ă  imaginĂ©, c'est "est ce que ça va te rendre heureuse" ? Est ce que dans le temps, tu peux t'imaginer avec le sourire.. satisfaite.. contente.. Ce qui Ă  l'aire d'ĂȘtre.. "Un fantasme de nuit, que tu ne veux pas voir ce rĂ©alisĂ©, Ă  un gout de cauchemard, pas de rĂȘve Ă©rotique prendre son pied.." Et temps, que tu ne l'auras pas fait, tu le chercheras en de multiple partenaire, avec la mĂȘme prioritĂ©, te faire prendre par lui.. Moi, c'est d'expĂ©rience que je te parle, et pas de grand thĂ©oricien, qui laisse leur enfants devenir pĂ©dophile, et baiser avec leur chien, ce qu'est encore pire, en faisant semblant de rien voir.. Bien Ă  toi !
FaustinSoulouque (nĂ© le 15 aoĂ»t 1782 Ă  Petit-GoĂąve - mort le 6 aoĂ»t 1867 dans la mĂȘme ville) 1 est un homme militaire et dirigeant haĂŻtien, qui participa Ă  la guerre d'indĂ©pendance haĂŻtienne et Ă  l' expĂ©dition de Saint-Domingue, en tant qu'officier puis en tant que commandant, et qui fut empereur d'HaĂŻti sous le nom de Faustin Ier.
ETATS-UNIS – Une AmĂ©ricaine de 18 ans a accordĂ© une longue interview au New York Magazine, oĂč elle raconte son histoire d'amour avec son pĂšre. Un rĂ©cit troublant et a fait le tour de la presse internationale et vous livre le fait divers du jour... Elle voulait Ă  tout prix connaĂźtre son pĂšre biologique. Mais ne se doutait certainement pas de la tournure qu'allaient prendre les Ă©vĂ©nements...Cette incroyable histoire, c'est le New York Magazine qui la rĂ©vĂšle cette semaine, en publiant une longue interview de la jeune femme en question qui, Ă  18 ans, entretient depuis deux ans une relation amoureuse... avec son pĂšre ! L'affaire dĂ©marre quand cette AmĂ©ricaine originaire de la rĂ©gion des Grands lacs a 15 ans. Son pĂšre biologique, qu'elle n'a quasiment jamais vu, prend contact avec elle via sa mĂšre. Les parents de la jeune fille n'ont jamais Ă©tĂ© rĂ©ellement en couple elle est le fruit d'une courte idylle d'adolescents de 18 ans, le soir du fameux bal de promo. "Cela semblait tellement naturel" Quand son pĂšre la recontacte via Facebook, en la demandant "en ami", la jeune fille est ravie elle a toujours manquĂ© d'une figure paternelle. Rapidement, la conversation s'engage et le duo, raconte-t-elle, "se trouve plein de points communs". "Nous avions les mĂȘmes sĂ©ries TV prĂ©fĂ©rĂ©s - Les Simpson et The Big Bang Theory - et aimions tous les deux dessiner". La pĂšre et la fille se rencontrent rapidement. LĂ , des sentiments Ă©tranges naissent "Je me disais il est tellement beau ! Puis je me disais 'mais c'est quoi ton problĂšme, qu'est-ce qui cloche chez toi' pour penser des trucs pareils, ndlr ?'" Rapidement, les choses dĂ©rapent alors qu'elle passe quelques jours chez son pĂšre et sa belle-mĂšre, l'adolescente se rapproche dangereusement du premier. Jusqu'Ă  cette nuit oĂč le pĂšre et la fille en viennent Ă  faire l'amour. "C'est lĂ  que j'ai perdu ma virginitĂ©", confie-t-elle au magazine amĂ©ricain. Avant de prĂ©ciser "Ça n'Ă©tait pas bizarre du tout. Cela semblait tellement naturel, pas du tout tabou". Le pĂšre et la fille dĂ©cident alors de se mettre en couple. Un mariage, des enfants L'histoire dure maintenant depuis deux ans. Si sa mĂšre ignore encore tout de cette relation incestueuse, des proches, eux, sont au courant et approuvent "Mes grand-parents paternels voient que nous sommes heureux ensemble, et maintenant, ils sont impatients que nous fassions des bĂ©bĂ©s !". Le couple envisage maintenant de se marier "Les couleurs de notre mariage seront le noir et le violet, et nous porterons tous les deux des Converse aux pieds !", s'amuse-t-elle. Mais pour ĂȘtre sĂ»r de ne pas passer sous le coup de la loi, l'inceste Ă©tant officiellement interdit et puni dans de nombreux Etats amĂ©ricains, le couple s'apprĂȘte Ă  dĂ©mĂ©nager "au New Jersey, oĂč l'inceste entre adultes n'est pas illĂ©gal". Autre Ă©tape Ă  venir former une famille. Et peu importe si entretenir une relation incestueuse peut poser des problĂšmes gĂ©nĂ©tiques Ă  ses enfants "J'ai fait mes propres recherches 
 et ça n'est pas vrai", assure la jeune femme. LE FAIT DIVERS D'HIER >> Elle se croit morte pendant trois ans
Mariahet Devon sont peut-ĂȘtre d’accord pour l’instant, mais ils pourraient prendre peur et changer d’avis. On sonne soudain Ă  l’entrĂ©e. Nina part ouvrir et Ashley rejoint Abby ! Au penthouse, Devon et Amanda prennent le petit-dĂ©jeuner ensemble. Il ne sait pas pourquoi, mais il se sent de mieux en mieux.
Nous avons tous, d'une maniĂšre ou d'une autre, fait l'expĂ©rience du pouvoir des sentiments. Qu'il s'agisse d'amour, d'amitiĂ© ou d'autre chose, lorsque le lien entre deux ou plusieurs personnes est trĂšs fort, rien ne peut l'entraver. Un concept qui est particuliĂšrement renforcĂ© lorsque c'est la relation entre des personnes d'Ăąges trĂšs diffĂ©rents qui est en jeu. Les protagonistes de cette histoire le savent trĂšs bien. Une jeune femme de 27 ans et un homme de 51 ans qui, dĂ©fiant tous les prĂ©jugĂ©s, se laissent emporter par leur amour et vivent un beau conte de fĂ©es. Nous vous racontons comment ils se sont rencontrĂ©s et Ă  quel point le sentiment est profond entre eux. Sydney et Paul Dean, originaires de l'Ohio, se sont rencontrĂ©s pour la premiĂšre fois lorsqu'elle avait 11 ans. La fille Ă©tait la petite amie du fils de Paul et visitait rĂ©guliĂšrement sa maison. Avec le temps, la relation entre les deux jeunes s'est Ă©tiolĂ©e, mais Sydney est toujours restĂ© trĂšs proche du garçon, du moins jusqu'Ă  ce qu'il commence Ă  voir une autre fille. À ce moment-lĂ , quelque chose d'insolite s'est produit. Sydney et Paul, l'ancien beau-pĂšre, ont commencĂ© Ă  se parler, Ă  s'entendre et Ă  se voir rĂ©guliĂšrement. Se sentant comme une troisiĂšme roue entre son ex-petit ami et sa nouvelle conquĂȘte, la jeune fille avait cherchĂ© le soutien de l'homme et c'est ainsi qu'est nĂ©e une amitiĂ©, qui s'est lentement transformĂ©e en quelque chose de plus important. En effet, les deux, dĂ©fiant les clichĂ©s liĂ©s Ă  la diffĂ©rence d'Ăąge, ont entamĂ© une histoire d'amour. Un choix que les parents, les amis et les enfants n'ont pas immĂ©diatement acceptĂ©. Comme Sydney l'a racontĂ© "Je n'avais jamais imaginĂ© que je tomberais amoureuse de lui et au dĂ©but, il n'Ă©tait pas facile de faire accepter notre relation Ă  nos proches. Lorsque j'en ai parlĂ© pour la premiĂšre fois Ă  ma mĂšre, elle est restĂ©e sans voix. Elle connaissait Paul, elle savait qu'il Ă©tait beaucoup plus ĂągĂ© que moi et cela la dĂ©rangeait, tout comme cela dĂ©rangeait mon pĂšre", poursuit la femme. "MĂȘme pour mes amis, c'Ă©tait difficile. Ils ne croyaient pas qu'un amour entre deux personnes si Ă©loignĂ©es en Ăąge Ă©tait possible, mais ils ont dĂ» l'accepter et ceux qui n'y arrivaient pas se sont Ă©loignĂ©s de nous". Une belle histoire d'amour Ă  bien des Ă©gards, mais qui a apparemment impliquĂ© un certain renoncement. L'homme de 51 ans a Ă©galement eu quelques problĂšmes Ă  cet Ă©gard, notamment avec son fils qui s'Ă©tait fiancĂ© avec elle Ă  l'adolescence. Pourtant, le couple ne s'est jamais laissĂ© dĂ©courager, leur amour est si fort qu'il ne craint pas les attaques extĂ©rieures et les prĂ©jugĂ©s et continue. Il procĂšde comme un bĂ©lier qui abat tout obstacle pour atteindre son but, si bien que les deux ont dĂ©cidĂ© de se marier. Un conte de fĂ©es moderne qui veut donner de l'espoir Ă  ces couples qui sont influencĂ©s par ce que les autres pensent et qui nous fait croire encore une fois au pouvoir de ce sentiment. Nous savons combien l'amour est aveugle et, lorsqu'il dĂ©cide de frapper Ă  notre porte, nous ne pouvons rien faire d'autre que de l'accueillir et de lui donner l'espace dont il a besoin. Êtes-vous d'accord ?

SĂ©jouravec son pĂšre « L'Alcazar » au fond de la rue St-Martin Ă  Mourmelon-le-Grand, oĂč les Gassion passent en reprĂ©sentation. Elle fait de ThĂ©o son secrĂ©taire, son manager et un chanteur qu'elle veut lancer. Ils chantent en duo À quoi ça sert l'amour ? Ă©crit par Michel Emer, un de ses fidĂšles compositeurs, Ă  l'Olympia et Ă  Bobino. Sur scĂšne, Édith Piaf dĂ©ploie sans

Monia Ben JĂ©mia, Les siestes du grand-pĂšre. RĂ©cit d’inceste dĂ©tail de la couverture du livre On ne peut pas dire que les tĂ©moignages sur l’inceste soient lĂ©gion au Maghreb ; pas davantage en Tunisie oĂč les avancĂ©es pour les droits des femmes ne peuvent ĂȘtre niĂ©es. Aussi, le tĂ©moignage-fiction de Monia Ben JĂ©mia, Les siestes du grand-pĂšre. RĂ©cit d’inceste, est un Ă©vĂ©nement, une rupture d’un silence honteux pour les victimes et complice pour celles et ceux qui ont assistĂ© sans dire. Le titre, Les siestes du grand-pĂšre, pourrait promettre un rĂ©cit d’enfance dans la douceur de la chaleur de l’étĂ© mais est immĂ©diatement brisĂ© par le sous-titre, rĂ©cit d’inceste » dĂ©signant le temps et le lieu du crime contre une petite fille qui nous regarde, figĂ©e, sur la couverture. Le contrat est engagĂ© avec le lecteur qui sait qu’il va lire un tĂ©moignage sur l’indicible, chambre noire pourtant de tant de familles. S’ouvre alors un rĂ©cit d’un peu plus de cent pages sobre et prĂ©cis, sans pathos pour emprisonner le lecteur, un rĂ©cit coup de poing si vous voulez esquiver, mieux vaut refermer tout de suite le livre ! L’exergue dont on sait qu’elle est Ă  la fois blason de l’intention de l’auteure, fronton de l’Ɠuvre et mise en atmosphĂšre, nous installe dans une volontĂ© de dĂ©voilement La possibilitĂ© qu’émerge une rĂ©elle discussion sur l’inceste est neutralisĂ©e car banalisĂ©e ; chacun pense au bout du compte qu’il sait dĂ©jĂ  de quoi il retourne. Dire l’inceste publiquement, quel que soit l’angle d’approche, est immĂ©diatement mĂ©tabolisĂ© par la sociĂ©tĂ© absorbĂ©, puis transformĂ© et renvoyĂ© au silence, sans questionnement sur ce dont il s’agit ». Cette citation est empruntĂ©e Ă  DorothĂ©e Dussy dans un de ses articles de 2005. Cette date nous met en alerte. Monia Ben JĂ©mia ne surfe pas sur la vague soulevĂ©e par le rĂ©cit de Camille Kouchner, La familia grande. Comme elle le dit dans un entretien donnĂ©e Ă  Jeune Afrique, en fĂ©vrier 2021 J’ai longtemps travaillĂ© ce texte et je l’ai remis Ă  mon Ă©diteur en 2019. À l’époque, le mouvement Me too invitait Ă  libĂ©rer la parole et Ă  dĂ©noncer les abus sexuels mais l’inceste n’était pas Ă©voquĂ©. Au moment d’écrire, j’avais effectuĂ© des recherches et constatĂ© que les Ă©tudes sur ce sujet sont rares et que seules quelques rĂ©fĂ©rences, notamment celles du PNUD sont disponibles. L’agenda de publication de l’éditeur fait que le livre sort aujourd’hui en mĂȘme temps que diverses dĂ©nonciations qui mettent ce sujet au cƓur de l’actualitĂ©. Ces dĂ©marches confluentes et significatives montrent que ce tabou n’est plus tolĂ©rable et qu’il faut en finir avec ce silence qui fait des victimes des coupables. L’omerta n’est plus possible ». Monia Ben JĂ©mia ajoute la recommandation habituelle protĂ©geant les auteurs d’une confusion entre fiction et rĂ©el. Huit parties vont suivre, d’inĂ©gale longueur, formant un acte d’accusation conduit avec efficacitĂ© et intelligence. Dans l’Avant-propos apparaĂźt la protagoniste, NĂ©dra – double Ă  peine voilĂ© de l’auteure – qui se rĂ©veille du long cauchemar qu’elle vit depuis son enfance en apprenant le scandale de Regueb en 2019 d’enfants violĂ©s dans un internat privĂ© religieux. Elle se dĂ©cide alors Ă  raconter l’inceste subi dans son enfance ». Elle doit le faire sortir du fait divers, le faire Ă©chapper Ă  cette Ă©pidĂ©mie de silence ». Un autre dĂ©clencheur la pousse la grave maladie qui peut l’emporter il faut auparavant que les faits soient connus. La dĂ©cision prise n’enclenche pas immĂ©diatement l’écriture car Ă©crire l’inceste est difficile et douloureux pour le sujet incestĂ© mais aussi en raison des retombĂ©es sur son entourage. Celui-ci se dĂ©fend, toutes griffes dehors, et les cas sont connus de victimes de viol devenues coupables, harcelĂ©es et dĂ©boutĂ©es. Mettant un Ă©cran entre son dĂ©sir et le passage Ă  l’acte, NĂ©dra commence par des recherches sur Internet oĂč elle constate que l’inceste est mis en scĂšne sans ĂȘtre condamnĂ©. C’est en poursuivant ses recherches, qu’elle trouve des Ă©tudes qui vont l’accompagner, en particulier de DorothĂ©e Dussy et de Muriel Salmona. ArmĂ©e, elle peut se lancer. Une famille ordinaire donne le tableau prĂ©cis des membres-socle de sa famille et surtout des deux grands-pĂšres, paternel et maternel, tout en opposition Son grand-pĂšre paternel, Mahmoud, Ă©tait bon, gĂ©nĂ©reux et humble. Son grand-pĂšre maternel, Jamel, Ă©tait avare, sĂ©vĂšre et arrogant ». Elle s’attarde sur les caractĂ©ristiques de chacun d’eux et insiste sur la maniĂšre de les nommer alors qu’elle n’a aucun mal Ă  appeler l’un Baba Mahmoud », elle ne peut le faire pour l’autre NĂ©dra n’aimait pas ce Jamel et elle ne pouvait dire Baba Jamel. Elle avait cessĂ© de l’appeler ainsi Ă  l’adolescence. Quand elle parlait de lui, elle disait Ă  sa famille, Bouk Jamel. Et on lui rĂ©pondait invariablement, mais c’est le tien aussi ». Non, il ne l’est pas, il ne le fut jamais ». Elle joue sur l’appellation Ă  la deuxiĂšme personne qui donne en français une qualification peu flatteuse mais juste. Elle y revient dans la quatriĂšme partie lorsqu’elle raconte la sĂ©ance de cinĂ©ma avec sa tante et ce grand-pĂšre pour aller voir Peau d’ñne que celui-ci trouvera immoral
 Pour bien comprendre la perversion de Bouk, le bouc, comme elle dĂ©cide dorĂ©navant de l’appeler
 » Dans ces portraits de famille, elle livre celui de ses parents un pĂšre non conventionnel et aimant ; une mĂšre sĂ©vĂšre, fille et femme de devoir mais trĂšs sociable et ayant beaucoup d’amies, au service constant des siens. NĂ©dra se souvient dans les moindres dĂ©tails de toutes les tĂąches qu’elle accomplissait. Aucun des deux ne verra rien de ce que subit leur fille. Le vieux sous les toits cette fois, NĂ©dra ne recule plus et entame le rĂ©cit de l’inceste aprĂšs cette mise en contexte de ceux qui auraient dĂ» la protĂ©ger La premiĂšre fois c’était la nuit, dans l’appartement de Tunis. NĂ©dra dormait entre lui et sa grand-mĂšre. Il Ă©tend son bras et prend son sexe dans sa main ». Il l’emmĂšne ensuite dans la salle de bains, Ă  proximitĂ© de toutes les femmes de la maison. Puis il a continuĂ© dans la maison au bord de la mer. En contraste avec cette prĂ©dation, la famille se rĂ©unit pour toutes sortes de choses et la gaietĂ© est de mise car la grand-mĂšre rit tout le temps et les rires et les chants des femmes accompagnent sa joie. NĂ©dra se souvient et aprĂšs tous ces souvenirs joyeux, une phrase tombe, sĂšche La maison des grands-parents rĂ©sonnait des musiques des fĂȘtes et du silence de l’inceste. Lumineuse, joyeuse, emplie de musique et des cris de joie des enfants et des you you. Et sombre, effrayante, enfouie dans un Ă©pais silence ; on y entrait par une grande porte vitrĂ©e, protĂ©gĂ©e de fer forgĂ© noir, les barreaux de sa prison ». Alors se prĂ©cisent l’acteur et ses gestes, le lieu et le moment le grand-pĂšre faisait sa toilette, ses ablutions pour sa priĂšre puis il allait Ă  l’étage faire la sieste. Les enfants sont sommĂ©s de faire la sieste avec les femmes. C’est NĂ©dra qui est envoyĂ©e par sa mĂšre pour rĂ©veiller le grand-pĂšre. NĂ©dra se souvient de la montĂ©e des escaliers, des dessins sur les murs, de l’angoisse qui est la sienne les lignes jaunes et noires qui ornaient la cĂ©ramique des murs, devenaient des tentacules de pieuvre ; elles bondissaient sur elle, la poussaient dans l’antre de l’ogre, le vieux sous les toits ». Le lecteur se retrouve face Ă  la petite fille figĂ©e, sidĂ©rĂ©e de la couverture. Le texte dit elle n’a plus de corps, elle est une pierre qui ne sent rien ». Lorsque le vieux redescend dans la salle commune, un geste frappe la petite fille dont elle se demande pourquoi elle ne l’a pas fait les femmes rabattent leur jupe ! NĂ©dra parle de la rĂ©pĂ©tition et de son amnĂ©sie. Les souvenirs ne lui sont revenus qu’à l’ñge de 18 ans. Elle fait des cauchemars et lorsqu’elle est au lycĂ©e, c’est le soulagement, le paradis aprĂšs l’enfer ». Une maladie auto-immune cette partie est presqu’entiĂšrement consacrĂ©e Ă  sa mĂšre, Ă  sa beautĂ© et Ă  son Ă©lĂ©gance ; puis Ă  la maladie qui attaque son corps et la diminue La maladie de sa mĂšre s’est dĂ©clarĂ©e alors qu’elle devait avoir 35 ans. NĂ©dra avait une dizaine d’annĂ©es. Et elle venait de dire non, en prĂ©sence de sa mĂšre, au grand-pĂšre Jamel. Il dit alors Ă  la mĂšre » ta fille est une bonne fille, elle sait dire non ». Sa mĂšre avait-elle alors compris que son propre pĂšre incesta sa fille ? Avec le recul, NĂ©dra pense que oui. Quels ont Ă©tĂ© ses sentiments alors, NĂ©dra ne sait pas. Mais elle a dĂ» enfouir la nouvelle de son enfant incestĂ© par son propre pĂšre, trĂšs loin, au trĂ©fonds de son cƓur et a retournĂ© sa colĂšre contre elle-mĂȘme. L’inceste, c’est tellement sidĂ©rant. A peine le sait-on ou le subit-on qu’immĂ©diatement on est frappĂ© d’amnĂ©sie ». À force d’insistance la jeune tante de NĂ©dra a obtenu que son pĂšre l’emmĂšne au cinĂ©ma et NĂ©dra les accompagne Ă  Carthage On y jouait Peau d’ñne. Il s’assit entre elles deux
 Et Ă  la fin de la projection il leur dit d’un air sĂ©vĂšre que le film Ă©tait immoral, qu’il avait bien raison d’interdire le cinĂ©ma Ă  sa fille et que plus jamais elles n’iraient. Peau d’ñne, un conte sur l’inceste. NĂ©dra a oubliĂ© le film. Elle dĂ©cide de le revoir. Longtemps, elle avait fait un cauchemar avec des doigts qui tombent, sectionnĂ©s d’un coup de bistouri. Et elle ne savait pas alors que ce n’était que l’une des scĂšnes de Peau d’ñne qui resta imprimĂ©e dans sa mĂ©moire ». Les cadeaux empoisonnĂ©s l’amour de l’école, l’amour des livres permettent Ă  NĂ©dra de tenir Ă  distance la pieuvre car elle Ă©tait l’inceste ; cette chose immonde, sale, honteuse c’était elle. Gluante, enserrĂ©e dans les bras d’une pieuvre, dont les ventouses Ă©taient sa prison ». Comment dire l’inceste en tunisien ? en arabe littĂ©raire ? en français ? Elle sait aujourd’hui que lĂ  n’était pas la raison. L’inceste est indicible. Il faut le temps que les Ă©pais murs du silence cĂšdent par eux-mĂȘmes. De vĂ©tustĂ© ». Elle vit de nombreuses difficultĂ©s, tente des suicides, essaie de se confier mĂȘme les psys ne l’écoutent pas, ne veulent pas entendre et lui prescrivent des anxiolytiques. C’est l’omerta du silence et la NĂ©dra, adulte, en train d’écrire enfin, fait mĂȘme le lien entre cette omerta et la violence de la sociĂ©tĂ© Elle se dit mĂȘme parfois que si la Tunisie avait eu l’un des plus importants contingents de jeunes ayant rejoint Daesch en Syrie ou ailleurs, c’est probablement en raison d’agressions sexuelles qu’ils auraient subies, enfants ». La conclusion de ce chapitre est sans appel L’enfant agressĂ© sexuellement a l’esprit colonisĂ© par l’agresseur. [
] On devient une proie facile pour les prĂ©dateurs [
] Les rapports aux hommes se rĂ©duisent au sexe ». Ma jolie, quand les coups du sort t’atteindront Pour ses Ă©tudes supĂ©rieures, NĂ©dra a quittĂ© Tunis pour Paris. Elle y trouve une libĂ©ration. Elle Ă©voque avec bonheur la transformation des Tunisiennes entre 1960 et 1980. Mais la pieuvre Ă©tait lĂ  en sentinelle qui la paralyse lors d’un exposĂ©. Elle replonge dans son malaise existentiel profond. Personne n’a rien vu. D’avoir Ă©tĂ© l’objet sexuel du grand-pĂšre jusqu’à ses dix ans a dĂ©truit NĂ©dra. MĂȘme mort, ce grand-pĂšre la hante. Elle arrive alors Ă  affronter le sens du mot pĂ©dophile le pĂ©dophile, dit-on, est un adulte qui aime les enfants. En fait ce n’est pas de l’amour qu’il Ă©prouve mais un pouvoir qu’il exerce sur l’enfant. Elle peut alors complĂ©ter le portrait du grand-pĂšre qu’elle avait laissĂ© inachevĂ© au dĂ©but Il leur intima Ă  tous le silence et tous se turent. Il leur fit croire qu’il Ă©tait le grand-pĂšre, doux, tendre, aimant avec ses petits-enfants et ils le crurent. Il colonisa l’esprit de tous. Jamel, ce mal nommĂ© ». Comme une peau qu’on arrache, le bouc m’avait dĂ©lestĂ© de mon identitĂ©. Et couverte d’une peau d’ñne
 » Postface. AprĂšs la mort de NĂ©dra, nous retrouvons la voix de la narratrice NĂ©dra a eu le temps de voir s’amplifier en Tunisie EnaZeda, dans le sillage de MeToo. Elle a vu se multiplier les tĂ©moignages d’agressions sexuelles sur Facebook qui sont tous anonymes. Elle a aussi trouvĂ© des Ă©tudes scientifiques qui montrent les traces que ces agressions laissent sur le cerveau et la transmission qui s’opĂšre mais ces changements Ă©pigĂ©nĂ©tiques sont rĂ©versibles ». D’oĂč sa phrase finale Un seul antidote au poison inceste et Ă  toutes les autres agressions sexuelles dire. Ne plus se taire ». Ce rĂ©cit marque une rupture certaine et, en lui-mĂȘme, il est un Ă©vĂ©nement. Il l’est d’autant plus qu’il Ă©mane d’une personnalitĂ© connue et respectĂ©e en Tunisie. Voici comment le quotidien La Presse Ă  Tunis la prĂ©sentait Monia Ben JĂ©mia, juriste, fĂ©ministe, engagĂ©e dans la lutte farouche pour les droits des femmes en Tunisie au sein de l’Association tunisienne des femmes dĂ©mocrate ATFD, est l’autrice de ce livre saisissant ». À la question que la journaliste de La Presse lui pose sur le genre adoptĂ© — une fiction plutĂŽt qu’un rĂ©cit autobiographique — Monia Ben JĂ©mia rĂ©pond que ce rĂ©cit est celui de NĂ©dra. Et effectivement, NĂ©dra, c’est moi je m’y suis identifiĂ©e Ă©normĂ©ment. Je ne sais pas si les lecteurs et lectrices l’ont facilement repĂ©rĂ©, mais Ă  un moment, pendant le rĂ©cit, on passe de la troisiĂšme personne Ă  la premiĂšre personne du singulier. Et c’était un peu une maniĂšre de dire que c’était aussi mon histoire. Ce rĂ©cit est entre rĂ©el et fiction ». C’est mentionnĂ© en 4e de couverture. J’ai Ă©tĂ© trĂšs touchĂ©e, Ă  la publication du livre, de recevoir de trĂšs nombreux messages pour me dire NĂ©dra, c’est aussi moi » de trĂšs nombreuses femmes s’y sont identifiĂ©es. Je me suis Ă©videmment inspirĂ©e de rĂ©cits, d’histoires et de faits divers Ă  des fins narratives ». * ** Ce choix d’un rĂ©cit Ă  mi-chemin de la fiction et du tĂ©moignage personnel, dans le dĂ©sert de ce type de livres au Maghreb dĂ©cuple, Ă  mon sens, sa portĂ©e. Car s’il est un cas prĂ©cis, il est gĂ©nĂ©ralisable Ă  de nombreuses autres expĂ©riences. La proximitĂ© assumĂ©e entre l’inceste subi et l’auteure lui donne son poids de justesse et de vĂ©ritĂ© auquel la lecture ne peut Ă©chapper. Certaines fictions ont installĂ©, souvent par allusions dissĂ©minĂ©es, une atmosphĂšre incestueuse dans leur parcours narratif. Il serait intĂ©ressant d’en faire l’étude et l’interprĂ©tation ; mesurer aussi ce qu’elles apportent Ă  la sortie du silence rĂ©clamĂ© par Monia Ben JĂ©mia. Je privilĂ©gierai, pour ma part, deux fictions qui n’ont pas reculĂ© devant le dĂ©voilement, l’une en 2001, Cette fille-lĂ  de MaĂŻssa Bey et l’autre, rĂ©cemment dans sa traduction française, Un jour idĂ©al pour mourir de Samir Kacimi en 2020. Il y a vingt ans, la romanciĂšre algĂ©rienne condensait en une Ă©criture-scalpel, les chemins des calvaires de femmes qui se racontent Ă  l’une d’entre elles qui transcrit leur histoire. Elles sont garĂ©es » dans un mouroir-rebut. La narratrice, Malika, raconte ce qu’elle a subi et a fait d’elle une femme Ă  FIC Forte instabilitĂ© caractĂ©rielle. AbandonnĂ©e bĂ©bĂ© par sa mĂšre, elle a Ă©tĂ© trouvĂ©e par deux hommes et l’un d’eux l’a ramenĂ©e dans sa famille. Mais Ă  sa pubertĂ©, le pĂšre adoptif s’est transformĂ© en prĂ©dateur violent et elle a fui, sans moyen et sans but car la vie n’est pas un conte comme dans Peau d’ñne
 On se souvient de l’histoire et de tous les subterfuges pour Ă©chapper Ă  la libido dĂ©chaĂźnĂ©e du pĂšre Le pauvre Ăąne fut sacrifiĂ© et la peau galamment apportĂ©e Ă  l’infante, qui, ne voyant plus aucun moyen d’éluder son malheur, s’allait dĂ©sespĂ©rer lorsque sa marraine accourut. Enveloppez-vous de cette peau, sortez de ce palais, et allez tant que la terre pourra vous porter. L’infante embrassa mille fois sa marraine, la pria de ne pas l’abandonner, s’affubla de cette vilaine peau, aprĂšs s’ĂȘtre barbouillĂ©e de suie de cheminĂ©e, et sortit de ce riche palais sans ĂȘtre reconnue de personne. Pendant ce temps, l’infante cheminait. Elle alla bien loin, bien loin, encore plus loin, et cherchait partout une place jusqu’à ce qu’elle soit acceptĂ©e dans la mĂ©tairie d’un roi qui cherchait un souillon pour laver les torchons, nettoyer les dindons et l’auge des cochons. Peau d’Âne devient le souffre-douleur de toute la ferme, et elle supporte toutes les humiliations ». L’adolescente, Malika, a Ă©tĂ© rattrapĂ©e et accusĂ©e par la mĂšre. Il faut lire l’entiĂšretĂ© du rĂ©cit de l’acte incestueux Elle sait confusĂ©ment qu’elle vient de se dĂ©pouiller d’une grande partie d’elle-mĂȘme, plus sombre encore que les tĂ©nĂšbres qui protĂšgent sa fuite, plus douloureuse que ce froid qui revivifie son corps souillĂ©, quelque chose qui gĂźt lĂ -bas, dans la maison dĂ©jĂ  loin derriĂšre elle ». La peur de l’autre de cet homme qui ne voulait plus ĂȘtre son pĂšre plus malfaisant que les djinns dont elle a cru sentir le souffle tout proche ». Un jour idĂ©al pour mourir dĂ©tail couverture du livre Dans Un jour idĂ©al pour mourir, le rĂ©cit de l’inceste survient au dĂ©tour d’un des portraits de personnages secondaires qui forment galerie autour du protagoniste. Celui-ci a dĂ©cidĂ© de mettre fin Ă  ses jours en se jetant du haut d’un immeuble et il consacre les dix secondes de sa chute Ă  voir dĂ©filer sa vie. Ce personnage secondaire est Nissa Bouttous, affublĂ©e de ce surnom depuis le collĂšge dont la mĂšre d’Omar Tounba lui rappelle l’origine pour l’éloigner de cette traĂźnĂ©e » Un jour quelqu’un lui a demandĂ© quel homme elle prĂ©fĂ©rait et elle a le toupet de rĂ©pondre Je n’en prĂ©fĂšre aucun, je suis bouttous . Elle avait voulu parler en français et dire qu’elle Ă©tait pour tous » mais elle n’a pas su le prononcer correctement et le surnom est restĂ© ». Bien aprĂšs, le protagoniste-narrateur livre au lecteur l’histoire de Nissa dont le passĂ© semblait avancer vers elle en permanence » 1 du chapitre 1bis petite fille, elle avait Ă©tĂ© cueillie et dĂ©florĂ©e par un prĂ©dateur et sa flamme s’était Ă©teinte » Elle avait longtemps luttĂ© pour oublier la source de sa douleur, elle avait essayĂ© de se tourner vers l’avenir, mais elle se retrouvait chaque fois enchaĂźnĂ©e Ă  son passĂ© nausĂ©abond, maudite par un corps qu’elle n’avait pas choisi et qui l’avait sortie de l’innocence du jeu pour la faire entrer dans la perversitĂ©, cette injure Ă  l’enfance ». Orpheline de pĂšre, Nissa s’est cherchĂ©e un pĂšre de substitution qu’elle a cru trouver dans son maĂźtre d’école qui a fait d’elle son objet sexuel, en une progression de prise en mains dont elle ne s’est pas mĂ©fiĂ©e. Le rĂ©cit en est saisissant comme tout le roman, par ailleurs. Ces deux fictions font partie des Ɠuvres algĂ©riennes Ă  lire absolument. Les deux cas d’inceste racontĂ©s sont survenus dans un milieu dĂ©favorisĂ© et oĂč le prĂ©dateur n’a pas de lien de sang avec la victime. Il s’agit chaque fois d’un pĂšre de substitution et d’une observation sociologique de l’écrivain et non du tĂ©moignage d’un vĂ©cu personnel. Cela n’enlĂšve rien Ă  la force de l’écriture de la scĂšne incestueuse mais attĂ©nue son impact sur le lecteur. Dans ces deux cas, on retrouve l’affirmation de Monia Ben JĂ©mia pour les filles incestĂ©es, les rapports aux hommes se rĂ©duisent au sexe ». * ** Un des dĂ©clencheurs du rĂ©cit-dĂ©voilement de l’écrivaine tunisienne a Ă©tĂ©, nous l’avons dit, le scandale de Regueb en 2019, d’enfants violentĂ©s sexuellement dans un internat religieux. Dans les fictions que nous venons d’évoquer le tĂ©lescopage sexe/religion est frĂ©quent. Des rĂ©cits d’auteurs amĂ©rindiens du QuĂ©bec sont revenus sur les rapts d’enfants, enlevĂ©s Ă  leur famille et Ă©levĂ©s dans des internats religieux oĂč non seulement leurs formateurs » se sont acharnĂ©s Ă  les priver de leur indianitĂ© mais ont abusĂ© d’eux sexuellement, les brisant Ă  jamais dans leur vie. Pour n’en citer qu’un, Jeu blanc de Richard Wagamese 1955-2017, est inoubliable. Mais je voudrais Ă©voquer, pour finir, le livre tout rĂ©cent de Loumitea, Un chemin de femme mĂ©decine. Du don Ă  l’apprentissage qui donne une place Ă  l’inceste au sein de la famille. Son objectif est de faire mieux comprendre le chamanisme et son ancrage profond dans les cultures des Peuples premiers au QuĂ©bec. ComposĂ© de 13 chapitres, il consacre le chapitre 6, sous le titre Ă©vocateur de Ta petite femme », Ă  cette pratique prĂ©datrice de l’inceste. La narratrice rappelle tout d’abord les rapports difficiles avec sa mĂšre dont l’éducation Ă©tait faite d’interdits et de contraintes parce qu’elle Ă©tait une fille. Elle est remontĂ©e dans son enfance et a fait resurgir des scĂšnes et des gestes qu’elle avait enfouis, venant de son pĂšre ou d’autres hommes. Dans l’anecdote qu’elle choisit, sa mĂšre pourtant est celle qui mettra un terme Ă  cette prĂ©dation en faisant partir un ami de la famille mais sans aucune dĂ©nonciation publique. Loumitea affirme que le voyage chamanique lui a permis d’éroder l’aspect destructeur qu’ont provoquĂ© ces gestes sur son corps de petite fille Le fait d’avoir Ă©tĂ© abusĂ©e sexuellement pendant l’enfance laisse des traces profondes qui, pour la plupart, ne semblent pas liĂ©es Ă  un tel traumatisme. J’ai su les reconnaĂźtre chez moi et m’en occuper pour les vider de leur pouvoir. [
] Ce sont des blessures honteuses que l’inconscient recouvre de plusieurs couches ». AprĂšs avoir fait des recherches sur la question avec son compagnon, elle a Ă©crit un article coup de poing qu’aucun pĂ©riodique n’a acceptĂ© il y a quelques annĂ©es car ce n’était pas un sujet Ă  dĂ©voiler Le QuĂ©bec est difficile Ă  Ă©veiller Ă  cet Ă©gard. Selon les dires de plusieurs intervenants interviewĂ©s pour mon article, environ 80% des QuĂ©bĂ©cois, hommes ou femmes indistinctement auraient Ă©tĂ© abusĂ©s au cours de leur enfance ou de leur adolescence. [
] Dans 95% des cas, une femme abusĂ©e placera ses enfants en situation d’ĂȘtre abusĂ©s. Un homme qui a vĂ©cu ce traumatisme le reproduira dans 80% des cas lui-mĂȘme, avec ses propres enfants ou avec d’autres enfants. Cette misĂšre Ă©motionnelle peut persister pendant plusieurs gĂ©nĂ©rations ». Tout ce chapitre est trĂšs intĂ©ressant Ă  lire car il fait alterner rĂ©cits de faits et rĂ©flexions plus gĂ©nĂ©rales sur cet acte. La lecture ouvre la voie pour regarder et voir ce qui est si difficile Ă  accepter. Il semble bien qu’aucune sociĂ©tĂ© ni aucun milieu n’y Ă©chappe. Une fois de plus, la littĂ©rature est une mĂ©diatrice de luciditĂ©, premier pas vers la dĂ©nonciation. Monia Ben JĂ©mia, Les Siestes du grand-pĂšre, RĂ©cit d’inceste, Tunis, CĂ©rĂšs Ă©ditions, 2021, 102 p., 15 DT MaĂŻssa Bey, Cette fille-lĂ , Ă©ditions de l’Aube, octobre 2016 2001, 181 p., 9 € 80 Samir Kacimi, Un jour idĂ©al pour mourir, Actes Sud, octobre 2020, 128 p., 15 € — Lire un extrait Loumitea, Un chemin de femme mĂ©decine. Du don Ă  l’apprentissage, Ă©ditions VĂ©ga, janvier 2021, 256 p., 19 €

Jacqueset Izïa Higelin, l'amour sans limite d'un pÚre pour son unique fille. PÚre pour la troisiÚme fois à 50 ans, le chanteur avait noué une relation particuliÚre avec sa fille.

TÉMOIGNAGEQuand elle avait 14 ans, AmĂ©lie a appris que son pĂšre avait eu des rapports sexuels avec une fille de 17 ans. C’était il y a vingt ans. Son pĂšre a ensuite refait sa vie avec cette femme et est toujours avec elle aujourd’hui. Si AmĂ©lie dit avoir acceptĂ© cette relation parce que ce n’était pas une simple aventure, elle se sent toujours abandonnĂ©e. AmĂ©lie explique, sur "La Libre antenne" d’Europe 1, qu’elle et sa sƓur envisagent alors de couper les ponts avec leur pĂšre." J’avais une bonne famille et puis mon papa a couchĂ© avec une fille de 17 ans. Ils ont 15 ans d’écart. C’est toujours dur dans notre tĂȘte pour ma sƓur et moi. Depuis qu’on est petites, on ne s’entend absolument pas. Rien Ă  voir avec les Ă©carts de notre pĂšre. C’était Ă  la base une aventure puisque nous ne le savions pas. Je l’ai su bien plus tard quand j’avais 14 ans. Ce sont des petits copains qui m’ont dit "Ton pĂšre couche avec Karine". C’est comme ça que je l’ai su. " Je voulais protĂ©ger ma mĂšre "Nous Ă©tions dans le domaine des chevaux. Quand on Ă©tait petites, mon pĂšre a emmenĂ© nos chevaux et cette femme en concours hippique. Je me suis cachĂ©e pour pleurer parce que je le savais, mais je ne voulais pas que ma mĂšre le sache. Quand je rentrais chez ma mĂšre, ça allait beaucoup mieux. Pendant trĂšs longtemps, j’ai Ă©tĂ© au courant de l’aventure de mon pĂšre, mais je voulais protĂ©ger ma mĂšre. Je n’ai pas rĂ©ussi. Avec ma sƓur, on Ă©tait Ă  l’opposĂ©. J’essayais de protĂ©ger les animaux et mon pĂšre aussi quelque part. Elle, elle essayait de protĂ©ger sa vie et de faire autre chose, donc elle s’est rebellĂ©e. Ça a Ă©tĂ© un foutoir terrible. Ma sƓur a fait ses Ă©tudes Ă  Paris. Moi, j’ai essayĂ© de garder quelques chevaux, avec l’aide de mĂšre. Mon pĂšre est parti avec cette nouvelle femme et nous dĂ©nigrait presque. C’est encore trĂšs dur aujourd’hui de se sentir abandonnĂ©e. C’était il y a vingt ans, on a acceptĂ© que notre papa soit parti avec cette femme de 17 ans. La bonne nouvelle, entre guillemets, c’est qu’il est toujours avec cette femme. La seule chose qui me rĂ©jouit, c’est qu’il ne nous a pas fait de mal pour rien puisqu’il est restĂ© avec cette femme, bien qu’elle ait 15 ans de moins que lui. Je l’ai pris comme ça. Ma mĂšre n’a jamais retrouvĂ© personne. Comme mon pĂšre est parti, ma mĂšre nous a assumĂ©es, ce qui n’est pas facile toute seule. On est encore en contact juste pour les anniversaires. Depuis cette annĂ©e, avec ma sƓur, on a envie de couper les ponts, parce que ça peine nos enfants. Ils ne veulent pas y aller, parce qu’ils n’ont pas de contact avec ce grand-pĂšre qui ne parle pas. Depuis le temps qu’il est avec cette femme, j’accepte qu’il l’aime, c’est formidable. Mais par rapport aux petits-enfants, ils sont extrĂȘmement fermĂ©s. Je ne lui en veux pas, mais mon pĂšre a changĂ© de vie. C’est trĂšs difficile pour nous d’y aller, en tant que premiĂšres filles, parce qu’on n’a pas de contact.

Depuisle 18 aoĂ»t 2022, un nouveau maestro, Simon, a fait son apparition dans "N'oubliez pas les paroles". Et cet ancien rugbyman fait tourner la tĂȘte de nombreux tĂ©lĂ©spectateurs Ă  chacun de
Vers l'Ăąge de trois ans, certaines petites filles semblent avoir le bĂ©guin pour leur pĂšre. Ce n'est pas quelque chose dont il faut s'inquiĂ©ter car cela fait partie du dĂ©veloppement psychosexuel normal. On vous dit tout sur ce sujet !Vous vous ĂȘtes peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  demandĂ©, Ă  un moment donnĂ©, si votre fille Ă©tait amoureuse de son pĂšre » Ă  cause de son comportement envers lui. C’est le cas lors d’une certaine pĂ©riode, mais ne vous inquiĂ©tez pas cela fait partie des changements maturatifs typiques de cet Ăąge. Il se peut alors que vous vous sentiez exclue et que vous essayiez de rivaliser avec votre partenaire pour gagner son affection, mais il s’agit d’un Ă©vĂ©nement temporaire qui s’achĂšvera au bout d’un certain le rĂŽle du parent exclu est douloureux. Surtout pour la mĂšre, qui est celle qui passe gĂ©nĂ©ralement le plus de temps Ă  s’occuper des enfants lors de leurs premiĂšres annĂ©es de vie. En gĂ©nĂ©ral, les femmes sont rĂ©confortĂ©es par le fait d’ĂȘtre les prĂ©fĂ©rĂ©es des petits, mais cela prend fin aprĂšs leur troisiĂšme anniversaire. Notre fille accorde cette place privilĂ©giĂ©e au pĂšre et nous confie le second allons vous en dire plus sur ce sujet dans cet article, alors installez-vous confortablement sur le canapĂ© et ne le manquez surtout pas !Ma fille semble ĂȘtre amoureuse de son pĂšreVers l’ñge de trois ans, les garçons et les filles ressentent une attirance particuliĂšre pour le parent du sexe opposĂ©. Les garçons sont plus attirĂ©s par leur mĂšre et les filles par leur la fille est petite, la chose la plus importante au monde est sa mĂšre. Mais il arrive un moment oĂč elles veulent juste que leur pĂšre soit celui qui les lave, les emmĂšne Ă  l’école, leur donne Ă  manger et fait attention Ă  genre d’engouement pour la figure paternelle joue un rĂŽle trĂšs important dans le dĂ©veloppement psychosexuel de la petite fille, et Freud l’a appelĂ© le complexe d’Electre. Traverser cette Ă©tape avec succĂšs est d’une grande importance pour que, dans le futur, la fille puisse Ă©tablir des relations saines avec les autres, que ce soit avec ses partenaires ou avec ses pĂšre se sent trĂšs flattĂ© lors de cette pĂ©riode et ne peut rĂ©sister Ă  cette prĂ©fĂ©rence que sa petite fille lui tĂ©moigne. Surtout parce que, il y a quelque temps, c’était maman qui occupait cette place. Pour cette raison, il se sent maintenant heureux que sa fille le sollicite autant et veuille toujours ĂȘtre Ă  ses se sent la maman ?La plupart des mamans considĂšrent cette situation comme normale et l’acceptent avec plaisir, tandis que d’autres peuvent se sentir jalouses et exclues de cette ailleurs, certaines petites filles peuvent avoir un comportement despotique et inconsidĂ©rĂ© envers leur mĂšre et les utiliser comme mĂ©canismes pour les exclure de la scĂšne avec leur pĂšre. C’est tout Ă  fait normal, puisque le but de la fille Ă  ce stade de dĂ©veloppement psychosexuel n’est rien d’autre que de diviser ses parents. Le plus important est que les deux parents sachent comment gĂ©rer la situation pour Ă©viter les problĂšmes les familles oĂč les rĂŽles individuels sont bien dĂ©finis, cette situation finit par ĂȘtre bien rĂ©solue. Lorsque la petite fille mĂ»rit, elle se rend compte que papa et maman forment un couple et qu’elle occupe une autre place dans cette relation. À partir de lĂ , elle peut aimer et ĂȘtre aimĂ©e par ses deux doivent faire les parents dans cette situation ?Lorsque notre fille est dans cette phase de tomber amoureuse de son pĂšre, il est trĂšs important que les deux parents adoptent certaines attitudes pour que le processus se dĂ©roule normalement et pour le papa Il ne doit pas ĂȘtre ambigu quant Ă  la dĂ©monstration d’affection et au rĂŽle qu’il occupe dans la famille. Cela pourrait entraĂźner des consĂ©quences nĂ©gatives et de mauvaises adaptations psychosexuelles Ă  l’avenir. La mĂšre ne doit pas ĂȘtre exclue dans sa relation avec sa fille, puisque la petite fille occupe une place dans son cƓur, mais pas dans celui du couple. Ainsi, il est nĂ©cessaire que le pĂšre Ă©tablisse certaines limites. À ces Ăąges d’immaturitĂ©, les filles peuvent mĂȘme dire qu’elles vont Ă©pouser leur papa. Si elles le font, il ne faut pas se moquer d’eux et simplement leur expliquer que ce n’est pas possible. N’appelez pas votre fille ma chĂ©rie » ou ma petite femme ». Pour le pĂšre, cela peut ĂȘtre une façon affectueuse de s’adresser Ă  sa fille, mais cela a un effet nĂ©gatif sur la fille dans ses fantasmes d’enfance. Conseils pour la maman Ne rivalisez pas avec la petite fille pour l’amour du papa. Comme nous l’avons dit, la place que chacune occupera auprĂšs du pĂšre sera diffĂ©rente. Montrez Ă  la petite que maman et papa s’aiment et qu’ils l’aiment aussi. Cela lui apportera de la sĂ©curitĂ© et la rendra heureuse. Il ne faut pas Ă©viter d’ĂȘtre affectueuse avec le mari en prĂ©sence de la petite fille. Cette derniĂšre doit voir que ses parents s’aiment et qu’ils l’aiment aussi. Il est important que la petite fille comprenne que papa et maman forment un couple et qu’ils sont unis. Cela lui permettra de se positionner davantage dans son rĂŽle de fille et de mieux apprĂ©hender la rĂ©alitĂ©. Conseils pour les deux parents Le pĂšre doit toujours soutenir la mĂšre quand elle fixe une limite. Il ne doit pas lui dire qu’elle a tort ou la dĂ©savouer, encore moins devant la fille. Les deux doivent empĂȘcher le pĂšre de toujours obĂ©ir Ă  ce que veut la fille et la mĂšre d’ĂȘtre la figure d’autoritĂ© qui fixe les limites et les rĂšgles. Cela peut dĂ©sĂ©quilibrer la relation affective de la fille avec les deux. Soyez toujours unis, rendez-vous compte de la situation et, chaque fois que cela est nĂ©cessaire, parlez Ă  votre fille pour Ă©viter les malentendus. Amoureuse » de son pĂšre, une part importante du dĂ©veloppement psychosexuel de l’enfantÀ un certain moment, les filles peuvent se montrer amoureuses de leur pĂšre car cela fait partie de la normalitĂ© du dĂ©veloppement psychosexuel de l’enfance. Ce comportement ne devrait donc pas nous inquiĂ©ter car, Ă  mesure que la fille mĂ»rit, il que les deux parents doivent faire, c’est maintenir une attitude ferme et comprĂ©hensive afin que la petite fille ne finisse pas dĂ©routĂ©e. Le bon dĂ©nouement de ce complexe se traduira par la façon dont la fille se lie avec les autres pour le reste de sa pourrait vous intĂ©resser ... A Toussaint, 1834. L’ Exode d'IsraĂ«l hors d'Égypte ( hĂ©breu : Ś™ŚŠŚ™ŚŚȘ ŚžŚŠŚšŚ™Ś Yetsi'at Mitzrayim, « la sortie d'Égypte ») est un rĂ©cit biblique selon lequel les HĂ©breux, rĂ©duits en esclavage par l’
PubliĂ© le 05/11/2013 Ă  0732, Mis Ă  jour le 05/11/2013 Ă  1522 MariĂ©e pendant 22 ans au pĂšre de son premier mari, une femme s'est pourvue mardi en Cassation pour demander la validitĂ© de ce mariage singulier, remis en cause par le premier mari. La dĂ©cision sera rendue le 4 la premiĂšre fois en France qu'un tel dossier est jugĂ© par la Cour de cassation. Mardi, devant la premiĂšre chambre civile de la plus haute instance judiciaire française, Denise, 66 ans, a demandĂ© aux juges de valider son mariage avec Raymond, le pĂšre de son premier mari, son ex-beau-pĂšre. Une union de 22 ans, sans enfant, dont le premier mari a obtenu l'annulation en premiĂšre instance et en deuxiĂšme, en 2011 et 2012. Sur un point de droit clair En ligne directe, le mariage est prohibĂ© entre tous les descendants et ascendants et alliĂ©s dans la mĂȘme ligne», dit l'article 161 du Code disposition de la loi que Denise et Raymond ont toujours dit ignorer, comme le maire du petit village des Alpes-de-Haute-Provence qui avait cĂ©lĂ©brĂ© leur union. Une bonne foi remise en cause dans le premier procĂšs, comme dans le jugement d'appel. La cour a chaque fois refusĂ© de leur donner le bĂ©nĂ©fice du mariage putatif», prĂ©vu par l'article 201 du Code civil quand l'ignorance de la loi par les Ă©poux et leur bonne foi sont reconnues. Un mariage putatif» permet de reconnaĂźtre aux mariĂ©s toute la pĂ©riode de mariage antĂ©rieure Ă  l'action en justice, sans pour autant le rendre valide pour l' est mort en 2005Denise et son premier mari, architecte, se sont unis en 1969. Ils ont une fille, qui a une quarantaine d'annĂ©es aujourd'hui, et divorcent en 1980. En 1983, Denise Ă©pouse son beau-pĂšre, professeur de mĂ©decine, qui, selon l'entourage, s'est occupĂ© de sa petite-fille comme de sa fille - laquelle l'appelle Papou» - depuis la sĂ©paration du couple, pour pallier la dĂ©faillance du fils». Selon Denise, le pĂšre et le fils avaient de mauvaises relations, ce dernier aurait Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  deux reprises pour des violences conjugales», affirme l'avocat de Denise, Me Jean-Philippe ne crie Ă  la nullitĂ© des secondes noces jusqu'Ă  ce que Raymond meurt, en 2005. Alors que va donc se poser la question de la succession, le fils de Raymond assigne son ex-Ă©pouse et dĂ©sormais belle-mĂšre devant le tribunal de grande instance de Grasse Alpes-Maritimes pour faire prononcer la nullitĂ© du mariage avec son pĂšre. Le scĂ©nario et la chronologie des faits sont trĂšs clairs, c'est l'hĂ©ritage qui importe Ă  l'ex-mari de ma cliente, analyse Me Duhamel. Mais pour elle, c'est tout le contraire, elle porte aujourd'hui l'affaire devant la Cour de cassation pour qu'on reconnaisse ce qui est avant tout une belle histoire, un mariage d'amour.» Reste que si le mariage est jugĂ© valide, Denise aura au minimum l'usufruit sur tous les biens», dit son avocat. Si l'annulation est prononcĂ©e une troisiĂšme fois, en revanche, elle n'aura aucun droit successoral».C'est un homme et une femme qui se sont aimĂ©s profondĂ©ment, une situation qui n'a jamais Ă©tĂ© taboue», confie la fille de Denise et de son premier mari dans une lettre produite Ă  la Cour de prĂ©sident de la RĂ©publique a pouvoir de dĂ©rogationPrĂȘte Ă  aller devant la Cour europĂ©enne des droits de l'homme CEDH, Denise entend obtenir gain de cause au nom de l'article 12 de la Convention europĂ©enne des droits de l'homme qui garantit la libertĂ© du mariage, prĂ©valant sur la prohibition du Code civil français. En 2005, dans un cas similaire, la CEDH avait condamnĂ© le Royaume-Uni Ă  changer sa loi en estimant que c'Ă©tait une atteinte excessive Ă  la libertĂ© du mariage». Me Duhamel espĂšre que la Cour retiendra aussi l'article 8 de la Convention europĂ©enne qui dĂ©fend le droit Ă  une vie familiale normale».L'avocat gĂ©nĂ©ral LĂ©onard Bernard de la Gatinais a demandĂ© Ă  la Cour de rejeter le pourvoi, jugeant qu'au-delĂ  d'un contexte d'Ă©volutions familiales et des mƓurs incontestable», c'est l'intĂ©rĂȘt de l'enfant qui est au cƓur du sujet» et que l'article 161 le protĂ©geait en lui permettant d'avoir des repĂšres gĂ©nĂ©rationnels et relationnels clairs». L'avocat du premier mari, Bruno Potier de la Varde, a estimĂ© que revenir sur l'annulation du mariage remettrait en cause des rĂšgles que la multiplication des recompositions familiales ne rende que plus nĂ©cessaires».Des arguments jugĂ©s paradoxaux, selon Me Duhamel, au regard de la tendance rĂ©cente du droit de la famille qui a montrĂ© un climat de plus grande libertĂ©. Dans la loi instaurant le mariage pour tous, symbolique de ces assouplissements, le lĂ©gislateur n'avait pourtant pas jugĂ© nĂ©cessaire d'enlever cette prohibition du mariage entre alliĂ©s dans la mĂȘme ligne». En juillet dernier, François Hollandelui-mĂȘme, au nom du mĂȘme article 161, avait rejetĂ© la demande d'Élisabeth Lorentz, 47 ans, et Éric Holder, 44 ans, belle-mĂšre et beau-fils, qui voulaient convoler. Le prĂ©sident de la RĂ©publique a pouvoir de dĂ©rogation en la matiĂšre et le couple lorrain lui avait adressĂ© une lettre. Eux aussi ignoraient ce point de loi. Ils avaient mĂȘme dĂ©jĂ  engagĂ© tous les frais de la noce et postĂ© les 80 faire-part. Pas de quoi attendrir le locataire non mariĂ© de l'ÉlysĂ©e. Nous n'avons aucun lien de sang et les homosexuels, eux, ont bien le droit », confiaient-ils alors au Figaro, dĂ©sabusĂ©s et promettant d'aller devant la Cour de justice europĂ©enne. La dĂ©cision de la Cour de cassation sera rendue le 4 dĂ©cembre.
UneGhanĂ©enne a fait une rĂ©vĂ©lation choc sur sa vie privĂ©e lors d’une Ă©mission pour adultes diffusĂ©e sur la chaĂźne de tĂ©lĂ©vision ghanĂ©enne GHOne TV, intitulĂ©e Tales from the © LA RÉDACTION MARIE FRANCE -Elle envoie Ă  son pĂšre un selfie de son couple, un dĂ©tail choque sa famille, gros malaise
 Kelsey est une jeune fille qui n’enverra plus jamais un selfie aussi rapidement ! En effet, elle partage une photo avec son pĂšre pour lui donner des nouvelles. Quelle honte ! Une fille envoie un selfie de vacances Ă  son pĂšre
 sorry dad. Will not be sending more holiday pics in a hurry x — kelsđŸ’« _k3lsxo July 6, 2019 La jeune femme Ă©tait en vacances avec son chĂ©ri. Tout bĂȘtement, elle fait un selfie et l’envoie Ă  ses parents. Mais, elle avait oubliĂ© un dĂ©tail trĂšs embarrassant ! Sa mĂšre n’a pas hĂ©sitĂ© Ă  lui faire remarquer l’accessoire en bas du selfie
 AprĂšs le malaise passĂ©, elle a quand mĂȘme bien ri et a partagĂ© sa mĂ©saventure avec ses followers ! Un selfie pour donner des nouvelles Ă  son papa En effet, la jeune fille n’a pas remarquĂ© que sur le selfie de sa chambre avec son chĂ©ri, elle avait laissĂ© tous ses produits de beautĂ© et ses accessoires. Les affaires du couple sont posĂ©es sur la commode. Est-ce que vous remarquez un objet gĂȘnant ? On vous a zoomĂ© ci-dessous ! Oui, il s’agit bien d’un lubrifiant d’une marque trĂšs connue. La honte pour la jeune fille
 Papa trouve les photos belles, sympa le flacon Dur*x », rĂ©pond sa mĂšre. La honte l’envahit. Elle Ă©tait tellement embarrassĂ©e qu’elle a essayĂ© de trouver une excuse. C’est le gel pour le genou d’Elliot », a-t-elle expliquĂ© Ă  ses parents. Mais, ils ne sont pas dupes ! papa a zoomĂ© », lui Ă©crit-elle ! C’est le malaise pour le couple ! Son chĂ©ri Ă©tait aussi trĂšs gĂȘnĂ© par ce selfie. Elliot ne savait plus oĂč se mettre », poursuit Kelsey. Pendant longtemps, le jeune homme a eu honte de ce selfie, mĂȘme aprĂšs leurs vacances. Il n’osait plus aller voir ses beaux-parents. Mais, par chance, ces derniers ont de l’humour ! Ils en ont profitĂ© pour les taquiner ! C’était bien quand nous sommes rentrĂ©s. Heureusement, mes parents peuvent voir le cĂŽtĂ© amusant des choses », raconte Kelsey. En effet, quand le couple et les parents se sont retrouvĂ©s, ce fut le fou-rire ! Les internautes hilares ! Alors, Kelsey a tenu Ă  partager cette anecdote et ce selfie avec ses followers sur Twitter. Elle a Ă©galement publiĂ© les SMS de sa mĂšre. DĂ©solĂ© papa. Je n’enverrai plus de photo de vacances dans la prĂ©cipitation », Ă©crit la jeune fille. En dĂ©couvrant ce Tweet, les internautes Ă©taient aussi amusĂ©s que les parents ! En effet, celui-ci a fait le tour de la Toile en quelques heures Ă  peine. Plus de 60 000 likes. Et, les commentaires ne se sont pas fait attendre. On a pu lire les remarques suivantes Kels ! tu m’as tuĂ© », Oh mec ! Tu ne peux plus rentrer de vacances. », Elle aurait dĂ» savoir qu’un papa avec sa fille, c’est comme le FBI », Au moins, sa mĂšre et son pĂšre sont restĂ©s plutĂŽt calmes ! », le genou d’Elliot doit ĂȘtre Ă©norme ». MĂȘme si son pĂšre a bien rigolĂ©, il n’a pas voulu voir les diffĂ©rents commentaires. Mon pĂšre m’a dit qu’il ne voulait rien savoir »  En effet, il ne faudrait pas qu’elle exagĂšre ! fHSIp.
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